10 méthodes pour réviser, mémoriser et apprendre
Dans les situations d’apprentissage, le bachotage est décrié et tous les enseignants conseillent à leurs élèves de relire leur leçon le soir-même pour mieux mémoriser. Mais, pour les élèves, les questions demeurent les mêmes : comment faire pour relire efficacement ? Les élèves disent parfois : « Les profs, ils nous disent de relire nos leçons le soir mais moi, ça me sert à rien. Comment trouver des moyens de dire au cerveau que l’information lue, écrite, consultée et apprise est importante, qu’elle a de la valeur, de l’intérêt pour le long-terme… et qu’elle mérite donc d’être retenue ? 1. Une manière de signaler une information importante au cerveau est d’en parler, de jouer soi-même au professeur. J’ai rédigé un article consacré à l’art de (se) poser des questions pour apprendre : Apprenons aux enfants à se poser des questions. 2. Pour en savoir plus sur les flash cards, vous pouvez lire cet article : Technique de mémorisation et méthode de travail, les flash cards. 3. 4. Phrases exemples
Les plantes médicinales pour une bonne mémoire
Dans la nature, on peut trouver un grand nombre d’aliments et de plantes qui nous aident à résoudre énormément de problèmes de santé ! Parmi ces problèmes, on retrouve aussi la perte progressive de mémoire. Souvent, ce problème affecte notre qualité de vie et complique grandement notre quotidien. Nous allons donc vous faire découvrir quelques plantes médicinales qui s’utilisent pour aider le cerveau à retrouver sa capacité, et qui permettent d’améliorer grandement notre mémoire. On parle en effet de celles qui fournissent à notre organisme la capacité de retenir l’acétylcholine pour bien plus de temps. La fève pour une bonne mémoire C’est une plante qui a une grande quantité de colline parmi ses composants. Le fenugrec Voilà une autre plante qui apporte énormément de colline ! La sauge Il s’agit d’une plante riche en antioxydants, qui sont d’une grande aide ! Le romarin Le romarin a énormément de propriétés antioxydantes. Le fenouil L’ortie
Les techniques de mémorisation pour retenir ses cours sans souffrir
Vous n'arrivez pas à retenir ce que racontent vos professeurs ? Ou alors, vous parvenez à apprendre vos cours mais au prix de longues et pénibles heures d'efforts ? Peut-être ne savez-vous pas exactement comment fonctionne la mémoire. Le cerveau est un organe complexe, mais qui vous permet de garder en mémoire ce que vous considérez comme important. Un étudiant blogueur L'auteur de cet article est étudiant en fac d'histoire. Comment le cerveau apprend - Le cerveau retient s'il peut faire des liens Le cerveau juge qu'une information est importante s'il la revoit souvent et s'il la relie à un souvenir que vous possédez déjà. La technique des associations La technique des associations reprend les deux grands points évoqués ci-dessus : - vous mémorisez une donnée froide et ennuyeuse en l'associant à une autre chargée en émotion Illustrons tout de suite cette technique avec un exemple. - Bien sûr, vous mémorisez mieux les informations si vous créez vos propres associations.
Ma méthode pour apprendre - Découvrons ensemble les outils qui fonctionnent
Mémoire
Il est démontré que les émotions peuvent moduler la façon dont une information est enregistrée, l’émotion renforçant ponctuellement l’attention. Ainsi, une émotion positive peut se traduire par une amélioration ponctuelle des performances mnésiques. Il apparaît également que la consolidation, et donc la rétention d’une information est favorisée par l’émotion : le rappel d’un souvenir émotionnel après un long intervalle est souvent plus important que lorsque ce souvenir est neutre. L’imagerie fonctionnelle montre d’ailleurs que le rappel des souvenirs est proportionnel à leur intensité émotionnelle qui peut être observée par l’activation de l’amygdale, siège des émotions. Enfin, la récupération d’un souvenir est aussi améliorée par la présence d’une émotion positive. Il existe un pendant pathologique à ce processus : en effet, une émotion trop intense, notamment traumatique, entraîne une distorsion de l’encodage. Mémoire et oubli : du physiologique au pathologique
La mémorisation
Apprentissage et neurosciences: "La mémoire n'est pas une boîte fourre-tout"
Jean-Michel Blanquer installe ce mercredi un Conseil scientifique présidé par Stanislas Dehaene, un spécialiste des sciences cognitives. Le ministre de l'Éducation nationale s'est, à de nombreuses reprises, prononcé en faveur des neurosciences pour modifier les méthodes d'enseignement ou les programmes scolaires. En septembre dernier, L'Express interrogeait Laurent Cohen, spécialiste des neurosciences, sur leur rôle pour l'apprentissage des plus jeunes. Les neurosciences sont au coeur de l'actualité. Comment expliquez-vous cet engouement? Les recherches en neurosciences cognitives se développent depuis une trentaine d'années, ce qui, à l'échelle des sciences, n'est pas si ancien. Certaines découvertes ont des incidences très concrètes, notamment dans le domaine de l'éducation. "Rien ne vaut l'interaction sociale et pédagogique" Par exemple, comment aider un élève à mémoriser un texte ? Autre point très important: la mémoire n'est pas une boîte fourre-tout. Oui, en effet!
Neurosciences pour l'Ecole: les familles de mémoires
L’humain est un être de mémoire. Son cerveau dispose d’une multitude de fonctions mémorielles qui agissent en système et en complémentarité, et se modifient sans cesse sous l’effet de la plasticité cérébrale.Il est possible de classer les différentes familles de mémoires en familles selon des critères tels que la durée de rétention, le type d’information retenue, le caractère conscient du rappel, etc. Il revient à l’enseignant de connaître leurs principales propriétés afin de mettre en place les modalités pédagogiques les mieux adaptées.L’apprentissage mobilise essentiellement trois types de mémoires qui devront attirer toute l’attention du formateur : sémantique, procédurale et de travail. Les deux autres familles : perceptive et épisodique, interviennent moins sur les pratiques pédagogiques.Lors de toute activité cognitive, c’est l’ensemble des familles de mémoires qui sont sollicitées de façon complémentaire. Développement Quelques propriétés principales des mémoires . . . . . . .
Comprendre, apprendre, mémoriser. Les neurosciences au service de la
Joseph Stordeur, chercheur belge, commence par expliquer la différence, en termes de processus biologiques sous-jacents, entre comprendre, apprendre et mémoriser. Les stimulations sensorielles provoquent la circulation à travers les neurones d’un influx électrique et l’ouverture des canaux à sodium. Il s’agit d’une réaction rapide et éphémère de compréhension immédiate qui entraine, au mieux, un effet d’amorçage qui facilitera l’action des neurotransmetteurs lors des prochaines sollicitations. Par contre, des stimulations intenses et répétées permettent l’apprentissage, en entrainant l’ouverture des canaux à calcium. Cette réaction chimique laisse des traces mnésiques, crée de nouvelles connexions, des schémas neuronaux spécifiques. Il fait ensuite le constat qu’aujourd’hui, nous considérons que le rôle de l’enseignant est d’amener les élèves à comprendre en cours, mais qu’ils sont livrés à eux-mêmes pour ce qui concerne les apprentissages à la maison. Nicole Bouin Sur la librairie