Homer Simpson vote pour Mitt Romney (VIDEO) Les personnages de la série à succès Les Simpsons votent aussi. Et quand Homer doit se prononcer, c'est à Mitt Romney qu'il accorde sa confiance, quitte à le regretter. Aux Etats-Unis, les stars déclarent publiquement à quel candidat à la Présidentielle, elles accordent leur confiance. Très appréciée du public, internationalement connue, comment cette star pourrait ne pas convenir au candidat républicain Mitt Romney ? Lors d’un épisode, Matthew Groening a projeté son personnage principal au jour des élections américaines. Dans un bref bilan du mandat du président actuel, Homer déplore la politique de santé et celle de Michelle Obama sur la nourriture saine. Et pourtant, il semble rapidement regretter son choix. Par Georgina Brinster
Que faudra-t-il à l'Empire US pour s'effondrer ? par William BLUM Il a fallu une révolution à Louis XVI, deux défaites militaires historiques à Napoléon, de multiples révolutions dans le Nouveau Monde à l’empire espagnol, une révolution communiste au Tsar russe, la Première Guerre Mondiale à l’empire Austro-hongrois et Ottoman, la Deuxième Guerre Mondiale au Troisième Reich, deux bombes atomiques à l’Empire du Soleil Levant, un coup d’état militaire à domicile à l’empire portugais en Afrique. Que faudra-t-il pour l’Empire américain ? Les documents et vidéos de Wikileaks ont asséné une succession d’humiliations, les unes après les autres... les mensonges exposés, les manipulations politiques révélées, l’hypocrisie flagrante, les meurtres de sang froid... suivis par la torture de Bradley Manning et la persécution de Julian Assange. Washington qualifie ces révélations de « menaces contre la sécurité nationale », mais le monde entier voit bien qu’ils sont tout simplement embarrassés. « Au final, Castillo Armas ignora la suggestion de Dulles. William Blum
Les démocrates réintègrent Dieu à leur programme De notre correspondant Oh. My. God. Mercredi, en marge de la convention de Charlotte, un débat féroce a éclaté autour de l'abandon de l'adjectif «God-given» («conféré par Dieu») dans la «plateforme» démocrate, un document qui exprime les positions du parti sans avoir la force d'un programme officiel pour un candidat. Il a fallu trois tentatives de vote à haute voix pour revenir sur le changement et adopter un nouvel amendement, au grand embarras du maire de Los Angeles, Antonio Villaraigosa. (cliquer ici pour passer directement à 1'54) Dans la matinée, Mitt Romney était monté au créneau sur Fox News: «Notre document fondateur, la déclaration d'indépendance, fait référence à Dieu. Pas de Dieu dans la Constitution Comme le relève le Los Angeles Times, le candidat républicain oublie que Dieu est absent de la Constitution de 1787 (hormis dans la date accompagnant la signature). Les historiens et les experts en droit débattent de chaque mot de la constitution. 76% de chrétiens Philippe Berry
NATO occupies sweet home Chicago THE ROVING EYE NATO occupies sweet home Chicago By Pepe Escobar So the anthem now goes something like this: C'mon, baby don't you wanna go/back to that same old place/sweet home ring of steel Chicago. Robert Johnson must be spitting fire in his bluesy grave because the North Atlantic Treaty Organization (NATO), for its 25th summit, is occupying Chicago like it was Kabul - with Americans treated as concentric circles of Taliban. The Department of Homeland Security has branded the summit a "National Special Security Event"; that means the Secret Service, in practice, has taken over Chicago. It's lockdown time - complete with Iraq-style concrete barriers; battalions sporting upgraded riot gear; "extraction teams" to snatch and grab pinpointed protesters in a "low intensity conflict" environment; and an Orwellian guest star, the LRAD (long-range acoustic device) - a sound cannon bound to "ensure a consistent message is delivered to large crowds", according to the Chicago Police Department.
Obama, Oussama et le commando Bissonnette | Tribune libre La publication d’un livre intitulé No Easy Day, écrit par Matt Bissonnette sous le pseudonyme de Mark Owen, suscite une polémique aux Etats-Unis. Bissonnette, 36 ans, est un jeune retraité des commandos-marine américains, les Navy Seals. Membre de l’unité d’élite DevGru, il a participé, le 1er mai 2011, à l’opération Neptune Spear au cours de laquelle Oussama Ben Laden a été tué dans sa maison d’Abbottabad, au Pakistan. Il s’agit du premier témoignage de première main sur ce raid et le Pentagone menace l’auteur de poursuites judiciaires, pour divulgation d’informations classifiées. Surtout, le livre est publié en pleine campagne pour l’élection présidentielle américaine de novembre. Car, au fond, quelle est la polémique? La version officielle remise en cause, comme l’affirme un peu vite les commentateurs? Reste la question de fond: la décision de la Maison Blanche d’éliminer des chefs terroristes. Une justice sans procès? Otan : continuité à la française Afghanistan.
Les drones américains infectés par un virus informatique (magazine Un virus informatique a infecté les postes de commande à distance des drones américains effectuant des missions en Afghanistan et dans d'autres zones de conflits, écrit dimanche le magazine américain Wired sur son site internet. Selon les sources citées par le magazine, le virus detecté il y a deux semaines n'a pas empêché les pilotes d'effectuer leurs missions, aucune diffusion d'informations confidentielles n'ayant été enregistrée. A présent, les spécialistes militaires oeuvrent pour éliminer le virus mais ne parviennent toujours pas à le faire. "Nous l'éliminons, mais il revient à chaque fois. Nous pensons qu'il n'est pas très dangereux, mais en fait nous n'en savons rien", a fait savoir un des interlocuteurs anonymes de Wired. Selon le magazine, on ignore toujours "si le virus a été introduit volontairement ou accidentellement". Les drones sont régulièrement utilisés par l'armée américaine pour des opérations militaires menées en Afghanistan et au Pakistan.
L'Amérique sombre dans la pauvreté - Les méga riches et les "bouches inutiles" (Counterpunch) par Paul CRAIG ROBERTS Les Etats-Unis se sont effondrés sur le plan social, politique, légal, constitutionnel, environnemental et moral. Le pays qui existe aujourd’hui n’est plus que l’ombre du pays où je suis né. Dans cet article, je vais traiter de l’effondrement économique des Etats-Unis. Sur le plan économique, les Etats-Unis ont atteint le stade de la pauvreté. Il y a ceux qui, avec un doctorat, enseignent à l’université comme professeur adjoint pour 10000 dollars (7 960 E) par an ou moins. Selon Edelman, qui a étudié ces questions, 20,5 millions d’Etasuniens ont des revenus inférieurs à 9 500 dollars par an ce qui est la moitié du seuil de pauvreté pour une famille de trois. Il y a 6 millions d’Etasuniens qui ont comme seul revenu les tickets de nourriture. En tant qu’économiste, je pense que le seuil de pauvreté tel qu’il a été établi est dépassé depuis longtemps. Les 20 % les plus riches possèdent 84 % de la richesse nationale. Mais pas aujourd’hui. Paul Craig Roberts Traduction : Dominique Muselet
Les 300 000 morts de la guerre contre le terrorisme La guerre contre le terrorisme lancée par George W Bush aura coûté 1 283 milliards de $, et fait entre 227 000 et 300 000 morts, au moins, dont près de 120 000 civils, soit 51% des pertes recensées. Les attentats du 11 septembre 2001 avaient fait 2 996 victimes, dont 343 sapeurs-pompiers, et 59 policiers, venus secourir les victimes enfermées dans les tours du World Trade Center. La guerre contre le terrorisme lancée par George W. En se basant notamment sur les documents rendus publics par Wikileaks, le Guardian avait estimé, en octobre 2010, à 109 032 le nombre de civils et militaires tués en Irak entre 2004 et 2009, dont 66 081 civils, 23 984 ennemis, 15 196 soldats irakiens, et 3 771 soldats de la coalition. Du côté de la guerre en Afghanistan on dénombre également plus de 7500 morts du côté des forces de sécurité afghanes, 200 au sein de l’Alliance du Nord, et plus de 38 000 talibans et insurgés. 100 000, ou 1,4 M de civils morts en Irak ? La guerre au terrorisme ? En 2007, Georges W.
La Parenthèse Enchantée (9/11) : Il faut écouter April Gallop April Gallop travaillait pour le Département de la Défense américain. Le 11-Septembre, elle et son bébé ont survécu de justesse à l’attaque contre le Pentagone. Bien qu’elle se soit trouvée au cœur de la zone d’impact, April Gallop n’a jamais constaté ni débris d’avion, ni siège, ni bagage, ni aucune trace des dizaines de milliers de litres de kérosène que contenait le Boeing 757 de la version officielle supposé s’être écrasé à quelques mètres de son bureau. Le témoignage très détaillé d’April Gallop est fondamental dans le sens où il corrobore, en fait, les principales observations que tout citoyen est en mesure de faire par lui-même lorsqu’il s’affranchit du récit livré par le gouvernement américain, la théorie de la conspiration islamiste que les médias singulièrement prosélytes ont relayé en masse. April Gallop et son fils Elisha en 2011 : Elisha était âgé de deux mois et demi le 11 septembre 2001 Il faut écouter April Gallop Article précédent : Révélations sur le lieu du crime
Les mystérieuses bases de données de Mitt Romney Aux États-Unis, le candidat républicain joue avec des bases de données (et avec la vie privée) de millions de potentiels donateurs pour remporter la bataille de l'argent contre Obama, nous révèle une enquête d'Associated Press. Mitt Romney est un gars heureux. Le candidat républicain à l’investiture suprême face à Barack Obama est plutôt du genre à récolter facilement des fonds pour sa campagne. Des centaines de millions de dollars récoltés, entre autres, grâce à un projet très secret d’exploration de données (data mining) comprenant des informations personnelles telles que des actes d’achat ou une présence à l’église – comme l’a appris et rapporté l’Associated Press. Dans une enquête fouillée, mise en ligne par sa cellule investigation de Washington. Point troublant : la loi interdit aux entreprises l’analyse de données propriétaires à des fins de contribution “en nature” à la campagne d’un candidat. DR – capture d'écran du site Buxtonco.com
Etats-Unis : Notre dernier espoir, c'est l'humour (Counterpunch) par Michael DOLINER Quand il y a un article sur Internet qui parle d’Obama et de Romney, je sais que son auteur ne considère pas la politique comme une chose sérieuse. Il est clair que ces deux hommes, à l’instar de tout le système bureaucratique étasunien, sont impuissants à résoudre les problèmes sérieux qui se posent aux Etasuniens et d’ailleurs à toute la planète. Cette année, la glace de la mer Arctique a diminué et sa diminution va bientôt atteindre des records historiques. La situation est bien pire qu’elle ne semble car la glace qui reste est molle et fine. De plus, à la différence de 2007, ce n’était pas le meilleur moment pour qu’elle fonde. Je pourrais continuer à énumérer les autres problèmes vraiment graves mais ceux qui les connaissent les connaissent déjà , et ceux qui ne les connaissent pas, ne les connaîtront jamais. Le système politique étasunien est dans l’incapacité de gérer ces problèmes. Plus personne ne peut croire à l’intelligence et à la force des politiciens étasuniens.
American lessons in (in)tolerance In the last week, officials of the Obama administration have been visiting Egypt and issuing instructions to the new Egyptian president regarding the question of religious tolerance and Egyptian Christians, demanding and insisting that they be included in the new administration in certain capacities or else. This concern of American government officials about Muslim tolerance of Christians, however, is hardly a new concern. More than a century ago, in March 1910, while on a visit to British-occupied Egypt, former US President Theodore Roosevelt, who had just left office, addressed Egyptians at the then recently established Egyptian University (later Cairo University) on the question of self-government. He would invoke both Arab culture (in the form of proverbs) and Quranic quotations to drive his message home. The training of a nation to fit it successfully to fulfill the duties of self-government is a matter, not of a decade or two, but of generations. American example of tolerance