The extended mind – how Google affects our memories Information has never been easier to find or record. Within seconds, the Internet lets us find answers to questions that would have remained elusive just a few decades ago. We don’t even have to remember the answers – we can just look them up again. Now, three psychologists have shown how our memories might react to this omnipresent store of information. They have found that when American students expect to have access to information in the future, they remember that information less well. The study lends some solid experimental weight to a game of speculative ping-pong that has bounced along for years. Critics pointed out that Carr had little evidence for his arguments. Ratliff wrote, “Perhaps the Web, then, is like a spouse who is around all the time, with a particular knack for factual memory of all varieties… There have to be doctoral students out there right now, working on clever studies about what having Google in your pocket does to your retentive abilities.”
Une déclaration unilatérale des droits de l’homme numérique qui confond dangereusement données personnelles et œuvres de l’esprit Les associations Open Knowledge Foundation France, La Quadrature du Net, Savoirs Com1, Framasoft, Libertic, Creative Commons France, April et République Citoyenne dénoncent la tribune du Forum d’Avignon « Pour une déclaration préliminaire des droits de l’homme numérique » qui confond dangereusement données personnelles et œuvres de l’esprit. English version [Début du communiqué] Paris, le 8 octobre 2014 – En novembre 2013, le Forum d’Avignon avait publié un manifeste intitulé « Principes d’une déclaration universelle de l’internaute et du créateur à l’heure du numérique » dans lequel il tentait d’assimiler données personnelles et créations en créant le concept de données culturelles numériques : « Les données culturelles numériques de chaque individu lui appartiennent. Lors de son forum du 19 septembre, Le Forum d’Avignon a réitéré en publiant la tribune « Pour une déclaration préliminaire des droits de l’homme numérique ». [Fin du communiqué] Signataires :
Guide de l'open source Depuis 2004, environ, Smile publie régulièrement des livres blancs pour présenter l’extraordinaire richesse de cette offre : la gestion de contenus en 2004, les portails en 2005, la business intelligence en 2006, la virtualisation en 2007, la gestion électronique de documents et les PGIs/ERPs en 2008, les VPN open source et les Firewall en 2009, l’ecommerce et les Réseaux Sociaux d'Entreprise en 2010, NoSQL en 2011, Mobile et Recensement/audit open source en 2012, etc. 30 ouvrages en tout, accessibles en libre téléchargement, qui présentent une sélection des meilleures solutions open source dans le domaine considéré, leurs qualités respectives, ainsi que des retours d’expérience opérationnels. Il manquait à cela un référentiel central, présentant le meilleur de l’offre open source afin notamment d’orienter, d’aiguiller les donneurs d’ordres vers les solutions de référence. Les demandes ont été nombreuses en ce sens, notamment des DSI.
Qu’est-ce que nos internets ont en commun Dans le prolongement de l'excellent Mainstream (2010), une passionnante enquête sur le fonctionnement et l'évolution des industries culturelles à travers le monde, le journaliste et sociologue Frédéric Martel (Wikipédia, @martelf), producteur de Soft Power sur France Culture, vient de publier Smart, enquête sur les internets. Et ce livre est tout aussi passionnant que le premier. Il est passionnant parce que Martel, en nous emmenant avec lui de la Silicon Valley à Shenzhen, de Soweto à Mexico, de Bangalore à Skolkovo, de Tel-Aviv à Beyrouth, Le Caire ou Gaza... fait quelque chose que la meilleure utilisation des services web ne parviendra jamais à faire… Il les matérialise ! Il rend les internets concrets, réels. Derrière leurs fonctions et fonctionnements uniformes, il leur redonne de la diversité. Internet, moteur de diversité ? Le voyage auquel nous invite Frédéric Martel est passionnant parce que la thèse qu'il défend l'est tout autant... Hubert Guillaud
How to solve impossible problems: Daniel Russell’s awesome Google search techniques Daniel Russell stood in front of a crowd of investigative journalists in Boston last week and showed us this picture of a random skyscraper in an unknown city: Russell posed a riddle: What’s the phone number of the office where this picture was snapped? Let that sink in. Nothing in that office was even in the photo. “Once you know these tricks, you can solve problems that look impossible,” Russell said. There are plenty of Google search cheat sheets floating around. Here are some of my favorite tips shared by Russell at the 2012 Investigative Reporters and Editors conference. Most of what you know about Boolean is wrong.Don’t bother typing AND in your search queries – Google treats it like any other word.But OR in all caps actually works. Part of the skill here is being fascinated about language. Think about how somebody else would write about the topic.Search is all about someone else’s language. This is a very good thing because you can now follow a topical area.” Related
MOOC et e-learning, quelles différences ? La semaine passée, une internaute a adressé une question à Thot sur Twitter : "Quelle différence entre MOOCs et e-learning ?" "Difficile de répondre en 140 caractères..." a répondu notre community manager... Voici donc la réponse, un peu plus longue. Au sens strict du terme, le MOOC est une des modalités de l'e-learning. Mais cette réponse n'épuise pas le sujet. E-learning, e-learning et e-learning Très schématiquement, on range dans la catégorie "e-learning" trois objets / dispositifs distincts : - Le cours en ligne fermé, distribué par un organisme de formation ou un établissement d'enseignement, destiné à un groupe d'apprenants régulièrement inscrits et ayant donc acquitté des droits d'inscription, distribué sur une plateforme (Learning Management System ou LMS), dispensé seul ou dans le cadre d'un parcours de formation, diplômant ou pas. Exemples : La formation à distance à l'Université Laval (Québec) : Massifs, et ça change tout
« Information wants to be free , vous vous souvenez ? | «:: S.I.Lex :: C’est sans doute l’une des phrases les plus célèbres prononcées à propos d’Internet : en 1984, l’auteur américain Stewart Brand lance au cours de la première Hacher’s Conference organisée en Californie : Information wants to be free. Ces mots deviendront l’un des slogans les plus forts du mouvement de la Culture libre et ils rencontrent encore aujourd’hui des échos importants, avec l’affaire Wikileaks par exemple, les révolutions arabes ou le mouvement de l’Open Data. L’idée de base derrière cette formule consiste à souligner que l’information sous forme numérique tend nécessairement à circuler librement et c’est la nature même d’un réseau comme internet de favoriser cette libération. Bits. Mais les choses sont en réalité un peu plus complexes et Stewart Brand dès l’origine avait parfaitement conscience que la libre circulation de l’information était un phénomène qui engendrerait des conflits : On the one hand information wants to be expensive, because it’s so valuable. Capsules. [...]
Réinventer un rapport au temps, par Bernard Stiegler Bureau de Bernard Stiegler, Épineuil-le-Fleuriel, 28 juillet 2013, cliché Dom Lacroix Ce texte fait suite à la 1ère partie (Séquences vidéo 1 et 2) : Le blues du Net (Séquence vidéo 3) Est-ce que l’Europe, aujourd’hui, a les moyens de faire une proposition au monde, et de quel type pourrait être cette proposition ? Bernard Stiegler : Elle en a évidemment les moyens intellectuels comme je l’ai dit tout à l’heure, et elle en a les moyens financiers, tout aussi bien qu’infrastructurels (très bien équipée, elle met pour le moment ces équipements surtout au service du développement de l’économie californienne), mais elle doit impérativement s’en donner les moyens politiques et organisationnels : elle en a l’obligation vitale. L’avenir de l’Europe est aujourd’hui extraordinairement menacé. Bernard Stiegler, Épineuil-le-Fleuriel28 juillet 2013, cliché Dom Lacroix C’est Thalès qui a constitué la première communauté peer to peer au 7e siècle avant J-C. La plateforme Digital studies de l’IRI NB.
Pour un droit au partage des livres numériques Philippe Aigrain a réagi sur blog à l’annonce de la plainte déposée par les éditeurs français contre le site de la Team AlexandriZ, ainsi qu’aux discussions qui s’en sont suivies sur les réseaux. Il y défend l’idée qu’un droit au partage doit être reconnu pour les livres numériques, thèse qu’il avait déjà mise en avant dans un billet publié au début de l’année : La prévisibilité de cette guerre au partage m’a poussé depuis longtemps à estimer que c’est aussi et même particulièrement dans le domaine du livre numérique qu’il faut d’urgence reconnaître un droit au partage non-marchand entre individus associé à de nouvelles rémunérations et financements, faute de quoi le déploiement massif des DRM et la guerre au partage feront régresser tragiquement les droits des lecteurs - et parmi eux des auteurs - même par rapport aux possibilités du livre papier. Flying Books. Par graymalkn. Copier n’est pas voler. Je reproduis ci-dessous le billet de Philippe Aigrain, placé sous licence CC-BY-SA.
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