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Sondage AQLPA-Greenpeace: Les Québécois appellent à un nouveau modèle de développement

Sondage AQLPA-Greenpeace: Les Québécois appellent à un nouveau modèle de développement

Parti libéral du Québec - Dire du bien de Jean Charest Grâce à Jean Charest, la planète sait que Harper ne parle pas pour le Québec. Ici, avec Al Gore. Il existe une tradition bien québécoise, héritée peut-être de notre passé judéo-chrétien. Lorsqu’une personnalité publique tire sa révérence ou passe de vie à trépas, tous les autres acteurs se font un devoir de n’en dire que du bien. La chose n’est pas toujours bien comprise ailleurs. Je me souviens d’un journaliste canadien-anglais qui ne voulait pas admettre mon refus de critiquer Pierre Trudeau le jour de son décès. D’autres trouvent la chose hypocrite, car il est bien certain que tous ne pensent pas que du bien de celui qui pars. Moi, je l’aime bien, cette tradition. Que puis-je dire, aujourd’hui, de Jean Charest? Mais c’est trop facile. Je vais vous faire un aveu. Au début de 2012, quelqu’un avait soumis au jury le nom de Steven Guilbeault, d’Équiterre. La mise au voix ne leur fut pas favorable, à mon grand regret. (J’avais aussi salué la performance internationale de M.

Faire pousser ses propres légumes à l'année... presque sans électricité! Samedi 23 mai 2015 18h17 C'est une serre bien particulière que la famille Lavoie possède et exploite à Sainte-Ursule, dans la MRC de Maskinongé. Le modèle de la serre, en forme de dôme, a été acheté aux États-Unis et permet de faire pousser des légumes biologiques tout au long de l'année, pratiquement sans électricité. Pas plus grosse qu'une piscine hors terre, la serre solaire passive a coûté 12 000 dollars. Un investissement important, mais tout de même rentable puisque la famille Lavoie en tire près de 80 % de sa consommation de légumes chaque année. À l'intérieur, le climat est semblable à celui de la Méditerranée, et ce, peu importe le temps qu'il fait dehors, été comme hiver. Une petite facture d'électricité Les différents systèmes intérieurs font le reste. « On a un réservoir d'eau de 950 gallons au fond de la serre [...] qui permet d'accumuler la chaleur du jour. « Ce sont des super systèmes, dit Patrick Lavoie. Viser l'autosuffisance alimentaire

La pétrolière Enbridge distribue les cadeaux au Québec Denise Proulx et Olivier Bourque Argent L'entreprise albertaine Enbridge (ENB), qui veut acheminer le pétrole du sable bitumineux au Québec, est en mode séduction avec les villes de la couronne Nord de Montréal où passe le controversé pipeline. La société offre de l'aide financière et des cadeaux aux municipalités depuis quelques mois, a appris Argent. C'est le cas de la Ville de Mirabel qui a indiqué avoir reçu un montant de 10 000 $ en décembre 2011. Enbridge avait contacté la municipalité, en soulignant l'existence d'un programme d'aide financière. «On avait fait une première demande en 2010 qui avait été refusée, mais en 2011, on nous a dit oui», a affirmé Denis Maurice, directeur du service des incendies de Mirabel. Encore plus, l'entreprise albertaine a aussi décidé de s'impliquer auprès d'un parc régional, celui de Bois de Belle-Rivière, situé lui aussi à Mirabel. Achats de VTT et épluchette de blé d'Inde Autre ville, même situation. Enbridge arrose les municipalités, dit Greenpeace

295 évaluations environnementales annulées au Québec en raison de C-38 Connexion Hélène Buzzetti 1 septembre 2012 Politique / Canada295 évaluations environnementales annulées au Québec en raison de C-38 Photo : La Presse canadienne (photo) Jacques Boissinot Ottawa – L’impact de la loi budgétaire mammouth du gouvernement conservateur n’a pas mis de temps à se faire sentir. Près de 2970 évaluations environnementales qui étaient en cours au Canada, dont 295 au Québec, ont été stoppées parce qu’elles ne sont plus requises en vertu des nouvelles règles. La liste des projets québécois qui échappent à une évaluation environnementale fédérale est très variée. À Saint-Joachim, le projet d’un barrage au fil de l’eau sur la rivière Sainte-Anne-du-Nord devant générer 23,2 MW d’électricité aura beau mesurer 50 mètres de large, cinq mètres de haut et créer un réservoir d’un demi-kilomètre de long, il ne sera plus examiné par Ottawa. D’autres cas sont plutôt étranges. Le député néodémocrate Peter Julian ne l’entend pas ainsi. Site complet

Après le pétrole, le gaz de l’Ouest Après le pétrole, le gaz naturel. Des investisseurs américains souhaitent construire au Saguenay une usine de liquéfaction de gaz provenant de l’Ouest canadien, dans le but de l’exporter par navires méthaniers. Leur entité locale, GNL Québec, vient d’ailleurs d’inscrire des mandats de lobbying afin d’obtenir les permis nécessaires, mais aussi le « soutien financier » du gouvernement. Ce projet de 7,5 milliards de dollars entraînerait une hausse du transport d’hydrocarbures dans le seul parc marin de la province. Le projet, nommé « Énergie Saguenay », prévoit l’implantation d’infrastructures de liquéfaction, d’entreposage et de transbordement de gaz naturel dans la zone portuaire de Grande-Anse, située à La Baie, au Saguenay. C’est là que serait construite l’usine qui servirait à liquéfier les 11 millions de tonnes de gaz naturel exportées chaque année à bord de méthaniers de type Q-Flex. Projet ambitieux Les visées des investisseurs suscitent d’ailleurs certaines inquiétudes.

Steven Guilbeault met la région en garde contre les sables bitumineux | Véronique Chagnon | Actualités (Saint-Césaire) «On n'est pas contre les sables bitumineux au comité environnement de Saint-Césaire. Mais ce qu'on demande, ce sont des études impartiales qui nous prouvent qu'il n'y a pas de risques pour la région», a lancé d'entrée de jeu Marie-Hélène Plante, du comité environnement, hier soir. C'est cependant bien un exposé en forme d'avertissement contre les sables bitumineux que sont venus livrer Steven Guilbeault et l'équipe d'Équiterre hier soir à l'hôtel de ville de Saint-Césaire. Depuis la surconsommation d'eau aux importantes émissions de gaz à effet de serre, en passant par les faibles retombées pour le Québec, Steven Guilbeault a livré devant une audience captivée un plaidoyer pour la réduction de la dépendance au pétrole. Tous les détails dans notre édition de mardi Abonnez-vous à La Voix de l'Est ou à LaVoixdelEstSurMonOrdi.ca

Ottawa est sous l'influence de Shell, selon Greenpeace | Charles Côté | Économie Dans un nouveau rapport qui repose à la fois sur des documents obtenus par l'entremise de la Loi sur l'accès à l'information et sur des déclarations publiques, Greenpeace constate que la diplomatie et les ministères canadiens se sont coordonnés avec Shell et d'autres entreprises étrangères «alliées» afin de combattre des «adversaires» au Canada et à l'étranger qui s'opposent à l'exploitation des sables bitumineux. Greenpeace souligne au passage les contradictions de Shell, qui continue de se démarquer des autres entreprises pétrolières par son appui à l'objectif de Copenhague de stabiliser le réchauffement climatique à 2°C, tout en investissant massivement dans les sables bitumineux. Greenpeace a ciblé Shell parce que, d'une part, la société demande actuellement des permis pour exploiter deux mines de sables bitumineux et que, d'autre part, sa production de pétrole pourrait à elle seule atteindre la capacité prévue du controversé pipeline Northern Gateway. M.

Québec veut réformer la Loi sur l'environnement | Pierre Saint-Arnaud | Environnement Le ministre de l'Environnement, David Heurtel, en a fait l'annonce mercredi à Québec, disant vouloir «une approche plus moderne basée selon le niveau de risque environnemental». «Cette approche permettra au ministère, notamment, d'intégrer la lutte contre les changements climatiques au processus d'autorisation, de concentrer ses efforts sur les projets ayant des impacts importants sur l'environnement, d'alléger et de clarifier le traitement des demandes pour les projets ayant peu d'impact», a expliqué M. Heurtel. Le ministre a fait valoir que la loi, vieille de 43 ans, n'avait jamais été modernisée depuis son entrée en vigueur en 1972 et qu'elle ne répondait plus aux besoins actuels. «En 1972, lorsque la LQE a été adoptée, c'était relativement rarissime, un certificat d'autorisation, c'était quelque chose de nouveau. «C'est vraiment la mécanique qu'on veut revoir.

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