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Nicolas Sarkozy avait commandité l'assassinat d'Hugo Chavez

Nicolas Sarkozy avait commandité l'assassinat d'Hugo Chavez
La ministre vénézuélienne des Services pénitentiaires, Iris Varela, a annoncé sur son compte Twitter l’expulsion d’un ressortissant français connu sous le nom de Frédéric Laurent Bouquet, le 29 décembre 2012. M. Bouquet (photo) avait été arrêté à Caracas, le 18 juin 2009, avec trois ressortissants dominicains, en possession d’un arsenal. La police scientifique avait saisi dans l’appartement qu’il avait acquis 500 grammes d’explosifs C4, 14 fusils d’assaut dont 5 avec visée télescopique, 5 avec visée laser, et 1 avec silencieux, des câbles spéciaux, 11 détonateurs électroniques, 19 721 cartouches de différents calibres, 3 mitraillettes, 4 pistolets de différents calibres, 11 équipements radio, 3 talkies walkies et une base radio, 5 fusils de chasse calibre 12, 2 gilets pare-balles, 7 uniformes militaires, 8 grenades, 1 masque à gaz, 1 couteau de combat et 9 bouteilles de poudre à canon. Durant son procès, M. M.

Le deuil du bruit et de la fureur d’une Nation libre Ce soir, un lourd silence s’étend depuis le cœur du Venezuela. Une des grandes voix du monde libre s’est éteinte. Le président Hugo Chavez, qui avait si souvent trompé la mort, n’a pas pu gagner son dernier combat. En 1999, un homme qui se veut « le fléau de l’oligarchie et le héros du peuple » est porté au pouvoir par les suffrages d’une très large majorité des Vénézuéliens. Ce soutien indéfectible de la nation, Hugo Chavez le trouvera toujours dans le verdict des urnes qu’il a scrupuleusement respecté. Hugo Chavez était une révolte. On ne bouleverse pas le destin d’une Nation sans erreur. Un peuple n’est pas libre quand il est tétanisé par la misère ; une nation n’est pas libre quand ses dirigeants se couchent devant les intérêts étrangers. Désormais, les Vénézuéliens sont libres. Toute légende vivante a ses failles mais elle anime un peuple fier d’être libre. Nicolas Dupont-Aignan Député de l'Essone Président de Debout la République

Hugo Chàvez, cet homme en était vraiment un Mince, entre Joseph Staline et Hugo Chávez, c’est le jour des autocrates de combat ! On ne devrait jamais dire ça, histoire de ne pas relayer le discours des médias dominants. Car si Staline prit le pouvoir par la terreur, Chávez le fit par les urnes. Et en trichant sûrement moins qu’un Jacques Chirac à Paris… Mais qu’il nous soit permis, à l’heure du dernier bilan, de rappeler ces petites choses, déjà publiées sur ce site il y a quelques semaines, à l’heure où le grand homme était au plus mal. Au nord du continent américain, la colonisation s’est faite par le génocide ; il paraît que Dieu avait donné cette nouvelle Terre promise aux allumés du Mayflower. Au sud, ce ne fut que massacres et pillages, mais ayant laissé assez d’Indiens en vie pour qu’ils soient encore aujourd’hui majoritaires. Mais puisque bilan il doit y avoir, on admettra, à son crédit : • L’analphabétisme, fléau national, a ainsi disparu dès 2006, bilan confirmé par l’UNESCO. À son débit maintenant :

Analyses d'Alain Soral sur Hugo Chavez Vous appuyez là où ça fait mal. Le chavisme c’est un double standard idéologique nord/sud, avec un discours "de gauche" altermondialiste pour l’hémisphère nord (anti-militarisme, immigrationnisme, etc.) et un discours néonationaliste "de droite" pour l’hémisphère sud (militarisme, défense des frontières, catholicisme...) Le Sud étant historiquement "victime" du Nord, il peut revendiquer un droit à la Nation et au souverainisme que les pays occidentaux auraient essentiellement perdu en oppressant et en dominant les autres peuples. Ces pays doivent réparer ou compenser les injustices commises en acceptant l’ouverture des frontières, les prise en charge des victimes de la pauvreté engendrée par les guerres, les multinationales, etc.Je schématise, mais cette rhétorique sudiste est présente dans les discours de Chavez. Dire de lui qu’il aurait soutenu un programme gaullien ou qu’il aurait partagé les valeurs d’un le pen, rien n’est moins sûr...

Venezuela : France 2 se plante et se corrige… un peu I. Avant le scrutin Quelques jours avant les élections au Venezuela, quelques médias - en général peu prolixes sur la question – se sont tout de même bien sentis obligés de s’y intéresser … ou de feindre de le faire. France 2, à la différence de ceux qui ont carrément préféré occulter la chose, s’y est risqué. En ouverture des titres du journal télévisé du 3 octobre 2012 [1], David Pujadas, avec la grandiloquence qu’on lui connaît, annonce : « Dans l’actualité également : modèle ou contre-modèle ? « Despote ou visionnaire ? Il faut attendre plus de 20 minutes pour que le sujet annoncé en sommaire soit enfin traité à une place de choix : après le « mea culpa de Valérie Trierweiler » à propos de son « tweet » [3], suivi d’un insert aguicheur sur les reportages « à suivre » (les mesures destinées à favoriser le recours aux voitures électriques, la grande fatigue des élèves, et… la zumba). Suit alors une question prometteuse : « Alors, quelle est vraiment la nature du régime ? II. I. II.

Coup de gueule d'une française de Caracas (Vénézuéla) suite au JT de F2 le 3 Octobre à 20h sur Hugo Chavez (54) Aujourd'hui :... Observatoire du Venezuela Le phoenix tranquille Il est le 52e et actuel président de la République bolivarienne du Venezuela depuis le 2 février 1999 «Si le climat était une banque, les pays occidentaux l'auraient sauvé» Hugo Chávez On a tout dit de Chávez en Occident si ce n'est pour le présenter encore et toujours sous un jour couleur de soufre. Qu'a-t-il fait de répréhensible pour mériter pareille opprobre? Assurément les élections de ce dimanche 7 octobre où 19 millions d'électeurs sont invités à élire un nouveau président de la République, seront un test de l'impopularité ou de l'affection que lui portent les Vénézuéliens. Il aura à affronter six candidats. Qui est Hugo Rafael Chávez Frías? Les avancées sociales au VenezuelaJean-Luc Melenchon et Ignacio résument assez bien la kabbale injuste contre Hugo Chávez. Justement à propos d'électionsIl n'est pas étonnant de ce fait que les Etats-Unis traitent le gouvernement du Venezuela de dictature.

ARGENTINE • “Hugo, apprends-moi à gouverner” Renationalisation du pétrole, restrictions économiques, autoritarisme. “L’Argentine ressemble de plus en plus au modèle vénézuélien”, critique l’opposition. Une vision partagée par cette correspondante canadienne. “Bravo Cristina, tu es sur la bonne voie ! Maintenant, je vais t’apprendre à exproprier !” Devant un public hilare, un imitateur d’Hugo Chavez offrait récemment une leçon de socialisme à une actrice personnifiant Cristina Kirchner. Le parallèle peut sembler risqué tant les différences culturelles et structurelles sont fortes entre les deux pays. La plus emblématique est l’expropriation en avril de l’entreprise pétrolière espagnole Repsol. Ces restrictions touchent surtout la classe aisée, qui économise en dollars pour se prémunir des crises et dévaluations à répétition. Autre point commun, Cristina Kirchner a créé un “levier de croissance” inédit en Amérique latine hors Venezuela : une réforme des statuts de la Banque centrale permet de puiser dans ses réserves.

" La Guerre de l'Ombre ", nous la subissons en Corse. by epc Jan 5

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