Votre design 3D devient réalité avec l'impression 3D L’impression 3D prête à révolutionner les industries du jeu Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Maxime Vaudano Dans l’étroit local embouteillé du « Petit fablab de Paris », on peine à imaginer que le fragile cube jaune qui bourdonne dans un coin deviendra peut-être un jour le fossoyeur de pans entiers de l’industrie mondiale. Connectée à un ordinateur, l’imprimante 3D de cet espace associatif fabrique patiemment une figurine de quelques centimètres de haut qui n’est pas sans rappeler les « Warhammer », une collection de figurines qui compte des milliers d'amateurs en France. Aux quatre coins de la France, cette technique commence à intéresser des passionnés, qui y voient le potentiel de s’émanciper des grands acteurs économiques. « Figurinistes », bricoleurs de décors, amoureux des jeux de société : beaucoup sont convaincus qu’il sera bientôt possible d’imprimer tout le matériel nécessaire à leur hobby directement chez eux. Lire (édition abonnés) : "On ira dans un fablab comme chez un commerçant"
Lexique de l'impression 3D Pas toujours simple de s’y retrouver dans ce monde de l’imprimante 3D qui fourmillent de termes techniques. Voici un lexique qui vous permettra de connaitre rapidement les définitions des termes usités comme les types de plastique ou les modes d’impression sans oublier les pièces caractéristiques des imprimantes. Un sigle pour un nom barbare : l’Acrylonitrile Butadiène Styrène. Voir la différence avec le PLA. Extruder : C’est la pièce emblématique de l’imprimante 3D. Extrusion : Action thermomécanique qui consiste à faire passer de la matière à travers une « filière ». Extrusion thermoplastique : Voir Fused Deposition Modeling Fused Deposition Modeling : Ou FMD. C’est l’acide polylactique (PolyLactic Acid en anglais). Voir la différence avec l’ABS Selective Laser Sintering : Ou SLS. Voir Selective Laser Sintering Voir Stereolithography Stereolithography : Ou SLA. Thermoplastic Extrusion : --Cet article a été rédigé par +Francois
Tobeca | RepRap Diffusion La Tobeca® est une imprimante open source développée et fabriquée en France. Toutes les sources du projet sont disponibles sur GitHub. Elle a la particularité d’être transportable dans sa solide mallette pour en faire un produit performant et peu encombrant. Grâce à la simplicité de sa conception et à sa robustesse, faire des impressions 3D est pratiquement aussi simple que d’imprimer une feuille de papier. Sa connexion USB permet de la connecter à n’importe quel ordinateur (Windows, Linux ou Mac) et son logiciel intégré Repetier Host intègre toutes les fonctionnalités nécessaires pour faire vos impressions et gérer votre imprimante 3D. Ses profils d’impression pré enregistrés permettent de choisir en un clic la vitesse et la finition du modèle à imprimer. Découvrez la Tobeca en détails dans la galerie ! Petite vidéo de la FCEC sur le montage de leur Tobeca® : Liste complète des spécifications techniques
L'imprimante 3D est déjà dépassée... place à la 4D L'impression 3D, c'est tellement 2013! Désormais, c'est sur la 4D qu'il faudrait miser. Tandis que la première de ces technologies révolutionnaires se démocratise à peine - La Poste par exemple teste en France un service d'impression d'objets - la seconde se développe. Un objet intelligent Mais au fait, des objets en quatre dimensions, qu'est ce que c'est? Il s'agit en effet de matériaux qui évoluent dans le temps ou s'adaptent à leur environnement. Qui intègre la nano-technologie Concrètement, pour passer de la troisième à la quatrième dimension, il faut ajouter un élément: les nano-technologies. Lors d'une expérience présentée en vidéo, il montre le fonctionnement de ses premiers prototypes. L'intérêt de ces nouveaux matériaux? Le chercheur explique ainsi: "J'aimerais proposer (...) qu'on combine le monde des matériaux adaptifs programmables de l'échelle nanotechnologique et l'environnement du bâtiment. Vidéo L'Armée américaine intéressée Des bijoux en 4D
Innovation. L'imprimante 3D s'invite dans les hypers L'imprimante 3D, kezako ? Depuis vendredi, une étrange machine intrigue les clients de l'hypermarché Leclerc de Kergaradec, aux portes de Brest. Cette imprimante 3D permet de reconstituer, après modélisation informatique, n'importe quel objet ! Les marques s'y mettent Ce week-end, des objets promotionnels à l'effigie de marques du réseau Produit en Bretagne ont été présentés, en plus de dégustations plus classiques. « On cherche constamment des idées pour innover, et exister en magasin », explique Malo Bouessel du Bourg, directeur de Produit en Bretagne. À Carrefour les 11 et 12 mars L'animation sera également proposée les vendredi 11 et samedi 12 mars prochain, à Carrefour Iroise. Lire aussi. Ouest-France.
Prix imprimante 3d - imprimer ses objets en trois dimensionsns On peut pirater les imprimantes 3D en les écoutant... Des chercheurs de l’Université d’Irvine en Californie ont démontré la possibilité de pirater les imprimantes 3D en écoutant leur fonctionnement pour reproduire leurs créations. Tandis que la plupart des fabricants d’imprimantes 3D commencent à peine à entrevoir un véritable marché grand-public pour leurs appareils, il semble que des esprits brillants aient déjà trouvé le moyen d’en pirater le fonctionnement. Depuis son démarrage, le concept d’impression 3D attise autant de curiosité que de craintes autour du respect de la propriété intellectuelle. Si certaines entreprises –comme le groupe SEB– choisissent de mettre à disposition les modèles 3D de leurs produits (afin de réduire les coûts de maintenance et remplacement de pièces usagées) d’autres s’inquiètent du risque de ‘copie’ généralisée grâce à l’impression 3D. Ce ‘piratage’ s’effectuerait simplement par l’écoute des bruits caractéristiques de la machine pendant le processus de fabrication additive.
Impression tridimensionnelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'impression 3D ou impression tridimensionnelle sont les termes courants utilisés pour parler des procédés de fabrication additive. Initialement, en raison de leurs défauts originels, ces procédés ont été développés pour le prototypage rapide, mais maintenant ils sont de plus en plus utilisés pour la fabrication de pièces fonctionnelles. Bien que d'autres existent, voici quelques technologies qui coexistent : le FDM (Fuse Deposition Modeling : modelage par dépôt de matière en fusion), la SLA (Stéréolithographie : une lumière UV solidifie une couche de plastique liquide) et le frittage sélectif par laser (un laser agglomère une couche de poudre). L'impression tri-dimensionnelle permet de produire un objet réel : un opérateur dessine l'objet sur un écran en utilisant un outil de Conception assistée par ordinateur (CAO). En 2013[modifier | modifier le code] Une maquette de façade d'immeuble créée par impression tridimensionnelle.
Le MIT travaille sur l'impression 4D de fibres de carbone et de bois Nous vous en parlions il y a environ un an, l’impression 4D vient ajouter une nouvelle dimension à l’impression 3D en donnant vie aux objets qu’elle produit. En effet, la quatrième dimension de l’impression 4D signifie qu’un objet à la particularité de pouvoir voir sa forme évoluer dans le temps, et en fonction des conditions dans lesquelles il évolue (température, eau, pression, lumière…). Le MIT a bien entendu continué à faire évoluer ce projet pour définir des matériaux qui seraient imprimables en 4D. En effet, la capacité d’évoluer dans le temps des objets imprimés est due à la fois à leur forme et la façon dont ils sont imprimés, mais aussi au matériau dans lequel ils sont imprimés. Fibres de carbone : Bois : Pour développer le matériau à base de fibres de carbones, l’équipe du laboratoire « Self-Assembly » a travaillé avec la société Carbitex, qui produit les matériaux en fibre de carbone utilisé pour des valises entre autres.
Top Office ouvre ses premiers centres d'impression 3D en France DO IT YOURSELF. Depuis le 2 mai, deux des 36 magasins de Top Office, le distributeur de fournitures et de matériel de bureau proposent un nouveau service. L'un à Villeneuve d’Ascq (Nord), l'autre à Tours (Indre-et-Loire). Les données informatiques sont alors transmises via un ordinateur à une machine appelée Replicator 2, que Top Office a acquis auprès du fabriquant américain Makerbot pour 2 000 euros environ. MINIATURE. L'imprimante en fonction et quelques exemples d'objets réalisés avec le Replicator 2. Le tout pour une somme modique puisque chaque impression n'est facturée qu'entre 10 et 30 euros en fonction de sa taille, du temps passé à la construire et de la quantité de consommable utilisé lors de l'opération. FORMES COMPLEXES. "Pas tant que cela", rétorque Jacques-Olivier Cuenin : "Il suffit de n'imprimer qu'un minuscule point de contact entre le sifflet et la base de la bille puis, lorsque le sifflet est achevé, on le secoue pour rompre le lien et la libérer" détaille-t-il.
Conséquence et futur de l'imprimante 3D On entend de plus en plus parler du concept d’imprimante 3D. Les médias enchaînent les articles et reportages sur le sujet, mais les contours de la chose restent pour le moment assez flous. Une chose est sûre, le mouvement se porte désormais vers le grand public. On a vu arriver de nombreux modèles aux prix abordables, et aujourd’hui on peut avoir des imprimantes de qualité entre 400 et 1500 dollars. Oui, mais elles ne font évidemment pas tout et sont limitées dans les matières et tailles d’objets. Une nouvelle révolution industrielle ? Un signe ne trompe pas quand aux conséquences potentielles de l’apparition des imprimantes 3D : l’implication de Barack Obama. Avant qu’Obama ne remette le couvert début 2013 lors d’un discours dans lequel il annonce sa volonté d’ouvrir une quinzaine de centres de recherche sur l’impression 3D pour que les Etats-Unis soient en pointe pour la prochaine révolution industrielle. De la petite à la grosse réparation Une voie de développement
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