Juste valeur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La juste valeur (fair value en anglais) est une méthode de valorisation des actifs prônée par de nombreux référentiels comptables, tels que le PCG en France pour les actifs de transaction ("trading book") et les normes comptables internationales IFRS, qui s'appliquent aux comptes consolidés des sociétés cotées ; elle y est définie comme « le montant lu pour lequel un actif pourrait être échangé, ou un passif éteint, entre parties bien informées, consentantes, et agissant dans des conditions de concurrence normale ». Depuis le 1er janvier 2013, IFRS 13 en donne une définition légèrement amendée : "le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché à la date d’évaluation". Selon la méthode de la juste valeur, les actifs doivent être valorisés dans les bilans à cette valeur à la date de clôture du bilan. Avantages[modifier | modifier le code]
Show électoral aux USA Au cours des 30 dernières années, aucune élection présidentielle US n’a marqué de changement dans la politique extérieure de Washington. Les décisions importantes ont toujours été prises en dehors de cette échéance. Il est tout à fait évident que le président est le maître d’œuvre d’une politique dont il n’est pas le décideur. Tous les quatre ans, l’élection du président des États-Unis donne lieu à un show planétaire. Dans certains pays, notamment en Europe, la couverture médiatique de cet événement est aussi, sinon plus, importante que celle de l’élection du chef d’État local. C’est que l’on confond scrutin électoral et démocratie. L’affaire Gore contre Bush (2000) aura rappelé que l’avis des citoyens n’est que consultatif. L’illusion ne s’arrête pas là. Regardons un instant l’agenda du président US : audiences, discours et inaugurations se succèdent sans interruption. Et la politique internationale dans tout cela ?
La dette mondiale continue à exploser Par Charles Sannat. Voici une illustration de l’endettement mondial officiel. Officiel, car il y a également tout ce qui n’est pas comptabilisé ou mis « hors bilan ». Comme vous le savez, puisque c’est le message repris en boucle depuis le début de la crise en 2007, tout va bien. Tout va bien et c’est même la reprise. Tout va bien, et si pour l’Europe la situation n’est pas facile, le monde, lui, est un océan de croissance et de prospérité, raison pour laquelle la France en particulier devrait faire des réformes. Pourtant rien n’a changé, tout a empiré, tout le monde le sait, personne ne veut le voir ! Rien n’a changé mes chers amis, j’aurais bien aimé moi aussi mais tel n’est pas le cas. Ainsi, depuis 2007, la dette globale mondiale a augmenté de 57 000 milliards de dollars et il n’y a pas d’erreur dans le chiffre que je viens d’écrire, je répète : cinquante-sept mille milliards de dollars… Cette étude a été réalisée par le très sérieux cabinet McKinsey, un cabinet américain. —Sur le web.
Dépopulation : Obama autorise la stérilisation des mineures à partir de 15 ans. Stabiliser la population mondiale à 500 millions d'individus est un des objectifs prioritaires du NOM. Dans l'État de l'Oregon, la législation Obamacare, qui est entrée en vigueur le 1 ier Août 2012, autorise des stérilisations gratuites pour les filles dès l'âge de quinze ans. Maintenant, votre fille en première année d'études secondaires, pourra choisir, sans votre consentement, d'être définitivement stérilisée. ...Oubliez les étapes de l'obtention d'un permis de conduire à 16 ans et la capacité juridique de boire à 21, être stérilisée à 15 ans est désormais la première étape dans le processus de maturité sociale de la jeunesse américaine.Les «lignes directrices obligatoires Santé plan de couverture» prévues par le "Department of Health and Human Services" des États stipulent qu'à partir du 1er Août, 2012, la FDA soutient les méthodes de contraception, les procédures de stérilisation, l'éducation et le conseil du patient pour toutes les femmes ayant la capacité de reproduction.
» [4 ans déjà] Le testament de Maurice Allais (1911-2010) Le 9 octobre 2010, disparaissait Maurice Allais à l’âge respectable de 99 ans, qui avait tout annoncé…C’était le seul prix Nobel d’économie français. Né le 31 mai 1911, il part aux États-Unis dès sa sortie (major X31) de Polytechnique en 1933 pour étudier in situ la Grande Dépression qui a suivi la Crise de 1929. Ironie de l’histoire, il a ainsi pu réaliser une sorte de “jonction” entre les deux Crises majeures du siècle. Lettre aux français : “Contre les tabous indiscutés” Le 5 décembre 2009, le journal Marianne a publié le testament politique de Maurice Allais, qu’il a souhaité rédiger sous forme d’une Lettre aux Français.Je vous conseille de le lire, il est assez court et clair. Le point de vue que j’exprime est celui d’un théoricien à la fois libéral et socialiste. Le fondement de la crise : l’organisation du commerce mondial Il faut délocaliser Pascal Lamy ! Un protectionnisme raisonné et raisonnable Crise et mondialisation sont liées Un prix Nobel… téléspectateur Maurice Allais. Liens
Ce qui arrive aux musulmans nous arrivera à tous Traduction Catherine pour ReOpenNewsLa décision de la Cour Européenne des droits de l'Homme de refuser de bloquer l'extradition vers les Etats-Unis du religieux musulman radical, Abu Hamza al-Masri, et de quatre autres personnes supprime l'un des derniers remparts externes contre l'émergence de notre Etat-Goulag. Masri et les quatre autres, tous détenus dans des prisons britanniques, rejoindront bientôt les centaines d'autres Musulmans traduits aux Etats-Unis, au cours de la dernière décennie, devant les tribunaux fédéraux établis au titre de l'Article III. Les procès équitables sont peu probables. Il ne s'agit pas ici de la culpabilité ou de l'innocence de Masri, un Égyptien qui a perdu un oeil et une main en tant que moudjahiddin combattant en Asie Centrale, qui a appelé à plusieurs reprises à la violence contre les États-Unis et a prétendument aidé à orchestrer cette violence. Il y a actuellement environ 25 000 prisonniers emprisonnés dans des établissements « SuperMax ».
9 mai 1873. En Europe, aux USA, les Bourses plongent, la crise, le chômage... Déjà. La crise ! La crise ! On n'entend parler que d'elle depuis quelques années. Horreur, ô désespoir, les Bourses chutent, l'économie s'effondre, l'emploi disparaît... C'est la fin du monde ! Mais non ! Le 9 mai 1873, affolement à la Bourse de Vienne. Fièvre immobilière Une fois de plus, les banquiers paient leur totale irresponsabilité. La crise s'étend rapidement à l'Allemagne, dont les banques sont atteintes de la même fièvre immobilière. Wall Street fermé dix jours Après avoir pulvérisé les banques outre-Rhin, le krach décide de visiter Paris, qui abrite également sa bulle immobilière. Les faillites se déclenchent en cascade. En Europe centrale, la dépression fait également rage, plongeant de nombreuses populations dans la misère.
L’histoire (oubliée) de l’isolationnisme américain Malgré ses fondements peu susceptibles d’entraîner l’émergence d’un État diplomatiquement interventionniste, le changement dans la politique étrangère a bien eu lieu. Après les prémices des années 20 et 30, le tournant définitif s’opère en 1945. Suite à la victoire des Alliés, les États-Unis sont la seule économie majeure à sortir renforcée de la guerre, n’ayant pas connu de destruction sur son propre territoire. Avec le Plan Marshall, les Guerres de Corée et du Vietnam, Les États-Unis vont devenir une « superpuissance » politique mondiale. Ces événements ont cependant lieu dans le cadre de la guerre froide. Nombreuses sont pourtant les voix qui se sont levées, dès les années 20, pour dénoncer un interventionnisme contraire à la nature et à l’intérêt profond du pays. Howard H Buffet, un congressiste républicain (anticommuniste) critiqua la pertinence et la moralité de l’interventionnisme militaire américain, en particulier au sujet de la guerre froide.
Liste des crises monétaires et financières Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Voici, ci-dessous, un ensemble de tableaux récapitulant les crises ayant durablement atteint le monde économique ou financier. Leur nombre a explosé depuis 1971, année considérée comme le point de départ d'un ensemble d'évènements qui engendre une période d'instabilité financière mondiale. Cette instabilité est due à un nombre réduit de facteurs qui a contribué à bouleverser l'économie mondiale entre 1971 et les années 1990 : Abandon du système de référence du Gold Exchange Standard et de la suprématie du dollar : 1971 : abandon du système du Gold Exchange Standard (qui avait remplacé l'étalon-or en 1933). Ensuite, d'autres facteurs vinrent se greffer à la fin de la reconnaissance des États-Unis comme économie-monde financière : Avant 1971[modifier | modifier le code] 1971-aujourd'hui[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Maurice Flamant et Jeanne Singer-Kerel, Les crises économiques, PUF, Que sais-je ?
L’histoire (oubliée) de l’isolationnisme américain Nombreux sont ceux qui semblent croire que, parce qu’une intervention militaire est faite sous un drapeau, elle est le fait d’une nation, d’un peuple tout entier dans son unanimité. Les événements géopolitiques des dernières décennies font affirmer par de nombreux médias, dans des articles se voulant subversifs, que l’interventionnisme américain est le reflet même de l’esprit impérialiste qui lui est inhérent, dans un pays où règne l’hyper rationalisme et un capitalisme sauvage. La culture américaine est ainsi résumée à un matérialisme inhumain et un fondamentalisme religieux, qui ensemble partent à la conquête du monde, motivés par un prosélytisme destructeur. Les allocutions et publications officielles des élites politiques américaines tendent d’ailleurs à confirmer cette identité profondément belliciste, en s’acharnant à attacher à la fois l’intérêt du peuple et sa tradition à un hégémonisme mondial. L’aspect religieux enfin, mériterait une analyse approfondie.
L'implication des Etats-Unis dans les massacres de Sabra et Chatila Le quotidien amèricain le "New York Times" a publié des documents secrets prouvant l’implication des États-Unis dans les massacres de Sabra et Chatila en 1982 ! Dans son article intitulé "Le massacre qui aurait pu être évité", Seth Anziska, chercheur à l’Université de Columbia États-Unis, a réussi à se procurer des documents historiques dévoilant le contenu de conversations ayant eu lieu entre des responsables israéliens et américains au cours de cette période. Il cite un document datant du 17 Septembre 1982, rapportant une réunion qui s’est tenue entre le ministre de la guerre israélien, à l’époque, Ariel Sharon (photo ci-dessus, Sharon à cet époque) et l’émissaire du président amèricain au Moyen-Orient Morris Draper. Le document souligne que ce dialogue confirme que les Israéliens étaient parfaitement au courant que leurs alliés libanais avaient pénétré dans le camp, et qu’une opération de liquidation barbare avait commencé, commente l’auteur de l’article.
Le projet de Nouvel Ordre Mondial trébuche sur les réalités géopolitiques Voici quatre siècles que des leaders politiques tentent de créer un ordre international qui régisse les relations entre les Nations et prévienne les guerres. Si le principe de souveraineté des États a donné des résultats, les organisations intergouvernementales ont surtout reflété les rapports de force d’un moment. Quant à l’ambitieux projet US de Nouvel Ordre Mondial, il est en train de se fracasser sur les nouvelles réalités géopolitiques. L’idée d’un ordre mondial, ou international, apparaît dès le XVIIe siècle, même si l’expression « ordre mondial » n’a été introduite que récemment dans le discours politique. C’est en 1603 que le roi de France Henri IV fit élaborer par son ministre, le duc de Sully, un premier projet. Cependant ce rêve fut interrompu par l’assassinat d’Henri IV et ne ressurgit qu’à l’issue des guerres déclenchées par Louis XIV. Indépendamment de cette utopie, le plus important à cette époque fut, bien entendu, les Traités de paix de Westphalie, signés en 1648. 1.
Grèce, Espagne, Italie : la colère gronde en Europe Grèce, Espagne, Italie : pas un seul jour sans manifestation Grèce, Espagne, Italie. Pas un seul jour sans protestation contre les mesures d’austérité imposées partout en Europe. Hier en Italie, des milliers d’étudiants et lycéens italiens manifestaient dans de nombreuses villes du pays, Rome, Milan, Naples ou Turin, pour protester contre les mesures d’austérité du gouvernement qui touchent tous les secteurs, y compris celui de l’éducation. Des heurts ont opposé les jeunes aux forces de l’ordre à Rome, à Milan et à Turin. Jeudi 4 Octobre 2012, plusieurs centaines d’employés grecs d’un chantier naval dénonçant des impayés de salaire ont envahi la cour du ministère de la Défense grec à Athènes jeudi, tandis que des personnels hospitaliers et des agriculteurs en Crète protestaient aussi contre les mesures d’austérité prévues dans le pays. La police a matraqué des manifestants et tiré des gaz irritants pour les repousser, a indiqué un source policière. Like this: J'aime chargement…