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Budget de l'État français

Budget de l'État français
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le budget de l'État français est un document répertoriant les dépenses et les recettes prévues de l'État français, voté chaque année par le parlement dans une Loi de Finances. Il ne comprend pas les budgets des collectivités territoriales (Régions, communes..) , ni celui des organismes de sécurité sociale, mais il prend en charge les retraites des fonctionnaires publics d'État. C'est un dispositif essentiel de structuration et de pilotage des Finances publiques, est un élément structurant de la démocratie représentative. Le budget de l’État renvoie en principe spécifiquement à l’État français dans son périmètre restreint. Le budget de l'État français s'incorpore à l’ensemble des budgets relevant des administrations publiques françaises, à savoir : Structure du Budget[modifier | modifier le code] Recettes[modifier | modifier le code] Recettes fiscales Recettes non-fiscales Dépenses[modifier | modifier le code] Notes : Assemblée nationale française Related:  les impôts et les services publics

Taux des banques centrales Dette publique, ceux qui ont enfoncé la France C'est un drôle de jeu d'été. Sachant que, depuis trente ans, la France n'a jamais présenté un budget en équilibre, vous tenterez de retrouver les noms de ceux qui à droite et à gauche ont creusé ce trou béant de 1 600 milliards d'euros... Réponse : match nul. Prenons 1993 et 1994 (gouvernements Bérégovoy et Balladur), où la dette flambe de 800 milliards de francs. Bilan à gauche : + 350 milliards de francs. Bilan à droite : + 380 milliards. Sauf que, de l'autre côté du Rhin, ce fut un électrochoc. La relance de Mitterrand Nous sommes à quelques jours des élections de 1981, lors du débat télévisé entre François Mitterrand et Valéry Giscard d'Estaing. Quant aux nationalisations (elles concernent 39 banques, compagnies d'assurances ou entreprises industrielles), elles coûtent près de 90 milliards de francs à l'État. Balladur : vive les privatisations ! Saint-Gobain, Paribas, la Société générale, la BNP, TF1... Les 35 heures ou comment faire plaisir à tout le monde C'est fait. À Découvrir

Le Budget de la Commune de BOURGNEUF-EN-RETZ (44580) - Un site du Réseau ProXiti Le Budget de la commune de BOURGNEUF-EN-RETZ BOURGNEUF-EN-RETZ : D'où vient l'argent de la commune ? En 2014, le budget de fonctionnement de la commune de Bourgneuf-en-Retz se montait à : 2 664 000 €. En 2014, à Bourgneuf-en-Retz, ce budget est en augmentation de 1.95 % par rapport à 2013. Cliquez sur l'image pour l'agrandirDotation Globale de Fonctionnement : 1 089 000 €Autres Impôts et taxes : 133 000 €Autres revenus divers : 347 000 € Cliquez sur l'image pour l'agrandir BOURGNEUF-EN-RETZ : Comment est dépensé l'argent de la commune ? En 2014, les charges de fonctionnement de la commune de Bourgneuf-en-Retz étaient de : 1 713 000 € (En augmentation de 3.76 % par rapport à 2013). Cliquez sur l'image pour l'agrandir Le Résultat Comptable 2014 pour la commune de BOURGNEUF-EN-RETZ Le résultat comptable c'est ce qui reste lorsque l'on fait les recettes moins les dépenses. Cliquez sur l'image pour l'agrandir Si vous utilisez Twitter, Aidez nous à faire connaitre cette page à vos followers ->

Les taux directeurs des banques centrales Je profite de la poursuite par Mario Draghi de “la politique de baisse des taux qui ne marche pas” pour analyser aujourd’hui un phénomène qui porte une lourde responsabilité dans les bulles récentes : la baisse des taux d’intérêt par les banques centrales. Rappelons que, durant les prémices de la récession de 2001 causée par l’explosion de la bulle Internet, la banque centrale américaine, la Fed, a rapidement baissé ses taux directeurs pour relancer l’appareil économique – ce qui était logique : Ce qui a posé problème, c’est que la Fed a continué a baisser ses taux, puis les a maintenu à un taux très bas durant trois ans. On observe qu’à partir de 2002, le taux d’intérêt réel (=taux d’intérêt – inflation) est même devenu négatif ! Bien entendu, en laissant ainsi l’économie sous oxygène, cela a favorisé un endettement à outrance, a boosté (fictivement) la croissance, et a donc permis la constitution de la bulle immobilière et des bulles des actifs.

Le principe d'équilibre budgétaire: Le Politiste Le principe d’équilibre budgétaire renvoie à la nécessité d’équilibrer les comptes de manière à éviter la présence de déficit dans le budget de l’Etat. Il n’est pas vraiment une règle technique traditionnelle comme le principe d’annualité ou d’universalité, car il est très rarement respecté, comme le montre la situation des finances publiques actuelles (7 % du PIB de déficit public en 2010). Il faut ajouter que la politique budgétaire fait partie d’une possibilité proposée par le courant keynésien de la théorie économique. La question de l’équilibre est donc, en outre, un enjeu politique sensible. 1/ La notion d’équilibre est une notion plus économique que budgétaire. “Les orientations pluriannuelles des finances publiques sont définies par des lois de programmation. Depuis 2008, les lois de programmation remplacent donc les anciennes “lois de programme à caractère économique et social” et visent à permettre une meilleure gouvernance des finances publiques.

Ce que la coûteuse gestion des impôts locaux signifie Budget et fiscalité Dans un très récent rapport paru le 1er février, la Cour des comptes s’intéresse à la gestion de la fiscalité directe locale par la DGFiP ; et le moins que l’on puisse dire est que ses performances sont plutôt médiocres. Ainsi que l’indique la Cour, « Les résultats de la DGFiP (…) sont moins bons [en la matière] que dans ses autres secteurs d’activité, alors même que cette tâche absorbe 14% de ses effectifs totaux et 17% de ses coûts complets : elle y consacre proportionnellement davantage de moyens qu’à d’autres missions dont les enjeux financiers sont supérieurs. » Un constat difficile en termes de performance de gestion En effet, les chiffres parlent d’eux-mêmes : à eux seuls, les services départementaux et infra-départementaux en charge des impôts locaux représentent un chiffre total de 14.800 ETP, soit 13,7% des 109.068 agents titulaires en 2015 de l’ensemble de la DGFiP. Sources : Cour des comptes, rapport p.100 note 131. Des mauvais chiffres qui s’expliquent

Dette française : jusqu'où pourra-t-on emprunter ? C'est un prêt d'envergure qui attend la France l'année prochaine : 195 milliards d’euros exactement, et encore, c’est un montant net. En réalité, comme elle rachète ses propres emprunts (au moins les titres anciens, qui sont à taux plus élevés qu'aujourd'hui), le montant brut, c'est-à-dire ce qui va nous être prêté par les investisseurs, dépasse allègrement les 200 milliards. Cela fait de nous le quatrième emprunteur mondial, derrière les Etats-Unis, le Japon et l’Italie. Pour une fois, la France dépasse l’Allemagne. Pourquoi a-t-on besoin d'autant d'argent ? Pour deux raisons. Mais 200 milliards d'euros, où trouve t-on des sommes pareilles ? Mais cela veut-il dire que ce sont les étrangers, qui sont nos créanciers, qui nous prêtent de l’argent ? Le reste, ce sont les grandes compagnies d’assurance vie européenne et française, c’est-à-dire l’argent des épargnants. Pourra-t-on continuer à s'endetter ? La vérité, c’est que personne ne connaît la réponse à cette question. Lire la suite

A quoi servent les services publics ? Repenser l'action publique (Pierre Bauby Syros) Flux n °36/3 7 Avril- Septembre 1 999 explicitement nommés, qui pourfendent les actions de l'État, bouc émissaire aisément brandi face aux crises nombreuses que nos sociétés vivent depuis le milieu des années soixante-dix, à tel point agité que « il est devenu un peu honteux ou indécent de vanter les vertus de l'action publique ». Pour l'auteur, il est en effet urgent de passer à une contre-offensive, tant « le néolibéralisme n'est fort que de la faiblesse de ceux qui s'y opposent ». Si le point de vue de Pierre Bauby n'est pas de remettre en cause l'économie de marché, il est pourtant bien critique et politique dans la mesure où il entend démontrer que la démocratie libérale dans laquelle elle s'inscrit et à laquelle elle est intrinsèquement liée, au moins dans les sociétés occidentales, est loin d'être effective. « L'histoire de l'économie de marché depuis près d'un millénaire est indissociable de celle de l'État ». Pierre Bauby a construit sa démonstration en deux temps.

La taxe "abri de jardin" augmente de 3,8% en 2019 Mauvaise nouvelle pour ceux qui ont l'intention de construire dans leur jardin. La taxe d'aménagement, plus connue sous le nom de taxe "abri de jardin", augmente de 3,8% en 2019, après une hausse de 3% l'an passé, selon une note de l’administration mise en ligne le 19 février dernier. En 2019, les montants de cette perception sont fixés à 753 euros le m² hors Île-de-France (contre 726 euros en 2018) et à 854 euros le m² en Île-de-France (contre 823 euros en 2018). Un montant spécifique est appliqué aux piscines (200 euros par m²) et aux panneaux photovoltaïques (10 euros par m²). Pour connaître le montant qu'il faudra débourser, il faut donc multiplier cette base par la surface taxable, puis par le taux fixé par chaque collectivité territoriale. Si les cabanes de jardin, les garages, les vérandas ou encore les caves sont concernés par cette taxe, les terrasses et pergolas n'étant pas entièrement closes et couvertes ne le sont pas. Lire la suite

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