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Les Temps Modernes - Charlie Chaplin ..

Les Temps Modernes - Charlie Chaplin ..

Les Temps modernes (film) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Temps modernes (Modern Times) est une comédie dramatique américaine de Charlie Chaplin, sortie en 1936. Il s'agit du dernier film muet de son auteur et le dernier qui présente le personnage de Charlot, lequel lutte pour survivre dans le monde industrialisé. Le film est une satire du travail à la chaîne et un réquisitoire contre le chômage et des conditions de vie d'une grande partie de la population occidentale lors de la Grande Dépression, imposées par les gains d'efficacité exigés par l'industrialisation des temps modernes. Portrait studio de Paulette Goddard pour Les Temps modernes. Dix jours plus tard, la gamine l'emmène dans une nouvelle maison au bord d'un étang, une cabane délabrée qu'elle admet « ne pas être Buckingham Palace », mais qui fera l'affaire. La première des Temps modernes le 5 février 1936 Sauf mention contraire, cette fiche est établie à partir du générique du film. Acteurs non crédités :

Paul Jorion : "Les machines pourraient financer une allocation universelle" | Special Guest Pour circuler sur mon lieu de travail, je devais me munir d’un badge en plastique, afin d’ouvrir des portes en verre, fermées pour cause de sécurité. Le badge était grand comme une carte bancaire, on le glissait dans son portefeuille, et lorsqu’on rencontrait une porte automatique nous refusant le passage, nous devions sortir cette carte, effleurer un oeil magnétique, qui produisait un bref bip comme seuls les yeux magnétiques en sont capables. Alors coulissaient les deux pans de vitre avec une furtive élégance. Il nous semblait ainsi pénétrer un couloir de modernité, le coeur chauffé par un sentiment d’exquise appartenance, de studieuse protection. Le temps a fait cependant son oeuvre, en consacrant un peu de lui même à ruiner la jeunesse des portes automatiques, et l’enthousiasme logistique à les entretenir. On a donc pu circuler dans les bureaux comme dans un musée du moulin, malgré la résistance opiniâtre de quelques portails vigoureux.

Les machines feront de nous tous des intermittents Tout récemment, la revue en ligne Regards sur le numérique posait la question : « Comment travaillerons-nous demain ? » Parmi des réponses plus ou moins attendues, on trouve celle du bien connu blogueur Thierry Crouzet, que je me permets de vous citer un peu en longueur : Un peintre réalise un tableau près de la place du Tertre à Montmartre dans les années 30 (AFP)« Les musiciens, les écrivains, les peintres, les développeurs de logiciels libres, les parents qui restent à la maison pour s’occuper de la famille, les bénévoles dans une multitude d’associations, les élus municipaux… tous ont un travail, ils n’en cherchent pas.Nous sommes de plus en plus nombreux à nous vouer à des tâches non rémunérées […]. La combinaison de l’ancien et du nouveau Bien sûr, les économistes sérieux auront beaucoup à redire sur le modèle proposé, mais faut-il écouter les économistes sérieux ? Ce qui me semble intéressant dans les propos de Thierry Crouzet, c’est la combinaison de l’ancien et du nouveau.

Les machines feront-elles de chacun de nous des intermittents Tout récemment, la revue en ligne Regards sur le Numérique (@RSLNmag), posait la question : “Comment travaillerons-nous demain ?”. Parmi des réponses plus ou moins attendues, on trouve celle du bien connu bloggeur Thierry Crouzet (@crouzet), que je me permets de vous citer un peu en longueur : “Les musiciens, les écrivains, les peintres, les développeurs de logiciels libres, les parents qui restent à la maison pour s’occuper de la famille, les bénévoles dans une multitude d’associations, les élus municipaux… tous ont un travail, ils n’en cherchent pas. Image : L’université d’été du Revenu de base, organisé par le mouvement français pour un revenu de base (@revenudebasefr), aura lieu du 21 au 23 août 2014 à Coulounieix-Chamiers en Dordogne. Bien sûr, les économistes sérieux auront beaucoup à redire sur le modèle proposé, mais faut-il écouter les économistes sérieux ? Xavier de la Porte

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