background preloader

Internet, c’est un truc de hippies

Internet, c’est un truc de hippies
Conçu en pleine période Flower Power par des barbus libertaires, Internet n'a jamais perdu – malgré les tentatives de récupération politiques et commerciales – son esprit profondément lié au partage. Cette prise de conscience doit perdurer et produire un acte de résistance face à la tentative forcenée de nivellement du monde par les inconscients qui nous gouvernent. Je suis souvent présenté comme un dinosaure d’Internet, mais c’est faux : même si je suis trop vieux pour faire partie de la génération “digital-native”, j’étais trop jeune quand Internet est né, trop jeune pour pouvoir vivre une époque à laquelle toutes les utopies étaient encore imaginables. Et je voudrais, pour replacer mon propos dans son contexte historique, revenir quelques instants sur ce monde dans lequel Internet est né. Arpanet est né en 1969. On dit souvent qu’Internet a cassé la logique hiérarchique verticale préalable et créé une société plus horizontale. La tribu informatique L’art de la guerre Les voleurs 2.0

Write Book - La contribution créative : ... - Philippe Aigrain 1 Les assises de la création et internet sont pr (...) 1 Cet article tente un bilan provisoire des débats sur la contribution créative et d’autres propositions similaires. Il vise à clarifier les enjeux et les propositions, au moment où va débuter un débat plus large dans la perspective des futures assises Création, Public, Internet 1 . L’article traite de trois aspects : les éléments qui me paraissent nécessaires à tout traitement acceptable des échanges hors marché sur internet et du financement de la création ; les différents choix possibles dans ce cadre ; 2 Il s’agit bien ici de régulation et non de réglementation : les mécanismes concernés pourront être (...) 2 Les premières propositions de financement mutualisé par une redevance pour les échanges pair à pair remontent à 2003 (proposition de Fred Loehmann de l’Electronic Frontier Foundation). 3 Philippe Innerarity, Le futur et ses ennemis. 5 Pourrait-on faire autrement ?

La Résilience urbaine : un nouveau concept opérationnel vecteur de durabilité urbaine ? 1L’année 2011 atteint déjà des records en matière de coûts liés aux catastrophes naturelles (Catnat.net, 2011). Chaque année, les rapports des réassureurs alertent quant à l’augmentation des montants indemnisés et les médias passent d’une catastrophe à une autre, présentant des images chocs, des témoignages bouleversants, sans jamais se pencher plus précisément sur les causes profondes, les conséquences à long terme, la reconstruction et les conditions de retour à la vie normale pour les populations touchées. Or si les dommages augmentent, c’est notamment parce que les enjeux (logements, activités, infrastructures, équipements) sont de plus en plus nombreux dans les zones d’aléas, comme l’atteste entre autres la forte urbanisation des zones inondables (Faytre, 2010; Scarwell et Laganier, 2004; Thouret et Leone, 2003). 1 “The unfocussed aspirations for sustainability are captured in the notion of resilience – the abil (...) La durabilité urbaine La résilience urbaine Les limites du concept

Press Room Here are some elements for your publications : Press contact : +33 (0)972 294 426 - contact {AT} laquadrature.net Don't hesitate to contact us regarding any question. About La Quadrature du Net: La Quadrature du Net is a citizen group informing about legislative projects menacing civil liberties as well as economic and social development in the digital age. La Quadrature du Net informs citizens, organizations, corporations, and public authorities. It works with everyone to elaborate balanced alternative solutions. La Quadrature du Net is supported by French, European and International NGOs including the Electronic Frontier Foundation, the Open Society Institute and Privacy International. Logos : Le fichier source vectoriel du logo au format ouvert .svg Inkscape. Latest press releases

Pourquoi le droit d’auteur n’a aucun sens pour un chercheur « Droits d’auteur En tant que chercheur, la plupart des droits d’auteur que je détiens portent sur des textes dont l’intérêt repose sur le fond et non sur la forme. Je ne suis pas romancier ni poète : du moment que mes textes sont clairs, bien structurés et concis, mes lecteurs s’en contenteront, sans que je sois tenu de faire du style. En revanche, la valeur des textes que je peux écrire (si valeur il y a – aux reviewers de le dire) tient dans les informations contenues dans le texte, c’est à dire dans les archives dépouillées, dans la mise en œuvre d’une culture historique, ainsi que dans la capacité à rapprocher des faits afin de leur donner une signification, dans la capacité à analyser des données, les contextualiser, les expliquer, faire des hypothèses puis tenter de les démontrer. Or, le droit d’auteur repose sur la forme. Plagier consiste à copier les phrases dans leur termes exacts (ou très proches). C’est pourquoi les grands journaux en open access publient sous licence libre. Like this:

La mission Lescure plaide pour un réaménagement du droit d'auteur Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alain Beuve-Méry Et si Pierre Lescure réussissait là où ses prédécesseurs ont échoué ? C'est pour l'instant un sans faute que l'ex-patron de Canal+ a accompli à la tête de la "mission de concertation sur les contenus numériques et la politique culturelle à l'heure du numérique", que lui a confié le gouvernement. Jeudi 6 décembre, rue de Valois, il a dressé un premier bilan d'étape de son équipe, en présence d'Aurélie Filippetti, ministre de la culture. Un des grands succès de la mission est d'avoir su établir des contacts avec tous les professionnels de la culture, comme avec leurs publics (jeunes, internautes, etc.), à l'exception notable de l'association de consommateurs UFC-Que choisir et de la Quadrature du Net, une association qui fédère des défenseurs des droits et liberté des citoyens sur Internet, partisan de la licence globale. "Cette prédominance américaine soulève des problèmes de souveraineté économique et culturelle. Le livre "à reculons"

danah boyd : pourquoi avons-nous peur des médias sociaux A l’occasion de la conférence SXSW qui se tenait mi-mars à Austin, Texas, la sociologue de Microsoft, danah boyd, a donné une très intéressante conférence sur « le pouvoir de la peur chez les publics en réseaux » dont elle a publié le transcript sur son site. Son intérêt pour cette question, comme elle l’explique, vient du fait qu’elle travaille particulièrement sur les cultures adolescentes et les rapports des jeunes aux nouvelles technologies (voir les nombreux articles que nous avons consacré aux travaux de cette chercheuse). Dans ce cadre, elle observe notamment l’intimidation en ligne et est souvent confrontée aux problèmes que les jeunes rencontrent via les réseaux sociaux. L’occasion de revenir avec elle sur comment les médias en réseaux favorisent nos angoisses et comment pouvons-nous les combattre. Pour danah boyd, si l’on suit une suite de causes à effets, les choses sont assez simples. Image : l’annonce de l’intervention de danah boyd sur le site de SXSW.

Mentions Légales Editeur Vous êtes actuellement connecté sur un site de la Mission « Culture-Acte 2 ». L’animation éditoriale est assurée par une équipe de modérateurs, en adéquation avec la charte de modération consultable ici. Lien Retrouvez la constitution de la mission, les retranscriptions audio de toutes les auditions, ainsi que des vidéos et des compte-rendus à cette adresse : www.culture-acte2.fr Contactez-nous Mission « Culture-Acte 2 » c/o Institut national du patrimoine (INP) Galerie Colbert 2, rue Vivienne 75002 Paris Contact par messagerie électronique : culture-acte2@culture.gouv.fr *protected email* Réalisation La conception graphique et la réalisation technique de la refonte du site www.culture-acte2.fr ont été réalisées par Groupe Lp 12, rue du Quatre Septembre 75002 Pariswww.groupe-lp.com Logo de culture acte-2 : Etienne Robial / MCC Hébergeur ITS Integra Crédits Déclaration de traitement automatisé d’informations nominatives auprès de la CNIL

Gratuité des transports collectifs. De l’expérience sociale à l’alternative politique La gratuité des transports collectifs (TC) semble être un sujet tabou dans la société et dans les sciences sociales [1]. Pourtant, une vingtaine d’agglomérations françaises ont franchi le pas ces dernières années. Analysant l’expérience menée à Aubagne depuis 2009, le passionnant ouvrage Voyageurs sans ticket. Liberté, égalité, gratuité montre que ce silence cache une gêne des décideurs, des chercheurs et des citoyens, en grande partie liée à une incapacité de « penser l’alternative ». En effet, les deux auteurs, l’élue communiste d’Aubagne Magali Giovannangeli et le philosophe Jean-Louis Sagot-Duvauroux, proposent une analyse rigoureuse de la gratuité qui se transforme, au cours de l’ouvrage, en un véritable plaidoyer politique. Une expérience sociale de transformation de l’« espace public » Mais c’est surtout l’analyse des effets sur la population qui devrait emporter la conviction du lecteur. L’appropriation sociale est-elle la clef du succès ? La question de l’alternative politique

Libertés sur Internet : le gouvernement doit s'engager Texte publié sur le blog de Philippe Aigrain, co-fondateur de La Quadrature du Net Un nouveau gouvernement vient d’être formé. Aurélie Filippetti y a été nommée ministre de la Culture et de la Communication. Dès la primaire socialiste, on a assisté à des valses-hésitations, avec des déclarations contradictoires sur fond de mobilisation frénétique des lobbys externes et de leurs représentants ou amis internes. Il faut aujourd’hui surtout espérer que l’on va enfin laisser travailler ceux pour qui c’est la création vivante et le partage de la culture par tous qui comptent. Que la commission annoncée pour explorer les voies de « l’exception culturelle 2.0 » soit constituée uniquement de personnalités indépendantes de tout intérêt économique (qu’il s’agisse de ceux des industries culturelles ou des intermédiaires d’internet), à charge pour elle d’auditionner qui elle estimera utile. Ces travaux prendront du temps.

La créativité expliquée Peut-on vraiment « manager », « améliorer la créativité, par des moyens précis ? J’avoue personnellement avoir toujours été assez sceptique sur le sujet, en partant du principe que si on innove à partir d’une méthode connue et éprouvée, alors ce n’est plus de l’innovation, par définition. Et les étagères des librairies consacrées au développement personnel, au management, voire au New Age, abondent en techniques infaillibles d’amélioration de la créativité, du jeu de rôle au mindmapping en passant par la programmation neurolinguistique, le brainstorming ou le sacrifice de boucs (la méthode la plus efficace à mon avis). Mais Anthony McCaffrey, dont les travaux ont été présentés ces jours-ci dans Science Daily, semble relancer le débat. Il est vrai que le bonhomme suscite l’intérêt puisqu’il a reçu un don de 170 000 $ de la National Science Foundation pour développer sa théorie et surtout mettre au point une technologie qui permettrait de lui donner une application pratique. Rémi Sussan

Jérémie Zimmermann Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jérémie Zimmermann Jérémie Zimmermann, de la Quadrature du Net, lors de la conférence internationale d'activisme "Mobilize!" en mars 2013. Jérémie Zimmermann, né en 1978 à Paris, est le cofondateur et l'ex porte-parole[1] de La Quadrature du Net, une organisation de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet Présentation[modifier | modifier le code] Il est le cofondateur et l'ex porte-parole de La Quadrature du Net de 2008 à 2014. Il a reçu le EFF Pioneer Award 2012 de l'Electronic Frontier Foundation, en même temps que d'autres personnalités ou groupes[3]. Il tient un site où il poste des photos urbaines de divers lieux[5]. Œuvres[modifier | modifier le code] Livres Menace sur nos libertés : Comment Internet nous espionne. Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Related: