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Villes 2.0

Villes 2.0

Le combat urbain des bobos de banlieue Toulouse envoyée spéciale C'est sans doute un symptôme. Peut-être celui d'une crise de croissance dans une agglomération qui grandit trop vite. Les opposants qui rejettent le «projet d'implantation du méga-centre commercial des Portes de Gascogne» ne se battent pas contre un bâtiment qui menacerait de leur boucher la vue. Ceux que l'on entend, ce sont d'autres habitants, membres du collectif citoyen «Non aux Portes de Gascogne». Blocage. Mais ce qui est sûr, c'est que les clients ne traverseront pas Tournefeuille. Confusion. De ce fond, Progreso Marin témoigne en effet. «A l'américaine», le mot qui résume. Côté contenu, Nicolas Monnier, le directeur du développement, recense une longue liste de cadeaux à la population, où l'on trouve une crèche, une grande salle associative, un théâtre de plein air donnant sur un bassin et un lac, une serre géante utilisable pour de grands banquets... Inaudible. Plaisance-du-Touch a 17 000 habitants, greffés en quelques années sur un ancien village.

L’exemple de Fribourg A Fribourg, en Allemagne, le quartier Vauban – 3 600 habitants – est assiégé par les curieux souhaitant découvrir un écoquartier. Construit sur le site des anciennes casernes de l’armée française (d’où son nom), ce projet a été lancé en 1993 en concertation avec ses futurs habitants, dont beaucoup d’alternatifs anti-nucléaires. Les bâtiments, d’une hauteur maximum de 4 étages, doivent obéir à des performances énergétiques strictes : le label Habitat à basse énergie, soit moins de 65 kW/m2/an contre 100 kW/m2/an pour la norme allemande. Presque tous les bâtiments sont en outre équipés au solaire. Dans ce quartier qui obéit aux principes de mixité sociale, seule une place de parking a été autorisée par logement et 25 % des habitants ont signé la charte « sans voiture ». - 2038 : On a marché sur la ville "Le bio-habitat est réservé à une élite" La ville se rêve en Dongtan

Exclusif : visitez la ville de 2038 (suite) Chez elle, la domotique s’invite dans chaque recoin de son appartement situé au 87e étage. Les appareils électro-ménagers y « dialoguent » avec leurs maîtres, trouvent les programmes télé ou préparent les pâtes al dente. « Quand mon grand-père est tombé dans son appartement, m’explique Keum, les capteurs incrustés au sol ont alerté les urgences. » Tous les logements sont connectés au réseau Internet optique. Les transports superflus sont bannis. Et les téléconférences professionnelles ou privées demeurent la règle. « Les gens parlent davantage avec leurs murs plasma qu’entre eux », s’amuse Keum. coup, la surveillance est accrue et permanente. « Toutes les administrations et certaines entreprises ont accès à des données personnelles et les fichiers se recoupent, mais cela s’effectue de façon totalement transparente. La technologie s’affiche partout. Bouchons de deux-roues Ce matin, je rencontre Philippe, ancien de Grenoble et génie de l’informatique débauché par un laboratoire de U-city.

Exclusif : visitez la ville de 2038 Alors que mon dirigeable survole New Songdo City, en Corée [Le site de New Songdo], la déception m’envahit. Rien de très dépaysant en fait. Vue du ciel, l’île artificielle, située à 60 kilomètres au sud de Séoul, n’est pas sans rappeler Manhattan, avec ses gratte-ciels, dont le fameux Northeast Asia Trade Tower et même son Central Park. Mode de transport très prisé en Asie [1], les dirigeables s’arriment au hub multimodal, où ils côtoient les cargos à voiles. Bloc-notes en poche, je viens observer pour le Houston Tribune, la vie de cités modèles bâties avant les derniers chocs pétroliers. A New Songdo, je suis frappé par le nombre incroyable de canaux à la vénitienne qui s’entremêlent dans une multitude de petits parcs. A peine assis, mon mobile interrompt mes rêveries. Ce soir, je dîne avec Keum, la correspondante locale du Houston Tribune et son ami Junpei, élu démocrate de la ville.

53 West 53rd Street by Jean Nouvel Architect Jean Nouvel has unveiled his design for a new 75-story tower on a site next to the Museum of Modern Art in New York. The tower at 53rd West 53rd Street will contain a hotel, luxury apartments and three floors for use by MoMA to expand its exhibition space. The restaurant and lounge are below ground level, so that pedestrians can peer in through the exterior, which is entirely sheathed in glass. The following text is from developer Hines: Hines, the international real estate firm, announced today the formal selection of Paris-based architect Jean Nouvel as the designer of a new building slated for a key parcel in midtown Manhattan, adjacent to The Museum of Modern Art (MoMA). Nouvel’s bold design will rise 75 stories from the 17,000-square-foot-site between 53rd and 54th streets just west of MoMA. Nouvel’s design maximizes the site while considering the city’s zoning envelope. Gerald D. Jean Nouvel has headed his own architectural practice, Ateliers Jean Nouvel, since 1970.

Alternative Design for MoMA Tower at 53 New York architecture and design practice Axis Mundi have designed a conceptual alternative to French architect Jean Nouvel's design for a 73-storey tower next to the Museum of Modern Art in New York (see our previous story). Axis Mundi's design is an attempt to rethink the New York skyscraper for the post-boom era, expressing the diversity of uses within instead of "one-note architecture that makes a singular visual image and little else." The surface of the facade would be broken up by the varying depths of these residences, allowing for balconies and gardens. An arcade through the ground floor would connect W 53rd and W 54th Streets. New galleries for the MoMA would occupy three floors above this, with a three-storey volume above the galleries set aside for community activities. Here's some more information from Axis Mundi: -- Axis Mundi Unveils Conceptual Alternative Design for MoMA Tower at 53 W 53 Rethinking Hines Tower Site Flexible Floors, Open to Views

Peter Zumthor : un architecte a-contemporain ? - La vie des idée Le prix Pritzker — véritable « Nobel de l’architecture » — vient d’être remis à l’architecte suisse Peter Zumthor. La décision du jury est non seulement inattendue, mais audacieuse. Elle vient récompenser un architecte atypique, voire marginal. Comme l’expliquent les membres du jury eux-mêmes, « depuis trente ans, installé dans le petit village reculé d’Haldenstein, dans les Alpes suisses, [Peter Zumthor] est resté à l’écart de la folle activité de la scène architecturale internationale. Là, avec une petite équipe, il imagine des bâtiments d’une remarquable sincérité, vierge de l’influence de la mode et des courants éphémères. » La « modestie », l’« humilité », le « courage, voire la témérité », caractérisent son œuvre, jugée « sans compromis. » [1] Un architecte retiré du siècle Atypique, Peter Zumthor ? Une conception singulière de l’art de bâtir « Qu’est-ce qui m’a touché alors ? Neuf points pour une architecture des lieux 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. [4] Peter Zumthor, Atmosphères.

Quest-ce qu'un AMAP Le fonctionnement Une AMAP naît en général de la rencontre d'un groupe de consommateurs et de paysans (ou artisans transformateurs) prêts à entrer dans la démarche. Ils établissent entre eux un contrat pour une (on distingue en général 2 saisons de production : printemps / été et automne / hiver), selon les modalités suivantes : Ensemble, ils définissent la diversité et la quantité de denrées à produire pour la saison. Pendant la saison, et ce de manière périodique (ex. une fois par semaine), le paysan met les produits frais (ex. les fruits et légumes sont récoltés le matin même de la distribution) à disposition des partenaires, ce qui constitue leur panier. Le groupe de consommateurs et le paysan se mettent également d'accord sur les méthodes agronomiques à employer. Derniers points de discussion préparatoire au lancement de l'AMAP : le prix du panier, le lieu et l'heure de la distribution périodique. L'horaire, enfin, est fixé de manière à convenir au plus grand nombre. Les garanties

Les projets d'infrastructures les plus attendus par les Français Photo n° 1/6 © BVA-FNTP Les principales préoccupations des français Photo n° 1/6 - © BVA-FNTP Photos 6/6 Evaluation des besoins et attentes de la population en matière d’équipements publics Interrogés sur les projets qu’ils jugent prioritaires dans leurs régions, les Français plébiscitent les transports collectifs en site propre et les énergies renouvelables. Le "Grenelle de l'environnement" a bien eu lieu. Intérêt pour le ferroviaire Carton plein également pour les projets de création et d'extension des réseaux de transport collectif en site propre : tramways à Strasbourg, à Bordeaux, à Clermont-Ferrand, à Tours, à Paris, à Lyon... Retrouvez l'enquête complète dans "Le Moniteur" du 26 mars avec les commentaires de Patrick Bernasconi, président de la FNTP et Jacques Atali, économiste, président de PlaNet Finance. Retouvez également tous les projets souhaités, région par région en cliquant ici. Priorité à ce qui se voit sondage BVA réalisé pour la Fédération nationale des travaux publics (FNTP)

Réinventer la ville de demain ? Les TICs à la rescousse Dans le cadre de la Cité de la Réussite organisée par la Sorbonne, IBM a invité 4000 étudiants à inventer la ville de demain. C’est le projet “Une ville auto-suffisante en énergie via un système Consumer to Business” réalisé par Benoît Schildkecht, étudiant à SKEMA Business School, qui a été retenu (PDF). L’idée est de développer une ville entièrement auto-suffisante en énergie, en eau et en gestion des déchets en inventant un système Consumer to Business qui soit rentable financièrement. Les principaux axes développés sont : * énergie via panneaux solaires (installés sur les maisons, immeubles d’habitation) revendue aux entreprises * faciliter la cogénération : l’énergie perdue des uns fait le bonheur des voisins * industrialiser au niveau de la Cité le tri des déchets : collecte déchets des uns et revente à d’autres * organiser collectivement la récupération et l’utilisation de l’eau de pluie

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