L’heure de l’open démocratie? Le Social média club rennais s’est penché lundi 23 avril 2012, sur l’idée de la démocratie ouverte. Dans un contexte d’élection présidentielle, le but était de parler de ce concept, venu du mouvement open data, et de son avenir en France. Pour aborder l’open démocratie, deux intervenants étaient au programme. Simon Chignard, auteur de « l’open data, comprendre l’ouverture des données publiques« , a tout d’abord rappelé les origines du mouvement open data et ses promesses en matière politique. Par la suite, Céline Mounier, sociologue à la Direction de l’innovation commerciale d’Orange France et Laurence Dhaleine, sociologue à Orange Labs, ont fait écho d’une expérience conduite par Orange. Le podcast de la conférence : < !
The Open Data Foundation Comment l’open data est devenu un objet politique … Le 1er jour d’Obama (photo The White House) Le 21 janvier 2009, le 44 ème président des Etats-Unis prend ses fonctions. Barack Obama signe ce jour-là trois mémorandums, dont deux concernent le gouvernement ouvert et la transparence. Près d’un an avant l’entrée en fonction d’Obama, un groupe d’une trentaine d’activistes et de praticiens de l’open government se sont retrouvés à Sebastopol en Californie, à l’invitation de Tim O’Reilly et de Carl Malamud. Ils ont défini l’open government data … (photo David Orban) L’invitation mentionnait déjà l’ambition de la rencontre : définir les principes de l’open data et, si possible, les faire adopter par les candidats à l’élection présidentielle qui devait se dérouler l’année suivante. La photographie du groupe ressemble à un Who’s Who de l’open government et du mouvement free culture. Le Who’s Who de l’open government (photo David Orban) Richard Stallman (photo Victor Powell) ACTE 4 - (OPEN GOV) DATA ou OPEN (GOV DATA) ? Like this: J'aime chargement…
Partnership for Transparency Fund - Supporting Citizens Against Corruption What data can and cannot do In the early days of photography there was a great deal of optimism around its potential to present the public with an accurate, objective picture of the world. In the 19th century pioneering photographers (later to be called photojournalists) were heralded for their unprecedented documentary depictions of war scenes in Mexico, Crimea and across the US. Over a century and a half later – after decades of advertising, propaganda, and PR, compositing, enhancement and outright manipulation – we are more cautious about seeing photographs as impartial representations of reality. Photography has lost its privileged position in relation to truth. The current wave of excitement about data, data technologies and all things data-driven might lead one to suspect that this machine-readable, structured stuff is a special case. Data can be an immensely powerful asset, if used in the right way. Data is not a force unto itself. Please let us know what you think in the comments below.
Transparent Chennai l’Open Data, la démocratie retrouvée ? Interrogez les Français ! Ils trouvent nos politiques déconnectés de la réalité. Les français connaissent peu le travail parlementaire ; trouvent notre institution politique compliquée. L’Open Data, est un usage numérique récent qui permet la réconciliation avec nos institutions. Et qui va dans le sens de notre modernité : transparence, démocratie. Focus ! L’open data est la publication d’informations publiques, à utilité publique, et de manière la plus large. 1. L’open data est une publication d’information brute. La publication de ces informations permet la transparence : Plutôt que de considérer le citoyen comme "idiot", non compétent, on considère qu’il a droit à être informé. Par les forums, ou par la publication intégrale des articles de loi. 2. Les nouvelles technologies, portées par les services publiques ne doivent pas se résumer à des considération purement techniques. Voter via des machines électroniques est encore peu répandu. Mais en accédant directement à la donnée brute.