Marinaleda: Le village andalou du bonheur, un modèle d'auto-gestion Depuis l’alerte google Alternatives au capitalisme j’ai récemment découvert l’existence de MARINALEDA, une commune de 2645 habitants en Andalousie « où Marx vivrait s’il était encore en vie, avec zéro chômage, zéro policier et des habitations à 15 euros par mois » (1). Une alternative au capitalisme réalisée à moins de 2000 km de chez nous et qui fonctionne depuis plus de 30 ans sans que je n’en aie jamais entendu parler ? A la première occasion, c’est donc sac à dos, train, bus et autostop que j’irai pour vérifier si cette belle utopie existe vraiment… Comme c’est Pâques, je tombe en pleine Semana Santa. J’apprends que la fête de la paix qui tombe durant la Semaine Sainte y est effectivement une tradition depuis plusieurs années et beaucoup de jeunes de Sevilla, Granada ou Madrid ont rejoint les villageois. Le droit à la terre et au travail A la ferme de la coopérative, EL HUMOSO, les associés travaillent 6.5h par jour, du lundi au samedi, ce qui donne des semaines de 39 h. S’organiser
10 idées d'étudiants pour lhabitat du futur Des capsules interchangeables, une maison en tissus, des habitats à plusieurs plutôt que plus nombreux... Les étudiants du monde entier ont planché sur l'habitat du futur pour la compétition internationale de maisons solaires Solar Décathlon, qui aura lieu à Versailles en 2014. Voici 10 de leurs idées les plus surprenantes. 1 – La maison en tissus Cette maison est entourée d’une enveloppe textile très innovante, capable de réguler passivement toutes les propriétés de la maison. Maquette dévoilée le 6 novembre à la Cité de l'architecture et du patrimoine, à Paris, à l'occasion de la présentation à la presse. 2 – La capsule nomade Après Vélib’ et Autolib’, voici « Livelib’ ». Projet imaginé par les étudiants parisiens. 3 – La nouvelle maison mitoyenne Les étudiants français et américains se sont alliés pour réinventer le concept de maisons mitoyennes. 4 – Les appartements sur les toits... Module envisagé par les étudiants danois pour la ville de Copenhague. Le projet imaginé à Berlin.
Finance islamique, la solution ? Je te rejoint chère ami. Je suis marocain musulman pratiquant et je n’ai jamais foulé cette terre que l’on appelle France. Je ne suis pas pressé de la fouler tant que des vendus sont au pouvoir et trahissent les vrais valeurs républicaines ! Égalité fraternité et diner au Crif pour se prosterner devant des dirigeants inconnus et secrets Ce n’est pas la France, je répète, je ne suis pas Français, mais je pleure pour elle. Ce combat est votre combat, c’est à dire retrouver votre honneur et le site E&R s’éloigne peu à peu du coeur du problème. De toute façon ce site est le fruit de la réflexion de Monsieur Soral, qui est sympathisant à la cause islamique et dénonce la manipulation médiatique qui diabolise cette religion de paix, mais pour le moment sauvons la France et ses Goy de Souche !! Enfin, étant musulman, j’ai justement eu une discussion aujourd’hui avec un athée qui me disait que Dieu n’existait pas, la preuve des enfants meurent chaque jours de faim ... Pourquoi ??
La maison du futur sera une maison intelligente Il est 6h, alors que tous les occupants dorment encore profondément, la maison commence à s’activer. À la cuisine, le café commence à couler, le four se met en marche. Le petit-déjeuner se prépare seul. Finies les corvées Dans la journée, le frigo aura pris soin de commander sur Internet ce qui manque. Tester la maison du futur La maison Futurelife à Hünenberg ou la maison T-Com à Berlin, des maisons-test, contiennent les solutions d’avenir déjà disponibles en matière de télécommunications, d’électronique de loisirs et de domotique. Pendant quelques jours, des familles peuvent s'installer dans ces maisons et tester l'ensemble des technologies. La cuisine sera modulable Souvent la cuisine est un espace exigu. Dans l’avenir, la cuisine devrait être adaptée aux utilisateurs tout en laissant une possibilité d’évolution.
A l’aide les ampoules ! Comparatif des incandescentes, halogènes, base consommation et… LED. (Mise à jour!). Accueil » Argent et politique, Écologie, environnement et animaux » A l’aide les ampoules ! Comparatif des incandescentes, halogènes, base consommation et… LED. (Mise à jour!). Edifiant! Img/lampe-led-4g.com Note de TS : A noter que si les Pinocchio décidaient d’abandonner les ampoules à « basse consommation », d’une durée de vie de 8000 heures, pour les remplacer par des LED, d’une durée de vie de 30000 heures et dont la lumière au passage est maintenant proche de celle du spectre solaire, nous ferions encore d’énormes économies d’énergie et on pourrait fermer plusieurs centrales nucléaires en France. Mais ces ampoules LED coûtent encore 5 fois plus cher à l’achat que les ampoules « basse consommation » (10 fois plus que les ampoules à incandescence !) Vraiment, nos Pinocchio font tout, tout pour la planète et le porte-feuilles des citoyens !!! Escroquerie, quand tu les tiens !!! A l’aide !!! Pour en savoir plus, cliquer ICI scientificamerican.com/article.cfm?
Green Float : les villes vertes flottantes du futur ? Les villes du futur seront-elles des îlots flottants, écologiques et auto-suffisants dérivant lentement sur les eaux chaudes du Pacifique comme des nénuphars à la surface de l’eau ? C’est en tout cas ce qu’imagine la société japonaise Shimizu Corporation avec son projet Green Float. Bien qu’encore complètement hypothétique, le projet mérite d’être parcouru. Green Float : les villes flottantes du futur ? Une vie en harmonie avec la nature ; c’est le critère essentiel que la société Shimizu aimerait mettre au centre des villes du futur. Le projet Green Float décrit des cellules flottantes qui pourraient héberger de 10.000 à 50.000 habitants. Green Float : une vue aérienne Les tours seraient entourées de terres cultivables et de forêts qui assureraient une auto-suffisance en alimentation. Green Float : une vue en coupe d'un îlot Des îlots (à droite) se regroupent pour former une ville (au centre) et même un ensemble de villes (à gacuhe) Bien sûr, ce projet est aussi (et surtout ?)
Revenu de Base… utopie ou nécessité ? - RTBF Opinions Une des premières initiatives citoyennes européennes à avoir été lancée concernait le revenu de base inconditionnel. Elle a été refusée par la Commission. Cela n'empêche pas les défenseurs de cette idée, comme Pierre-Yves Ryckaert, de continuer à la promouvoir. Ils ont d'ailleurs décidé de représenter un projet d'initiative auprès des Institutions européennes. " Face au monde qui change, il vaut mieux penser le changement que changer le pansement. " Francis Blanche L’actualité est là pour le rappeler, les bases sur lesquelles sont construites notre société ne sont plus viables à terme. Le mythe du plein emploi Parmi les remèdes inefficaces présentés inlassablement par nos décideurs comme " la " solution à tous nos problèmes socio-économiques, l’idéologie du plein emploi a la dent dure. " Inventer, c’est penser à côté. " Albert Einstein Mais qu’est-ce donc que ce " revenu de base " ? Cela ne créerait-t-il pas une armée d’inactifs ? Une utopie réaliste ?
Visions CSFA- Tribune de Mr Mondialisation : Le changement, ce n’est pas « maintenant » mais « depuis toujours ». On s’interroge souvent sur nos conditions dans la société actuelle. La plupart d’entre-nous sont nés avec l’enseignement des droits de l’Homme, de la démocratie moderne, de l’Histoire (souvent chaotique) que l’humanité a écrite au cours des siècles précédents… On y cherche des solutions pour rendre réelle l’égalité des droits, des chances, des libertés, des moyens pour chaque citoyen. On va dire, c’est pas nouveau, ça fait des siècles que des humains se battent pour transformer « positivement » la société dans laquelle ils vivent. À chaque époque, à chaque période « clé », de nouvelles évidences apparaissent, dans une certaine mesure, dans la conscience globale. Il n’y a pas que les guerres et les révolutions qui induisent le changement. Ce fameux courant est né de ceux qu’on appelle « les bohèmes ». À notre époque, il est possible de ne pas être « fils de bourgeois » et malgré tout, de vivre en marge de la société. Pourquoi parler de « hackers » ? question.