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Vitesse supraluminique

Vitesse supraluminique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une vitesse supraluminique (superluminal en anglais) désigne une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière. Ce terme peut désigner plusieurs phénomènes (le dépassement de la vitesse de la lumière dans le vide ne crée de problèmes théoriques qu'à partir de la découverte de la relativité restreinte) : Historique[modifier | modifier le code] En l'an 50 avant notre ère, Lucrèce semble être le premier auteur à évoquer des vitesses supraluminiques pour des particules, suivant sa conception de la matière et de la lumière[3]. Galilée aurait essayé de mesurer la vitesse de la lumière, sans succès étant donné les moyens dont il disposait[4]. Diagramme de composition des vitesses relativistes. Dès 1907, Arnold Sommerfeld relevait la possibilité de vitesses de groupes supérieures à c dans la théorie maxwellienne de l'électromagnétisme. En physique des particules[modifier | modifier le code] Tachyons[modifier | modifier le code] . Galaxie NGC 4261. Related:  Sc. / Techno

Épisiotomie Épisiotomie médio-latérale. L'épisiotomie est un acte chirurgical consistant à ouvrir le périnée au moment de l'accouchement afin de laisser passer l'enfant. Cette incision a idéalement pour but de sectionner le muscle élévateur de l'anus. La pratique de l'épisiotomie est un geste prophylactique utilisé depuis le XVIIIe siècle et qui reste actuellement assez largement répandu, particulièrement en France, bien que son utilité soit très discutée. Les bénéfices supposés de ce geste sont discutés par la recherche scientifique depuis plusieurs décennies. Statistiques[modifier | modifier le code] Les taux d'épisiotomies sont d'environ 13 % au Royaume-Uni et moins de 6 % en Suède[2]. Les bénéfices anciennement espérés de l'épisiotomie[modifier | modifier le code] L'épisiotomie était censée prévenir des déchirures graves du périnée. De même, on pratiquait l'épisiotomie en espérant diminuer les incontinences urinaires ou fécales. Types d'épisiotomie[modifier | modifier le code] Portail de la médecine

La vitesse de la lumière : finie ou infinie ? La vitesse de la lumière 1/5 : finie ou infinie ? Wikipedia - Ole Christensen Roëmer Sur cette célèbre encyclopédie en ligne, vous trouverez la biographie du savant danois Ole Christensen Roëmer, qui détermina la vitesse de la lumière en fonction des positions de Jupiter par rapport à la Terre. Tapez son nom dans le moteur de recherche. Fizeau, Foucault et Cornu - Les expositions virtuelles de l'Observatoire de Paris Pour découvrir une présentation d'expériences réalisées à Paris par Fizeau, Foucault et Cornu sur la vitesse de la lumière, cliquez sur l'affiche « C à Paris ». Entrez dans les rubriques « Exposition » et « Tir laser ». Astrosurf - Hubble, vitesse de la lumière Ce portail dédié à l'astronomie pratique met en ligne un article sur les mesures du télescope Hubble et s'interroge sur la vitesse de la lumière : peut-elle dépasser une valeur limite ? IUFM de Paris - La lumière Qu'est-ce que la lumière ?

Haplogroupe R1b En génétique humaine, l'haplogroupe R1b (R-M343) est un haplogroupe du chromosome Y qui serait apparu il y a plus de 25 000 ans. Cet haplogroupe se compose de trois principaux sous-clades, R1b-M269, très fréquent en Europe de l'Ouest, R1b-V88 qui se retrouve surtout dans certaines parties de l'Afrique subsaharienne et au Moyen-Orient et R1b-M73 qui se rencontre en Asie du sud et de l'ouest. Ces sous-groupes partagent un ancêtre paternel commun qui aurait vécu il y a environ 15 000 ans. La fréquence la plus élevée de R1-M73 a été trouvée dans la République de Bachkirie (55 %). Aire de répartition de l'haplogroupe R1b en Europe Origine[modifier | modifier le code] L'âge de R1 a été estimé par Tatiana Karafet et al. (2008) entre 12 500 et 25 700 ans avant notre époque, et son apparition s'est probablement produite il y a environ 18 500 ans. Les restes humains les plus anciens porteurs de R1b se retrouvent dans les sites ou individus suivants : Dispersion en Europe[modifier | modifier le code]

Eugène Antoniadi Eugène AntoniadiΕυγένιος Αντωνιάδης Compléments Eugène Michel Antoniadi, de son nom de naissance Eugenios Mihail Antoniadis[2] (Ευγένιος Μιχαήλ Αντωνιάδης), aussi appelé Eugène Michael Antoniadi ou, de façon erronée, Eugène Marie Antoniadi, né le 1er mars 1870 à Constantinople et mort à 73 ans le 10 février 1944 à Paris, est un astronome français d'origine grecque. Biographie[modifier | modifier le code] Né dans une famille grecque de Constantinople (qui deviendra Istanbul en 1930), Eugène Antoniadi commence des études en architecture mais se passionne très vite pour l'astronomie ; il réalise des croquis de la voûte céleste particulièrement précis à l'aide d'une lunette de 75 mm de focale, puis d'une autre de 108 mm. En 1902, il se brouille avec Flammarion, quitte la Société astronomique de France, se rend en Angleterre, puis part en Turquie. En 1927, il est fait chevalier de la Légion d'honneur pour « services rendus à la France en période de guerre ». Écrits[modifier | modifier le code]

Loi de Metcalfe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les liens dans un réseau de 2, 5 puis 12 nœuds. La loi de Metcalfe est une loi théorique et empirique de l'effet de réseau énoncée par Robert Metcalfe (fondateur de la société 3Com et à l'origine du protocole Ethernet). L’utilité d’un réseau est proportionnelle au carré du nombre de ses utilisateurs. Cette loi s'appliquerait sous l'hypothèse d'homogéneité des noeuds du réseau, pouvant être constitué d'agents ou d'objets. Explications[modifier | modifier le code] La loi de Metcalfe explique les effets de réseau liés aux technologies de l'information, applicable à des réseaux comme Internet, les systèmes de réseautage social et le World Wide Web. nœuds est , fonction équivalente à pour tendant vers l'infini. Applications[modifier | modifier le code] La Loi de Metcalfe dit simplement que plus il y a d'utilisateurs dans un réseau, plus ce réseau aura de la valeur. Critiques[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

François Jacob François Jacob (avant 1965). François Jacob est un biologiste et médecin français, né le 17 juin 1920 à Nancy et mort le 20 avril 2013[1],[2] à Paris 14e[3]. En 1965, il est récompensé du prix Nobel de physiologie ou médecine[4]. Compagnon de la Libération par décret du 17 novembre 1945, il est chancelier de l'ordre d'octobre 2007 à octobre 2011. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et famille[modifier | modifier le code] Engagement durant la Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code] Après la guerre, il termine ses études de médecine à Paris, où il soutient en 1947 une thèse consacrée aux propriétés de la tyrothricine[9], un antibiotique à usage local qui avait été isolé dès 1939 par René Dubos, et qui fut le premier antibiotique commercialisé[10]. Les honneurs militaires lui sont rendus le 24 avril 2013 dans la cour d'honneur des Invalides, en présence du président de la République. Carrière scientifique[modifier | modifier le code] Œuvres[modifier | modifier le code]

Phytothérapie Aujourd'hui, il existe une distinction entre deux concepts relatifs à cette médecine : d'une part la phytothérapie traditionnelle qui reprend des usages ancestraux, empiriques et se consacre par une approche holistique aux effets de la plante dans sa globalité, et sur tout l'individu, en utilisant des préparations domestiques ou à plus grande échelle (consultation de tradipraticiens ou d'herboristes, achat de remèdes de tisaniers…), administrées essentiellement par voie orale (tisanes, infusions, poudres) ou voie externe (frictions, inhalations, cataplasmes, massages)[2]. Cette médecine non conventionnelle est l'une des formes de traitement les plus anciennes qui continue à jouer un rôle important en Afrique, en Asie et en Amérique latine par l'usage de plantes médicinales[3]. Histoire et enjeux[modifier | modifier le code] Description de l'usage du cumin et de l'aneth - La matière médicale de Dioscoride, copie en arabe de 1334 Le Papyrus Ebers, du XVIe siècle av.

Digitoxine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La digitoxine, aussi appelée digitaline ou digitoxoside est un glycoside cardiotonique extrait de la digitale pourpre (Digitalis purpurea) et de la digitale laineuse (Digitalis lanata). Comme tous les glycosides cardiotoniques, elle est toxique. Histoire[modifier | modifier le code] Elle est découverte en 1775 par William Withering, un médecin et botaniste britannique. Effets[modifier | modifier le code] On peut notamment citer: renforcement de la contraction cardiaque (action inotrope positive) ;ralentissement et régularisation des mouvements du cœur (action chronotrope négative).augmentation du débit rénal : action diurétique et diminution des œdèmes. Elle a également une action: dromotrope négative (diminue la conduction cardiaque)bathmotrope positive (augmente l'excitabilité) Ses propriétés sont proches de celles de la digoxine. Dans la culture populaire[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Oléandrine

Gaston Naessens Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gaston Naessens est un biologiste français né à Roubaix le 16 mars 1924 et mort à Sherbrooke le 16 février 2018. Biographie[modifier | modifier le code] Gaston Naessens naît à Roubaix, en France, le 16 mars 1924[1],[2]. Il a étudié la chimie, la physique et la biologie à l'université de Lille[2]. Durant la Seconde Guerre mondiale, il poursuit ses études en zone libre, à Nice. Au milieu des années 1960, condamné pour exercice illégal de la médecine, il choisit de s'expatrier au Canada[6]. Il meurt, à Sherbrooke, le 16 février 2018[6]. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Christopher Bird, La vie et les tribulations de Gaston Naessens - Le Galilée du microscope, presses de l'université de la Personne, Québec, 1990. Liens externes[modifier | modifier le code] (en) 714-X

Conduction thermique La conduction thermique (ou diffusion thermique) est un mode de transfert thermique provoqué par une différence de température entre deux régions d'un même milieu, ou entre deux milieux en contact, et se réalisant sans déplacement global de matière[1] (à l'échelle macroscopique) par opposition à la convection qui est un autre mode de transfert thermique. Elle peut s'interpréter comme la transmission de proche en proche de l'agitation thermique : un atome (ou une molécule) cède une partie de son énergie cinétique à l'atome voisin. Phénomènes physiques[modifier | modifier le code] Le mouvement de translation des particules dans les solides, qui se manifeste par leur température, prend la forme de phonons. On a représenté ici des phonons d'amplitude identique mais de longueur d'onde variant de 2 à 12 molécules. Dans les solides, le mouvement de translation prend la forme de phonons (voir la figure). Les métaux, toutefois, présentent une forte conductivité thermique. où Pour cela : Lorsque : .

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