Apprentissage : le cerveau est comme une forêt!
Que se passe-t-il dans la tête d’une personne qui apprend? Comment une meilleure connaissance du fonctionnement du cerveau peut-elle aider un enseignant à améliorer sa pratique? Cet article rédigé par Steve Masson, professeur à l’UQAM, porte sur les récentes avancées de la science quant à la façon dont l’apprentissage modifie la structure du cerveau d’une personne. Le spécialiste de la neuroéducation explique en quoi ces découvertes sont pertinentes pour les pédagogues. Sur le plan cérébral, qu’est-ce qu’apprendre? Apprendre, c’est établir de nouvelles connexions entre les neurones du cerveau. Au départ, il est difficile pour l’apprenant de se déplacer d’un point à un autre dans la forêt. Quand on apprend, ce qui se passe dans le cerveau est semblable à ce qui se produit lorsque l’apprenant marche dans une forêt vierge. C’est pour cela que l’entrainement mène à l’accomplissement plus rapide et plus efficace d’une tâche : les connexions neuronales se fortifient. L’apprentissage actif E.
Cycle de Calvin
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Calvin. Le cycle de Calvin (aussi connu comme le cycle de Calvin-Benson) est une série de réactions biochimiques prenant place dans le stroma des chloroplastes des organismes photosynthétiques. Il a été découvert par Melvin Calvin et Andy Benson à l’université de Californie à Berkeley. Durant la photosynthèse, l’énergie de la lumière a été convertie en énergie chimique conservée dans l’ATP et le NADPH. Le cycle de Calvin, indépendant de la lumière, utilise l’énergie de ces transporteurs à courte vie pour transformer le dioxyde de carbone en composés organiques qui peuvent être utilisés par l’organisme. La somme totale des réactions du cycle de Calvin est : 6 CO2 + 24 NADPH + 18 ATP → C6H12O6 + 6 H2O + 24 NADP+ + 18 ADP + 18 Pi Réactions dans le cycle de Calvin[modifier | modifier le code] Cycle de Calvin, vue des trois étapes : fixation du dioxyde de carbone, réduction et régénération du ribulose.
Entraine ton cerveau! L’effet de l’activité physique
Le lien entre l’activité physique et la prévention de maladies et de troubles comme le diabète, les maladies cardiaques et l’obésité est bien connu. Par ailleurs, les plus récentes recherches mettent en lumière les effets de l’activité physique sur le développement du cerveau de l’enfant. Ces découvertes permettent d’établir d’importants liens entre l’activité physique et l’apprentissage. Dans cet article publié par la Canadian Education Association (CEA), des chercheurs affiliés au Children’s Hospital of Eastern Ontario Research Institute, rapportent les résultats de récentes recherches qui montrent les bienfaits de l’activité physique sur le cerveau. Selon Voss et all., ces bienfaits se situeraient à trois niveaux : L’activité physique entrainerait la formation de nouveaux vaisseaux sanguins (qui sont d’importants « réservoirs » de nutriments et d’oxygène) et de neurones (qui transmettent les influx nerveux) dans le cerveau. Quels types d’activité privilégier? [Consultez l’article]
Synthetic double-helix faithfully stores Shakespeare's sonnets
Nathan Benn / Alamy Humanity's legacy, including Shakespeare's sonnets, may be best preserved in DNA databases. A team of scientists has produced a truly concise anthology of verse by encoding all 154 of Shakespeare’s sonnets in DNA. The researchers say that their technique could easily be scaled up to store all of the data in the world. Along with the sonnets, the team encoded a 26-second audio clip from Martin Luther King’s famous “I have a dream" speech, a copy of James Watson and Francis Crick’s classic paper on the structure of DNA, a photo of the researchers' institute and a file that describes how the data were converted. The project, led by Nick Goldman of the European Bioinformatics Institute (EBI) at Hinxton, UK, marks another step towards using nucleic acids as a practical way of storing information — one that is more compact and durable than current media such as hard disks or magnetic tape. DNA packs information into much less space than other media.
Mon cerveau, ce héros... et ses mythes
De "l'effet Mozart' à la croyance que l'on n'utilise que 10% de son cerveau, les neuro mythes sont partout et particulièrement dans l'enseignement. Philosophe de formation mais chargée de mission à La main à la pâte et membre associée à l'Institut Nicod, Elena Pasquinelli nous invite à découvrir les neuro mythes et à les comprendre pour mieux les combattre. Un combat devenu nécessaire parce qu'ils justifient de façon banale le maintien de préjugés et qu'ils empêchent du coup l'Ecole de tirer parti des avancées scientifiques. "Ce voyage au royaume des mythes ne sera pas un voyage de tout repos et il présente des risques", écrit E Pasquinelli. Son ouvrage n'est en rien une remise en question des neurosciences. Elena Pasquinelli : " oublier que les enseignants ont un cerveau c'est risqué, non ?" Dans cet entretien, E Pasquinelli analyse plusieurs neuromythes qui ont cours dans l'éducation. Elle ne veut pas dire grand chose sauf du point de vue métaphorique. Je ne crois pas.
Sperm Trajectories, Evolving Humans and a Tomato Tapestry: The Best Scientific Figures of 2012 | Wired Science
Figures contained in scientific reports are a neglected area of the design world. Typically intended for display to academic audiences in the cramped confines of a journal, they tend to be utilitarian and esoteric -- yet while looking through hundreds of articles in the course of 2012, certain figures transcended the technical and rose to the level of communication art. They combined visual clarity, information density and insight into some fact of fundamental interest. From tomato taste to accelerating human evolution to a goose that flies over the Himalayas, here are our favorite scientific figures of the year.
Des chercheurs créent une carte 3D du cerveau pour visualiser comment nous comprenons le langage
Chaque jour, nous échangeons des milliers de mots. En famille, au bureau, avec les amis. Comment le cerveau est-il capable de reconstituer le sens des mots. Quels mécanismes se mettent en œuvre pour que nous puissions comprendre ce flux sans fin ? Cette recherche est non seulement une première par l’exploit qu’elle représente de construire une cartographie en temps réel de notre cerveau, en train de déchiffrer des mots, mais surtout elle montre que le langage n’est pas limité comme on le croyait à certaines zones précises du cerveau, situées plutôt dans l’hémisphère gauche. Jack Gallant, neuroscientifique à l’Université de Berkeley, et ses collègues, dont l’auteur principal Alex Huth, ont voulu savoir comment notre cerveau réagit quand on nous raconte une histoire. Pour ce faire, ils ont demandé à sept participants d’écouter un célèbre programme de contes diffusés à la radio : The Moth Radio Hour. Cette étude est considérée comme un tour de force. Dans la même thématique :
Ces petites pyramides sont des cages microscopiques pour les cellules
Accueil Next Ces petites pyramides sont des cages microscopiques pou... Les cellules sont en trois dimension, il est donc logique de les étudier dans un contexte tridimensionnel. C’est ce que pensaient les chercheurs de l’université de Twente au Pays-Bas. Ils ont donc conçu des petites cages pour étudier des cellules vivantes au lieu d’utiliser des boîtes de Petri. Fabriquées en recouvrant un noyau de silicium avec des nitrites, les cages sont assez grandes pour contenir une cellule. Dernières Questions sur Gizmodo Help