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Vertigineux "big data"

Vertigineux "big data"
Chaque seconde, la masse de données créées sur Internet par les smartphones, ordinateurs et tablettes explose. Appelé "big data" par les experts du Web, cet amas colossal est un marché prodigieux. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sarah Belouezzane et Cécile Ducourtieux Photos, vidéos, sons, chiffres, textes... Tous les jours, ce sont 118 milliards de mails qui sont envoyés à travers le monde, 2,45 milliards de contenus différents qui sont postés sur Facebook. Les humains ne sont pas les seuls responsables de ce déluge d'informations. "Cela fait quelque temps déjà que le nombre de données produites et stockées est important, note Patrice Poiraud, directeur business et analyse chez IBM. Ces données, de plus en plus d'entreprises cherchent à les exploiter. Du coup, des éditeurs de logiciels informatiques ont mis au point des techniques empruntées au calcul scientifique pour "mouliner toutes ces données" de manière exhaustive.

La mine d'or du Big Data LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Julie Battilana, professeure associée à la Harvard Business School L'explosion du volume des données informatiques, du fait du développement de l'Internet et des nouvelles technologies de l'information, a ouvert de nouveaux horizons aux entreprises. Certaines utilisent déjà une partie de ces données pour prédire le comportement des consommateurs et améliorer leur offre de produits et services. C'est le cas, par exemple, de Google, Facebook, Amazon, Microsoft, Walmart et LinkedIn, qui ont investi dans l'analyse de données informatiques ces dernières années. C'est donc un véritable marché, désigné par le vocable anglo-saxon "Big Data", qui a émergé autour de l'exploitation de la masse de données informatiques disponibles. Cette approche leur permet d'augmenter leur chiffre d'affaires en ajustant leur offre aux attentes de leurs clients potentiels, et de réduire leurs coûts.

La récession favorise la digitalisation Le "double dip", le rebond de la récession qui menace, pourrait fort bien entrainer une accélération de la digitalisation de nos modes de production et de vie. Cela vaut pour les entreprises (et les travailleurs) comme pour les consommateurs. Les entreprises d'abord: nombre d'entre elles en profitent pour accentuer leur recours aux technologies digitales (TD) en quête de gains de productivité. C'est le genre d'approche encouragée par Dean Garfield de l'Information Technology Industry Council des Etats-Unis. Il s'appuie sur l'histoire: "Deux des récessions les plus importantes des 30 dernières années – 1981-82 et 1990-91 – ont été directement attenué par la naissance du PC et de l'internet". Le secteur se porte bien: les capital risqueurs financent les start-ups. La seconde approche - celle des utilisateurs et des consommateurs - est notre recours croissant aux TIC. En fait la récession s'accompagnera inévitablement d'une avancée de certains pays émergents ayant investi dans les TIC.

APPRENDRE AUTREMENT - APPRENDRE AUTREMENT est le blog dédié aux approches innovantes de la formation dans les organisations Big Data, grande illusion La cause serait entendue : après le cloud computing et l'internet des objets, les "big data" constitueraient la prochaine "révolution" apportée par le numérique. Alan Mitchell, cofondateur et directeur de la stratégie du cabinet britannique Ctrl-Shift, n'est pas d'accord. Pour lui, les Big Data auraient presque un côté contre-révolutionnaire : le chant du cygne d'une informatique productiviste, centralisatrice, centrée sur les grandes organisations. "Les Big Data se fondent entièrement sur la statistique : dégager des schémas et des tendances à partir de grandes collections de données. La statistique fournit une manière extraordinairement puissante et utile de remettre en questions les suppositions et les inférences que les cerveaux humains produisent naturellement – et souvent de manière erronée. Image : Couverture du rapport de Ctrl-Shift sur le nouveau paysage des données personnelles. Et pourquoi pas ? Prenons l'exemple de quelqu'un qui cherche à changer de voiture.

Les nouveaux métiers de l’économie numérique : Big Data, big jobs ? Compte-rendu « Prospective Aujourd’hui, la donnée est au cœur des activités des organisations, quel que soit leur secteur. Mais l’un des aspects les plus « révolutionnaires » des Big Data réside dans la capacité d’expérimentation qu’elles offrent aux entreprises, pour mieux comprendre et envisager l’avenir sur la base d’éléments factuels. Le Data Scientist doit en conséquence devenir un chef d’orchestre jonglant entre les besoins et stratégies métiers de l’entreprise, et la capacité à analyser et interpréter les informations. Il existe cependant un déséquilibre entre la maturité des offres technologiques et la disponibilité des savoir-faire. Les experts métiers capables d’analyser une problématique au moyen d’une véritable démarche scientifique, et ce, avant même d’envisager quels outils utiliser, sont encore rares. Les entreprises cherchent des profils de culture scientifique capables d’appréhender des problématiques métiers dans le cadre d’une démarche d’expérimentation. Compte-rendu

untitled Du rôle prédictif des données à la gouvernementalité algorithmique Sur Place de la Toile, le 12 décembre dernier, Xavier de la Porte recevait Guillaume Main, consultant et statisticien, qui s’occupe du site Statosphère ; Erick Alphonse, maître de conférences au Laboratoire d’Informatique de Paris-Nord (LIPN) et responsable d’Idaaas, une société qui construit des modèles prédictifs, notamment via PredictiveDB, un logiciel prédictif et Antoinette Rouvroy, chercheuse au Fonds national de la Recherche scientifique, qui travaille sur les formes de pouvoir induites par l’usage des données. Réécouter l’émission en ligne, ou parcourez le transcript augmenté de liens. Il y a de multiples formes de données, rappelle en préambule Xavier de la Porte : données sociales, messages, commentaires, celles qu’on publie chez les autres ou que les autres publient sur soi. Xavier de la Porte : Quels sont les modèles prédictifs ? Une autre étude récente a utilisé Twitter pour tenter d’anticiper de deux-trois jours les cours du Down Jones. Erick Alphonse : Oui.

Jenkins et les 7 regles de la narration transmedia – Partie 3 | Transitumedia.com Henry Jenkins a déjà eu plusieurs articles à son nom sur mon blog. Je remets le couvert aujourd’hui avec une partie 3 où est dévoilé un concept supplémentaire de cette figure du transmedia : le worldbuilding. Who is Mr Jenkins? Contextualisons un peu pour les noobz qui viendraient à lire ma prose. La démarche d’Henry Jenkins a permis de nombreuses émergences de solutions et technologies innovantes dans les produits créatifs diffusés par les mass médias du monde entier. Jenkins et le « Worldbuilding » ou la création d’un univers Venons en au concept de Worldbuilding… Ce que Jenkins appelle l’extension transmedia n’est jamais centrale mais prolonge un univers en construction ou déjà définit le story world. La deuxième utilité du Worldbuilding est de permettre d’exploiter des supports dans le cadre de l’univers crée mais en dépassant les limites du monde médiatique classique souvent digital. Tous ces derniers servent souvent de points d’encrages au développement narratif d’un univers.

Big Data : les progrès de l’analyse des données Nous voici entré dans l’ère des Big Data des ensembles de données tellement gigantesques qu’ils nécessitent de nouveaux outils techniques et scientifiques pour les comprendre et en tirer du sens. Un déluge de données qui pose des questions profondes sur leur collecte, leur interprétation, leur analyse… Dans ce siècle des réseaux, la science des algorithmes, censée extraire le sens de ces amas d’information doit apprendre à comprendre ce qu’elle analyse. L’enjeu des Big Data nous adresse des questions scientifiques, mais aussi politiques et éthiques. Les Big Data, c’est le dossier de la semaine d’InternetActu. Après un retour sur l’article fondateur de Chris Anderson, regardons un peu ce que les Big Data permettent d’envisager. Vers le commerce algorithmique La tarification dynamique est bien connue des sociétés de transports qui vous proposent des tickets moins chers si vous réservez longtemps avant la date de votre voyage. Image : le déluge de données vu par The Economist.

Open data : le concours Etalab récompense avant tout les projets verticaux 01net le 30/05/12 à 15h08 Les six lauréats du concours Dataconnexions organisé par la mission Etalab viennent d'être révélés. Résultat : le vertical a plus la cote que le transversal. Le jury a jeté son dévolu sur les projets open data ciblant avant tout des secteurs spécifiques. Un comparateur de prix pour la médecine de ville Fourmi Santé propose ainsi de comparer les offres de soin de la médecine de ville. L’immobilier, l’autre gagnant du concours Laurent Bignier, cofondateur de La Place de... par frenchweb Nous avions déjà évoqué la société Home'n'Go, et son service de recherche de logement pour les particuliers. Visualiser la performance économique des pays Dernier projet vertical récompensé : Citizens Up. Des informations aussi variées que le PIB, le taux de chômage ou le nombre de fonctionnaires peuvent non seulement être consultées sur plusieurs années, mais également être comparées entre pays.

Centres de données – Google Centres de données Retour Lorsque vous consultez un site Web de Google (comme en ce moment), vous accédez à l'un des réseaux de serveurs les plus puissants au monde. Mais à quoi ressemble ce réseau en réalité ? Voici l'occasion de voir Internet de l'intérieur. Qui se cache dans les coulisses de la vaste toile mondiale que nous appelons Internet ? Que faut-il pour héberger le Web dans de bonnes conditions ? Chez Google, nous nous efforçons depuis des années d'optimiser la conception de nos centres de données afin de réduire notre empreinte écologique. Dans notre centre de données de Pryor en Oklahoma, nous avons tissé des liens étroits avec la communauté des Indiens Cherokee. L'une des raisons pour lesquelles nous avons choisi la ville de Lenoir en Caroline du Nord tient à son passé de ville manufacturière dans l'industrie du meuble. Notre centre de données de Belgique est particulier, car il est le premier à fonctionner sans refroidisseurs à eau.

Bonnes pratiques Open data : encore un effort Nous travaillons depuis quelques mois sur une liste de bonnes pratiques Open data. Le travail n'est pas encore terminé. A l'heure où je vous parle, nous avons : Le travail de mise au point est long, car nous recherchons des formulations parfaites, et des règles réalistes et qui font consensus. Nous avons plus que jamais besoin de vous, et si vous nous faites l'honneur de nous rejoindre, il est maintenant temps de proposer des reformulations. Nous repoussons la clôture de cet atelier au 20 octobre, après Paris-Web.. Voilà, soyez les bienvenus. Elie Sloïm (Temesis)

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