Journal La Décroissance Paul Ariès : la simplicité volontaire, un choix de vie coopératif « Il n’y a pas un monde développé et un monde sous-développé mais un seul monde mal développé ». Crise politique, crise institutionnelle, crise de la personne humaine, réchauffement de la biosphère, selon Paul Ariès, la prétention du discours de la simplicité volontaire est de tenter de penser l’articulation entre une série de grandes crises qui affectent aujourd’hui l’humanité. Ainsi, le discours des partisans de la Simplicité Volontaire, celui « des » anti-productivistes, « des » anti-consuméristes, « des » militants anti-pub, « des » Objecteurs de Croissance ne se résume pas un à discours écolo plus au moins « dur », ni même à une forme contraignante du « nécessaire ». Selon Paul Ariès, pratiquer la simplicité volontaire, c’est choisir de vivre autrement, plus frugalement avec moins de consommation, moins de technologies, moins de vitesse, moins de soumission à des normes. ★ Nouveau : Abonnez-vous pour accéder à ce document sans délai ! Paul Ariès MP3 Durée 63’05 Table de l’exposé
Jeter le bébé pour garder l’eau du bain ?, par Frédéric Pierru (savoir/agir 8 - Le MHM) Revue savoir/agir, n°8, juin 2009, Éditions du Croquant, pp. 13-24. Ce texte est publié avec les aimables autorisations de l'auteur et de l'éditeur. F. Pierru est Chargé de recherche CNRS (section 40 : Politique, pourvoir, organisation) es contorsions idéologiques et rhétoriques des gardiens de la croyance économique confrontés au spectacle pathétique du naufrage de la finance libéralisée puis, dans son sillage, de l’entrée de l’économie mondiale dans la plus grave récession depuis l’après-guerre, voire depuis les années 1930, peuvent prêter à sourire et même à moqueries. Toutefois, en rester à un regard mi-amusé, mi-ironique, sinon revanchard, sur les gesticulations désespérées des matelots et des officiers du Titanic néolibéral ferait manquer une question sociologique importante : comment les agents sociaux font-ils pour surmonter le démenti empirique infligé à une croyance à laquelle ils tiennent plus que tout et par rapport à laquelle ils ont organisé leur vie ?
Mercredi 22 août, "jour du dépassement" pour les ressources mondiales Avec trente-six jours d'avance sur 2011, nous avons consommé toutes les ressources naturelles que la Terre peut produire en un an, selon l'ONG Global Footprint Network. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Albelle Di Napoli Mauvaise nouvelle pour la planète. Cette année, il n'aura fallu que 234 jours à l'humanité pour consommer toutes les ressources naturelles que la Terre peut produire en un an. "L'heure du bilan a sonné", estime l'organisation non gouvernementale Global Footprint Network (GFN), qui calcule chaque année cette empreinte écologique. Depuis 2003, les experts de GFN évaluent la quantité de ressources à travers le monde et la manière dont elles sont gérées. Cette année, leur système de calcul a été affiné et a permis de publier de nouveaux chiffres, plus précis, pour les cinquante dernières années. Une seule planète ne suffit plus pour subvenir à nos besoins et absorber nos déchets. La pression des pays riches est disproportionnée. Pour M.
Paul Ariès : «Il faut un pacte social plus protecteur et émancipateur» Remettre la gratuité au cœur de notre pacte social. Et d’abord à l’échelle municipale. Que cette gratuité concerne les transports publics, les services funéraires, l’eau vitale ou le stationnement urbain. Et qu’elle s’adresse à tous… Politologue et écrivain, Paul Ariès appelle les gauches à s’engager dans ce processus de réappropriation. Directeur du mensuel les Z’indigné(e)s, cet objecteur de croissance revendiqué organise le 26 octobre à Grigny (Rhône) le 3e Forum national de la désobéissance citoyenne sur le thème «Soixante-dix ans après le programme du Conseil national de la Résistance, quels nouveaux jours heureux ?» Sous Nicolas Sarkozy, vous pointiez une société de la peur. Cette société de la peur est beaucoup plus qu’une affaire de personne. La peur ne recule pas avec les solfériniens au pouvoir. Vous êtes un grand prosélyte de la gratuité, une notion que vous souhaitez voir réhabilitée… La gratuité est à la fois une réponse à la peur et le fondement d’un nouveau pacte social.
a lire Jour du dépassement En seulement huit mois, l’humanité consomme la totalité du budget écologique annuel de la Terre. Le jour du dépassement était le 20 Août. A cette date, l’humanité a épuisé le budget écologique annuel de la planète. Global Footprint Network fournit un bilan comptable de la demande de l’humanité en ressources et services naturels comparée à la capacité de la planète à les fournir. En 1993, le jour du dépassement était le 21 Octobre. Le jour du dépassement est un concept développé par l’institut de recherche anglais new economics foundation, partenaire du Global Footprint Network. Consommation mondiale de ressources naturelles renouvelables Les conséquences de la surconsommation écologique Les êtres humains ont toujours eu besoin de ressources naturelles pour se nourrir, se couvrir et s’abriter. D’après les calculs effectués par Global Footprint Network, la demande de l’humanité en ressources et services écologiques exigerait une fois et demi la capacité de la Terre pour être satisfaite.
La concurrence des riches contre les pauvres - Les zindigné(e)s La responsabilité du réchauffement climatique revient d’abord aux pays riches. Si on calcul quel pays a émis le plus de CO2, depuis le début de l’ère industrielle, c’est l’Angleterre qui dispose de la dette écologique principale. Par contre, si nous mesurons cette pollution en fonction des Kg de CO2, par habitant, ce n’est plus la Chine, ni l’Angleterre, qui tiennent la tête, mais les États-Unis, avec 18,4 TEC/hab. Enfin, si on prend le niveau de l’empreinte écologique par habitant, c’est le Qatar, qui tient la tête avec 12ha/hab en 2005 selon le WWF. Ces divergences d’évaluation de la dette écologique permettent à chacun de ces pays d’éviter de faire le premier pas, dans la réduction de l’effet de serre, considérant chacun qu’ils ne sont pas les plus responsables. Or, en réalité la responsabilité est proportionnelle à l’impact des nations et de chaque individu. L’épuisement des ressources non renouvelables de la planète est proche.
La ballade de Mathylde | Lire, écouter, regarder, écrire et partager … phares de l'Antiquité Comment sécuriser son téléphone mouchard portable? Qui aurait cru, en 1984, que Steve Jobs serait devenu un Big Brother, et que ses clients seraient devenus des zombies ? Cette spéciale dédicace aux fans de la marque Apple figure en toute lettre dans un mémo confié par Edward Snowden au Spiegel, qui explique comment la NSA accède aux données contenues dans les smartphones, qu'ils soient de type iPhone, Androïd ou BlackBerry. En 1984, Apple avait en effet diffusé un spot publicitaire montrant des bataillons de zombies tétanisés par Big Brother, et affirmant que son nouveau MacIntosh allait libérer le peuple et que, grâce à lui, "1984 ne serait pas 1984". Vous utilisez un iPhone, un téléphone Android, ou Windows Phone ? Vous êtes donc "en état d'interception : toutes vos télécommunications pourront être retenues contre vous"... pour paraphraser la célèbre expression policière. Car s'il est possible (mais pas donné) de sécuriser ce que l'on fait avec un ordinateur (cf Comment protéger ses sources ? Changez de mot de passe (tous les 3 mois)
Le Gosier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Gosier (en créole Gozyé) est une commune du département de la Guadeloupe. Les habitants sont appelés les Gosiériens. Le Gosier est la troisième ville la plus peuplée de la Guadeloupe après Les Abymes et Baie-Mahault. Géographie[modifier | modifier le code] Localisation[modifier | modifier le code] En rouge le territoire communal de le Gosier. Le climat y est de type tropical. Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code] Les différents lieux-dits du Gosier sont : Bas-du-Fort, Cocoyer, Dampierre, Grand-Bois, Grande-Ravine, Îlet du Gosier, Labrousse, Leroux, Mare-Gaillard, Mathurin, Montauban, Penchard, Périnet, Petit-Havre, Pliane, Port-Blanc, Poucet, Saint-Félix, Simonet, Tombeau, Communes limitrophes[modifier | modifier le code] Toponymie[modifier | modifier le code] Le nom du Gosier vient de celui du pélican appelé, au XVIIe siècle, grand-gosier du fait de l'importance de son bec et de sa poche. Histoire[modifier | modifier le code]
| Quelques notes de musique et quantité de livres