background preloader

L'imprimante 3D , une innovation qui peut tout bouleverser !!

L'imprimante 3D , une innovation qui peut tout bouleverser !!
Related:  Fonctionnement

Le calcul numérique, ça chauffe ! | Digital MIF « Jugaad » (*) ! Ainsi s’exclamerait Navi Radjou, le chantre franco-indien de l’innovation frugale, en découvrant les solutions des Français Qarnot Computing et Stimergy. Ces deux start-ups développent des infrastructures de cloud computing en rupture avec celles communément concentrées dans les data centers actuels. Leurs fondateurs, respectivement Paul Benoît et Christophe Perron, deux ingénieurs, le premier polytechnicien, le second diplômé de Supelec, ont eu l’idée ingénieuse d’exploiter l’énergie calorifique des ressources de calcul pour chauffer les bâtiments. Paul Benoît, CEO de Qarnot Computing. Paul Benoît est le premier à être sorti du bois en fondant fin 2010 sa société Qarnot Computing implantée à Paris et Montrouge. Les différents composants d’un radiateur numérique. Le parc de Qarnot est aujourd’hui formé de 350 radiateurs numériques, dont 300 ont récemment été déployés dans des logements sociaux en collaboration avec la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP).

Lexique de l'impression 3D Pas toujours simple de s’y retrouver dans ce monde de l’imprimante 3D qui fourmillent de termes techniques. Voici un lexique qui vous permettra de connaitre rapidement les définitions des termes usités comme les types de plastique ou les modes d’impression sans oublier les pièces caractéristiques des imprimantes. Un sigle pour un nom barbare : l’Acrylonitrile Butadiène Styrène. Voir la différence avec le PLA. Extruder : C’est la pièce emblématique de l’imprimante 3D. Extrusion : Action thermomécanique qui consiste à faire passer de la matière à travers une « filière ». Extrusion thermoplastique : Voir Fused Deposition Modeling Fused Deposition Modeling : Ou FMD. C’est l’acide polylactique (PolyLactic Acid en anglais). Voir la différence avec l’ABS Selective Laser Sintering : Ou SLS. Voir Selective Laser Sintering Voir Stereolithography Stereolithography : Ou SLA. Thermoplastic Extrusion : --Cet article a été rédigé par +Francois

5 innovations qui vont bouleverser le XXIème siècle Homo Sapiens Sapiens va sans grand doute accomplir plus de progrès techniques au XXIème siècle que pendant ses 100 000 premières années sur la planète. Passage en revue de 5 technos qui vont façonner notre siècle. Passage en revue de 5 technos qui vont façonner notre siècle : logiciels de reconnaissance des formes et comportements, véhicules autopilotés, logiciels de traduction, impression 3D, et appareils d’autodiagnostic médical. Les logiciels de reconnaissance faciale, reconnaissance des formes, des humeurs, logiciels d’anticipation comportementale. Grâce d’une part au perfectionnement croissant des capteurs en tous genres (caméras, micros, etc.) et d’autre part à l’immense puissance de calcul désormais disponible, les machines vont être en mesure de capter de plus en plus d’informations et de l’interpréter de façon de plus en plus fine. Viendront ensuite les visages. Les véhicules autopilotés : voitures et drones Notre ciel quant à lui s’apprête à être envahi par les drones.

Innovation. L'imprimante 3D s'invite dans les hypers L'imprimante 3D, kezako ? Depuis vendredi, une étrange machine intrigue les clients de l'hypermarché Leclerc de Kergaradec, aux portes de Brest. Cette imprimante 3D permet de reconstituer, après modélisation informatique, n'importe quel objet ! Les marques s'y mettent Ce week-end, des objets promotionnels à l'effigie de marques du réseau Produit en Bretagne ont été présentés, en plus de dégustations plus classiques. « On cherche constamment des idées pour innover, et exister en magasin », explique Malo Bouessel du Bourg, directeur de Produit en Bretagne. À Carrefour les 11 et 12 mars L'animation sera également proposée les vendredi 11 et samedi 12 mars prochain, à Carrefour Iroise. Lire aussi. Ouest-France.

Les grandes tendances de l’innovation biomédicale au XXIe siècle - Les grandes tendances de l’innovation biomédicale au XXIe siècle 1Monsieur l’Administrateur, Mes Chers Collègues, Chers Amis, Mesdames, Messieurs, 2En premier lieu, je voudrais remercier Pierre Corvol et Philippe Kourilsky, ainsi que Mesdames et Messieurs les professeurs, de me donner l’opportunité de partager ma vision sur les grandes tendances qui, aujourd’hui, dessinent l’innovation médicale. Norman Augustine, l’ancien président de l’Académie nationale d’Engineering des États-Unis faisait remarquer que les institutions dédiées au savoir font preuve d’une espérance de vie bien supérieure à celle des gouvernements. Sur cent gouvernements existant en 1900, seuls deux d’entre eux restaient inchangés, notait-il, alors que sur cent universités et académies existant au xvie siècle, plus de soixante-quinze demeurent bien vivantes, y compris le Collège de France. 1 Abraham H. 3Les scientifiques estiment que l’univers a commencé à l’occasion d’un « Big Bang » remontant à plus de quatorze milliards d’années. Le paradoxe central 4 Steven M. 6 Elias A.

On peut pirater les imprimantes 3D en les écoutant... Des chercheurs de l’Université d’Irvine en Californie ont démontré la possibilité de pirater les imprimantes 3D en écoutant leur fonctionnement pour reproduire leurs créations. Tandis que la plupart des fabricants d’imprimantes 3D commencent à peine à entrevoir un véritable marché grand-public pour leurs appareils, il semble que des esprits brillants aient déjà trouvé le moyen d’en pirater le fonctionnement. Depuis son démarrage, le concept d’impression 3D attise autant de curiosité que de craintes autour du respect de la propriété intellectuelle. Si certaines entreprises –comme le groupe SEB– choisissent de mettre à disposition les modèles 3D de leurs produits (afin de réduire les coûts de maintenance et remplacement de pièces usagées) d’autres s’inquiètent du risque de ‘copie’ généralisée grâce à l’impression 3D. Ce ‘piratage’ s’effectuerait simplement par l’écoute des bruits caractéristiques de la machine pendant le processus de fabrication additive.

Santé, médecine. Le corps sous protection Les 12 et 13 décembre, se tient à Paris un colloque consacré au santéisme. Organisée par le Centre d’études des techniques, des connaissances et des pratiques (CETCOPRA), cette rencontre va interroger les enjeux de l’autosurveillance généralisée par les capteurs, les diagnostics précoces, la quantification permanente de soi. Deux organisateurs posent ici le paysage de la « santé assistée » et pointent quelques questions : quelles figures du corps, du vivant et de la santé façonnent ces pratiques ? Le « santéisme » est une idéologie qui envahit de plus en plus nos sociétés contemporaines. La « vie saine » quantifiée ou normée ? Pensons, par exemple, aux podomètres, aux biocapteurs et aux appareils de mesure utilisés pour produire des données biologiques personnelles au sujet de l’alimentation, de l’état de santé, des prestations sportives ou sexuelles. Service utile, dès lors que la personne peut donner du sens Télémédecine et numérisation des humains : la menace de l’infobésité

Le MIT travaille sur l'impression 4D de fibres de carbone et de bois Nous vous en parlions il y a environ un an, l’impression 4D vient ajouter une nouvelle dimension à l’impression 3D en donnant vie aux objets qu’elle produit. En effet, la quatrième dimension de l’impression 4D signifie qu’un objet à la particularité de pouvoir voir sa forme évoluer dans le temps, et en fonction des conditions dans lesquelles il évolue (température, eau, pression, lumière…). Le MIT a bien entendu continué à faire évoluer ce projet pour définir des matériaux qui seraient imprimables en 4D. En effet, la capacité d’évoluer dans le temps des objets imprimés est due à la fois à leur forme et la façon dont ils sont imprimés, mais aussi au matériau dans lequel ils sont imprimés. Fibres de carbone : Bois : Pour développer le matériau à base de fibres de carbones, l’équipe du laboratoire « Self-Assembly » a travaillé avec la société Carbitex, qui produit les matériaux en fibre de carbone utilisé pour des valises entre autres.

UP Magazine Alors que la recherche sur le sujet n’a jamais été aussi dense, l’impression 3D de cellules vivantes nourrit de grands espoirs ! Le procédé devrait en effet permettre de régler la pénurie liée aux dons d’organes, alors que l’on estime à 19 000 le nombre de personnes en attente d’une greffe en 2013 rien qu’en France. Et le Japon l’a bien compris et pourrait devenir rapidement le numéro un mondial dans le bio-printing. C’est en tout cas ce que laisse présager les investissements récemment débloqués par le gouvernement, pour un montant de 2,5 milliards de yens (soit 18,5 millions d’euros), et qui seront investis sur les cinq prochaines années. Les crédits seront partagés entre cinq instituts de recherche rattachés à l’Université d’Osaka et devrait concerner le développement de tissus humains réalisés par impression 3D. Ces cellules pourraient notamment servir à réparer des organes abimées ou tester l’efficacité de certains médicaments. L’imprimante 3D mise au point par l’équipe du Pr.

Décryptage : le Big data santé En santé, le Big Data promet également beaucoup, notamment dans le domaine de l’épidémiologie, puisqu’il permet d’analyser des données sur des échantillons cliniques plus grands, voire de se passer d’échantillon et de laisser émerger des tendances que l’on n’aurait pas imaginées à l’avance. Par exemple, en 2009, en pleine pandémie de grippe H1N1, le ministère américain de la santé a demandé l’aide de Google. En localisant sur une carte la position la provenance des mots-clés tapés dans le célèbre moteur de recherche, les ingénieurs ont pu dessiner et finalement anticiper l’évolution de l’épidémie. Mais plus les données étudiées sont fiables, plus les résultats seront pertinents. Les pouvoirs publics ont agi avant même la parution du rapport, puisqu’un arrêté du 19 juillet 2013 assoupli l’accès au SNIIRAM pour l’Institut de veille sanitaire (InVS) et la Haute autorité de santé (HAS) pour leurs besoins statistiques. Toutefois, la plus grande prudence est de mise.

Le bonheur au travail Qui, aujourd'hui, peut se vanter d'être heureux sur son lieu de travail ? Certainement pas les 31% de salariés "activement désengagés" – ceux qui ont une vision négative de leur entreprise et peuvent aller jusqu'à lutter contre les intérêts de cette dernière. Inspiré de l'armée, le modèle d'organisation du travail visant à contrôler l'ensemble des salariés en leur attribuant des tâches limitées a peu changé depuis la fin du XIXe siècle. Aujourd'hui, employeurs comme employés doivent s'accommoder d'un système archaïque qui ne correspond plus à personne : ni efficace, ni rentable. Métro, boulot, bingo Que peuvent avoir en commun le ministère de la Sécurité sociale belge, le géant indien HCL et Chronoflex à Nantes, leader en France du dépannage de flexibles hydrauliques ?

Related: