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Les nouvelles stratégies du multi-canal

Le multi-canal est l’accès à la même information, sur plusieurs canaux de communication : je veux consulter mes comptes bancaires. Je peux en disposer sur un distributeur de billets, à l’agence auprès de mon conseiller clientèle, sur le portail internet de ma banque, etc… L’arrivée des nouvelles technologies apporte de nouveaux modes de relation, sur ces différents canaux ( smarphone, internet , téléphonie … ). Multi-canal, cross-canal, trans-canal, omni-canal, voilà les nouveaux concepts clés de l’entreprise. Prospective, et analyse ! L’homme est déjà multi-canal. Le multi-canal est une notion apparue avec la technologie d’internet, dans le marketing et le monde de l’entreprise. La tendance s’est accélérée depuis 2012, comme le montre le graphe des tendances de Google. Lorsqu’on parle de canal, on parle de canal de distribution : Le canal de distribution est la matérialisation du chemin suivi par un bien de son producteur au consommateur. L’homme en ce sens est intrasèquement muli-canal : Related:  BTS NDRC

Définition de l'omni-canal - Blog de Fora Formation juil 29, 2013 La convergence croissante des points de contact entre les distributeurs et leurs clients oblige les enseignes et les marques à fluidifier au maximum le parcours d’achat et faire vivre aux clients une expérience unique ! C’est l’ère de « l’omni-canal », de la reconnaissance du client, de la personnalisation du service. Le client est omni-canal Selon les résultats d’un sondage Ipsos réalisé en avril 2013, 72% des Français préfèrent réaliser leurs courses en magasin plutôt que sur Internet ; néanmoins les distributeurs doivent faire face à la montée en puissance du e-commerce et s’adapter aux nouvelles exigences du client omni-canal. Qui est le client omni-canal ? Découvrez le client omni-canal en vidéo : Désormais, ce n’est plus le vendeur qui balise le parcours d’achat du client, mais le client lui-même : Quelles sont ses attentes ? Nous assistons donc à une révolution des habitudes et parcours d’achat du client. Solution FORA

La Grande Récré continue d’ouvrir des corners avec ses trois partenaires Enseigne spécialiste du jeux et du jouet, des produits de loisir et de la fête, La Grande Récré poursuit sa stratégie d’ouverture de ‘’corners’’ et prévoit de nombreuses ouvertures d’ici fin 2020. L’enseigne souhaite en effet être au plus proche de ses clients. La Grande Récré continue l’ouverture de corners avec ses trois partenaires Total, le Club Med et les Galeries Lafayette. L’enseigne s’est lancée dans cette stratégie en 2013 en installant des corners dans des stations-services Total. Aujourd’hui, on compte 119 corners et trois autres ouvriront d’ici fin 2020. Offrant une belle visibilité à l’enseigne, ces stations ont généré une hausse de +10% en 2019, contre 2018. La Grande Récré est présente chez le Club Med depuis 2016 avec à ce jour 30 corners. L’enseigne est par ailleurs installée depuis 2019 chez les Galeries Lafayette via 6 corners proposant plus de 1 000 références. Patrick Rucart

Rethinking the Multichannel Banking Experience In response to customer demands, banks continue to invest in increased multichannel functionality and set a goal of delivering a consistent customer experience across all channels. The result is an environment where consumers have little incentive to choose one channel over another and where banks have are faced with increasing complexity and costs. A better solution may be for banks and credit unions to limit the functionality of all channels and to instead simplify the process of moving a customer from their preferred channel to the 'best' channel for different needs, thereby improving the overall customer experience. As I visit banks across the country, the majority are seeking to stem attrition and maintain customer satisfaction by providing consistent, integrated services across all channels and encouraging customers to self-select channels according to personal preference. The Omnichannel Dilemma Differentiating Channel Functionality Proactively Guiding Choice of Channels

Social Media ROI - Retour Sur Investissement des media sociaux : 15... Le QR Code va remplacer le code barre en supermarché, quel intérêt pour vous ? Le logo avec ses 24 traits noirs et ses 13 chiffres va s’effacer des packagings des bouteilles de shampoing, des spaghettis, des biscuits, des jus de fruits… au profit du QR Code augmenté. Et quelle révolution ! Car chaque jour sur la planète, 10 milliards de bips sont générés par le code-barres aux caisses des magasins. Arrivé aux États-Unis en 1973 puis en France dans les années 80, le code-barres est devenu un langage universel, utilisé par toutes les entreprises du monde. Une norme d’ici à 2027 L'installation de ce QR Code augmenté va être le chantier de GS1 (Global Standard 1), une organisation non gouvernementale à but non lucratif, qui établit des standards pour les entreprises. En test chez Monoprix, Decathlon, L’Oréal… Convaincues du bénéfice, certaines marques ont d’ores et déjà commencé à apposer ce nouveau symbole. Un moyen de lutter contre la fraude et la contrefaçon Autre avantage et non des moindres : la précision offerte par ce QR Code augmenté.

With Less Branch Traffic, Multi-Channel Marketing is a Must for Banks | Truebridge, Inc inShare29 According to a recent article entitled Piloting for Multi-Channel Marketing by Alan Schiffres and Jim Bramlett of the bank consulting firm Novantas LLC, about 25% of retail bank customers almost never visit a branch after opening their first account and 50% are big users of remote channels instead of a branch. So how is a bank supposed to increase its cross selling when fewer customers are coming into the branch? That question is especially pressing now, when cross selling is seen as a necessity to shore up fee revenue lost under the new Dodd Frank regulation. There is a way. Let’s think about how educational information links to a sale. The same holds true for financial products. So the answer is fairly easy. So less traffic in the branch does not need to translate to fewer cross selling opportunities.

Des exemples concrets pour mesurer le ROI des médias sociaux Cette semaine, je vais m’intéresser de plus près aux différentes méthodes dont dispose le Community Manager / Responsable marketing pour mesurer le retour sur investissement de ses actions effectuées sur les médias sociaux. Ce retour peut s’évaluer sous une forme monétaire, mais pas seulement. Certaines actions mises en place vous permettront d’intensifier le lien entre votre marque et vos clients/prospects de manière plus intense que par l’utilisation d’autres supports de communication. Je vais donc revenir tout le long de cet article sur les trois méthodes principales permettant de constater de la présence d’un quelconque retour sur investissement des actions menées par le Community Manager (ou plus globalement par l’équipe marketing). 1) Par l’analyse des conversations Il est possible de mesurer un quelconque ROI de la présence social-média d’une entreprise par l’analyse de ses conversations : statuts Facebook, tweets, statuts Google Plus, etc… Exemple Berceau Magique : Exemple Monoprix :

Omnicanal is detail - Olivier Dauvers Omnicanal, digital, les enseignes n’ont actuellement que ces mots en tête. Comme souvent (et au risque de passer pour un incorrigible “peine-à-jouir” / rassurez-vous quand même !), je rappelle juste que les plus brillantes stratégies commerciales n’ont de valeur que dans l’exécution. Dans le… “détail”. Parce que le client, lui, ne voit qu’une somme de détails, laquelle fait l’expérience d’achat. Exemple ici chez Auchan. Je m’intéresse par exemple à ce Crozes Hermitage MDD Pierre Chanau (anagramme d’Auchan, histoire d’offrir un vernis de culture G retail à ceux qui ne l’auraient pas remarqué 😉 ). Un pas en arrière, je l’aperçois dans le rayon. Et moi qui croyais naïvement que le “on-line” nourrissait le “off-line”.

Web Shopping for Branch Sales - BAI | Banking Strategies Banks are facing a critical balancing act in retail sales, with shopping activity shifting heavily online even as purchase activity remains centered in the branch. Among customers who have recently opened checking accounts, our research shows that 61% prefer web shopping – yet 68% still go to the branch to complete transactions. This split is having more impact than many retail bankers currently realize. At many banks, the perception of muted returns is preventing a more aggressive emphasis on web marketing and sales. Meanwhile, online teams often have a narrow incentive to maximize sales transactions that can be completed digitally, even at the expense of potentially more productive handoffs to the branch and the contact center. Such imbalances must be quickly addressed if banks are to successfully navigate the transition to a multi-channel marketplace. Casting the Net A key question is how to gain visibility online. Making the Sale Mr.

5 conseils pour les largués de la communication digitale Chapitre bonus de la communication digitale expliquée à mon boss par Frédéric Canevet, conseilsmarketing.fr Que cela soit clair : en 2013 le Marketing de Papa c’est fini ! En effet avec la conjoncture économique (réduction des budgets, concurrence exacerbée), les changements psychologiques (notamment l’infidélité des clients), les changements technologiques (Web et mobilité au premier chef), les bonnes vieilles méthodes doivent être revues. Il ne faut certes pas tout renier en bloc, mais dans un contexte économique plus dur, adapter les bonnes vieilles recettes avec une dose de « marketing 2.0 » devient incontournable. Voici donc mes 5 conseils incontournables pour ne pas être distancé par ses concurrents : 1 – Le Web est dynamique, rien n’est gravé dans le marbre Un des mauvais réflexes consiste à se dire qu’une fois qu’on a fait un site Web, un blog etc. le travail est fini. 2 – Mesurez tout ! 3 – Oubliez le hard-selling et passez à la vente au billard à deux coups ! En conclusion

Quelle est la différence entre cross-canal, omnicanal et multicanal ? Étude : le client multicanal achète davantage et l'Internet est stratégique | Campagnes cross-canal Le consommateur multicanal dépense 82 % de plus par transaction qu'un client qui achète seulement en magasin, selon la nouvelle étude publiée par Deloitte en décembre. L'étude précise aussi que, en valeur, 38 % de l'ensemble des transactions de détail dans les secteurs de l'habillement, des produits électriques et des articles ménagers sont maintenant influencés par l'Internet, avec 21 % d'achats directs en ligne tandis que 17 % sont des transactions multicanal. Avec 62 % des transactions influencées par l'utilisation en ligne, l'électronique est la catégorie multicanal la plus populaire. Les articles ménagers et l'habillement arrivent loin derrière avec respectivement 37 et 26 %. Par ailleurs, ce sont les acheteurs multicanal d'électronique qui dépensent le plus, avec une moyenne de 238 livres par transaction contre 160 livres seulement par transaction pour les acheteurs en magasin. Un consommateur averti est un acheteur motivé. Autres conclusions intéressantes :

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