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Désir

Désir
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Désirs naturels[modifier | modifier le code] Les philosophes, depuis les origines de la philosophie, se sont demandé quelle place faire aux désirs. Les réponses sont très variées. La classification des désirs[modifier | modifier le code] les dieux ne sont pas à craindre ;la mort n'est pas à craindre ;la douleur est facile à supprimer ;le bonheur est facile à atteindre. C'est en vue de ce dernier qu'il faut plus particulièrement penser le désir. Cette classification n'est pas séparable d'un art de vivre, où les désirs sont l'objet d'un calcul en vue d'atteindre le bonheur. Selon Épicure "Parmi les désirs naturels, les uns sont nécessaires pour le bonheur les autres pour le fait de vivre." Il existe également six grands désirs qui animent les hommes et correspondent en même temps à six des sept péchés capitaux répertoriés par la religion chrétienne : Le calcul des plaisirs[modifier | modifier le code] Doit-on contrôler nos désirs ?

Pouvoir (philosophie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Pouvoir. Pouvoir vient du verbe pouvoir qui signifie « avoir la capacité » ou « avoir la possibilité » de faire, de percevoir etc. Par exemple, lorsqu'on dit que l'on peut faire quelque chose, cela veut dire que : on en possède la capacité ;personne ne nous en empêche ;on ne craint pas les conséquences ;concernant certaines formes d'expression, on dit simplement qu'on ne « peut pas » ; Le pouvoir est donc proche de la question de la possibilité. À l'échelle individuelle, avoir le pouvoir signifierait avoir la possibilité de faire. Le terme démocratie signifie étymologiquement « pouvoir du peuple ». Dans un système simple, le pouvoir ne peut être que rapport de forces (force morale ou force physique). Il y a donc de nombreuses situations de pouvoir, et de multiples façons de classer l'exercice du pouvoir Ainsi ont pu apparaître des analyses plus pragmatiques. On distingue différentes formes de pouvoir :

Pouvoir politique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Pouvoir. Il existe de nombreuses façons d’exercer un tel pouvoir, la plus évidente étant celle du chef politique officiel d'un État, tel qu'un président, un premier ministre, un roi ou un empereur. Dans beaucoup de cas, la sphère de l'influence n'est pas contenue dans un seul État et on parle alors de puissance internationale. L'histoire est remplie d'exemples où le pouvoir politique a été utilisé nuisiblement ou d’une manière insensée (abus de pouvoir). Pour parer à de tels problèmes potentiels, certaines personnes ont pensé et mis en pratique différentes solutions, dont la plupart reposent sur le partage du pouvoir (telles que la démocratie), les limitations du pouvoir d’un individu ou d’un groupe, l’augmentation des droits protecteurs individuels, la mise en place d’une législation ou de chartes (telles que celle des droits de l'homme). Notes et références[modifier | modifier le code]

Pouvoir (sociologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. r Pour les articles homonymes, voir Pouvoir. Cet article concerne le pouvoir tel que perçu dans la relation entre les individus. Le pouvoir est souvent considéré comme une relation entre des acteurs sociaux (des individus, des groupes sociaux ou classes sociales). C'est pourquoi l'on distingue deux sortes de pouvoir : Le pouvoir d'injonction reposant sur la coercition, c'est-à-dire la contrainte. Deux sources du pouvoir sont envisageables : On dira qu'un individu a du pouvoir sur un autre individu non pas en vertu de ses qualités personnelles mais en fonction du poste attribué. Le pouvoir qu'un acteur a dans une organisation est intimement relié à la défense de sa propre cause dans l'organisation. En politique, le pouvoir est la capacité à obtenir des choses et surtout des individus qu'ils se comportent comme on le souhaite. Le terme démocratie signifie étymologiquement « pouvoir du peuple ». Sur les autres projets Wikimedia :

Théorie de l'alliance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie de l'alliance (ou théorie générale de l'échange) est le nom donné en France à la méthode structurale d'étude des relations de parenté. Elle a été exposée pour la première fois par Claude Lévi-Strauss dans son ouvrage Les structures élémentaires de la parenté, paru en 1949. Dans ce domaine particulier des études des relations de parenté, elle s'oppose à la théorie fonctionnaliste défendue entre autres par Radcliffe-Brown Contexte historique et scientifique[modifier | modifier le code] La théorie de l'alliance constitue le fondement du structuralisme en anthropologie, qui a orienté la majeure partie des travaux ethnologiques français jusque dans les années 1980. La théorie de l'alliance proprement dite fut élaborée à partir de l'étude ethnographique de sociétés extra-européennes, où se manifestaient des relations étroites entre consanguinité et affinité. La théorie[modifier | modifier le code] Critiques[modifier | modifier le code]

Alliance (famille) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Alliance. L'alliance est un lien sacré entre deux familles ou entre deux groupes ethniques, qui est fondé sur un traité assorti d'un ou de plusieurs mariages et qui fait entrer des personnes et leur descendance dans la parenté réelle ou fictive d'une autre famille. La plus petite alliance est le mariage, la plus grande un traité de paix ou d'hospitalité entre deux nations. Cette dernière catégorie est souvent assortie d'un mariage croisé entre les enfants des chefs ou des rois. Dans certains pays, qui ont des lois d'unions civiles, il arrive que l'état civil des personnes soit modifié et crée donc un lien d'alliance comme le mariage. C'est le cas en Suisse depuis la loi sur le partenariat enregistré[1], réservé aux couples de même sexe. En France, seul le mariage crée juridiquement l'alliance. 2 La dissolution du mariage ou du partenariat enregistré ne fait pas cesser l’alliance.»

Bonheur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour le canard de fiction, voir Gontran Bonheur. Le bonheur se lit sur le visage de cet enfant. Définition[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] Étymologiquement, ce mot vient de l'expression « bon eür ». « Eür » est issu du latin augurium qui signifie « accroissement accordé par les dieux à une entreprise ». augere, auctus : « s'accroître » qui a donné augmenter…auctor : « qui fait croître », « fondateur », « auteur », qui a donné auteur, autoriser, autorité, octroyer… Du point de vue de l'étymologie, le bonheur est l'aboutissement d'une construction, qui ne saurait être confondue avec une joie passagère. Bonheur et plaisir[modifier | modifier le code] Le bonheur et le plaisir sont deux notions qui portent à confusion. En philosophie[modifier | modifier le code] Épicure (3eme s. av JC)[modifier | modifier le code] Blaise Pascal (XVIIe siècle)[modifier | modifier le code] Qu’est-ce que le bonheur ?

Manipulation mentale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue d'artiste de la coercition et du lavage de cerveau La manipulation mentale est l'ensemble des tentatives obscures ou occultes de fausser ou orienter la perception de la réalité d'un interlocuteur en usant d'un rapport de pouvoir, de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission non volontaire ou consentie. Quand ce pouvoir ne s’exerce pas sur un objet, mais se rapporte au contrôle psychique d’une personne, on parle de manipulation mentale[1]. Cette notion protéiforme est récente dans ses contours, dérivée de la théorie du « lavage de cerveau » encore mal connue. Notion controversée[modifier | modifier le code] Arnaud Esquerre, sociologue, pose les questions « Qu’est-ce qui distingue un consentement fabriqué d’un consentement non fabriqué par quelqu’un d’autre ? La manipulation mentale est un élément de compréhension essentiel de certaines dérives pour les uns, mais une thèse réfutée pour les autres[5]. En France

Persuasion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La persuasion, du latin persuasio, est l'action d'amener quelqu'un à quelque chose, à croire, à faire, à vouloir, à convaincre, « à la faveur d'une connivence »[1]. « L'art de persuader a un rapport nécessaire à la manière dont les hommes consentent à ce qu'on leur propose, et aux conditions des choses qu'on veut faire croire »[2]. Les anciens qui ont défini l'éloquence, le talent de persuader, ont distingué persuader de convaincre, le premier de ces mots ajoutant à l'autre l'idée d'un sentiment actif excité dans l'âme de l'auditeur et joint à la conviction[3]. Avant-propos[modifier | modifier le code] La persuasion vise à faire, sans expliciter toujours son but. Introduction[modifier | modifier le code] La persuasion, « cette souveraine toute-puissante des hommes »[5], appartient au domaine de l'influence, elle n'est qu'une péripétie de l'action sur autrui. Quelques méthodes de persuasion[modifier | modifier le code] le contrôle de l'esprit

Influence (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychologie, l'influence est le processus par lequel une personne fait adopter un point de vue par une autre. L'influence opère une inflexion : celui qui aurait pensé ou agi autrement s'il n'était pas influencé se dirige dans le sens que souhaite l'influent de façon apparemment spontanée. Cette notion d'influence peut recouvrir aussi bien : des phénomènes de persuasion (A convainc B de la vérité d'une proposition X ou de la valeur Y, ou encore il le persuade d'adopter le comportement Z)que des phénomènes d'imitation ou mimesis, au sens où l'on dit, par exemple que B est sous l'influence de A parce qu'il l'admire, qu'il désire l'imiter, gagner sa reconnaissance, partager un peu de son prestige... L'influence est souvent celle d'un groupe. L'influence s'exerce aussi par des réseaux : des ensembles stables de relations humaines qui agissent dans le même sens et souvent échangent des informations précieuses, des services... G.

Biais cognitif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un biais cognitif est un schéma de pensée, cause de déviation du jugement. Le terme biais fait référence à une déviation systématique par rapport à la réalité. L'étude des biais cognitifs fait l'objet de nombreux travaux en psychologie cognitive, en psychologie sociale et plus généralement dans les sciences cognitives. Ces travaux ont identifié de nombreux biais cognitifs propres à l'esprit humain [réf. nécessaire] à travers de multiples domaines : perception, statistiques, logique, causalité, relations sociales, etc. Liste de biais cognitifs[modifier | modifier le code] Biais sensori-moteurs[modifier | modifier le code] Biais attentionnels[modifier | modifier le code] Biais d'attention (en) — avoir ses perceptions influencées par ses propres centres d’intérêt Biais mnésique[modifier | modifier le code] Biais de jugement[modifier | modifier le code] Biais de raisonnement[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]

Quatre causes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie aristotélicienne de la causalité désigne la conception de la causalité développée par le philosophe Aristote. Forgée au IVe siècle av. J. La cause matérielle[modifier | modifier le code] Il s'agit de la cause la plus inaccessible, la moins connaissable, bien qu'elle soit en même temps la plus évidente. Et s'il est possible à l'intellect de l'homme de dégager la forme de la matière, ce qui rend la connaissance possible, il ne lui est pas possible d'envisager la matière seule, pure. Dans les concepts fondamentaux d'Aristote, la puissance est associée à la matière. La cause formelle[modifier | modifier le code] La cause motrice ou du changement[modifier | modifier le code] Les disciples d'Héraclite affirmaient qu'il était impossible de connaître quoi que ce soit[réf. nécessaire], du fait que toute chose est en mouvement permanent — ce pour quoi Platon proposera sa théorie des Formes, ou Idées, immuables. Portail de la philosophie

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