Bercy ouvre une aide aux Fab Labs pour encourager le DIY Vidéo : Bercy ouvre une aide aux Fab Labs pour encourager le DIY Estimant que les Fab Labs sont au coeur d'un "changement de paradigme de notre système économique", avec une mise en valeur du partage des ressources et des savoirs, le Gouvernement a lancé mercredi un appel à projets visant à financer la création de nouveaux Fab Labs, ou l'amélioration d'ateliers existants. "Oui, nous voulons des Fab Labs partout en France", avait assuré la ministre déléguée aux PME, à l'innovation et à l'économie numérique, Fleur Pellerin, dans un tweet en fin d'année dernière. Six mois plus tard, le Gouvernement vient de lancer un appel à projets dans le cadre d'une aide au développement des ateliers de fabrication numérique, qui améliorent le concept du "Do It Yourself" (DIY) vers un "faire ensemble", avec des outils perfectionnés mis à disposition de tous dans des ateliers ouverts. "Un changement de paradigme de notre système économique"
Pour les agriculteurs, ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé Une découverte significative de l’Université de l’État de Washington montre que l’ail est 100 fois plus efficace que deux antibiotiques populaires pour combattre des maladies causées par des bactéries responsables de toxi-infections alimentaires. Leur travail a été publié récemment dans le Journal de Chimiothérapie Antimicrobienne, une suite des précédentes recherches de l’auteur dans Microbiologie Appliquée à l’Environnement qui a démontré de manière concluante qu’un concentré d’ail était efficace pour inhiber la croissance de la bactérie Campylobacter jejuni. L’ail est probablement l’un des plus puissants aliments naturels. C’est l’une des raisons pour laquelle les gens qui suivent un régime méditerranéen ont des vies aussi saines et longues. L’ail est aussi très performant en laboratoire de recherche. L’une des découvertes les plus intéressantes est que l’ail augmente le niveau global d’antioxydants dans le corps. Source Traduit par Bistro Bar blog relayé par wikistrike Comments comments
Fab Labs: la grande bidouille «Do it yourself, do it with others» («faites-le vous-même, faites-le avec les autres») : telle est la devise des Fab Labs, ou Fabrication Laboratories. Vous n’en avez jamais entendu parler ? Normal, le mouvement est encore underground. Créés il y a une dizaine d’années au Massachusetts Institute of Technology (MIT) par Neil Gershenfeld, un professeur de physique qui proposait un cours de prototypage rapide intitulé «comment fabriquer (à peu près) n’importe quoi», les Fab Labs sont les ateliers de fabrication communautaires de l’ère numérique. Des plans en open source, quelques machines-outils à commande numérique, un peu d’apprentissage collectif, beaucoup de patience et d’ingéniosité… et voilà un meuble sur mesure, une pièce pour réparer sa machine à laver ou carrément le prototype d’un vélo électrique ! Les Fab Labs se sont mis en tête de transposer au vieux monde industriel la philosophie ouverte et collaborative du logiciel libre. Apprendre ensemble Faire son prototype
Les sites collaboratifs réclament le soutien de Bercy Ce sont des entreprises d'un nouveau genre. Des enteprises du numérique, des sites internet qui proposent des services entre particuliers : co-voiturage, location de logements ou dîner chez l'habitant, échange d'appartements, mutualisation d'achats, etc Ces entrepreneurs se sont réunis, mardi 25 juin, à Bercy pour un "BercyJam" au cours duquel ils ont pu faire part de leurs besoins et doléances à Fleur Pellerin. Des demandes multiples Création d'un statut à part entière, labellisation, fiscalité ad hoc (TVA réduite) pour les sociétés et clarification pour les utilisateurs (franchise fiscale), aide au financement par le biais de prêts participatifs et/ou incitations en direction des investisseurs : les demandes ont fusé. "Allez-y, c'est Noël", a lancé l'un des participants à ses acolytes lorsqu'il s'est agit de suggérer à l'Etat comment aider financièrement ces entreprises d'un nouveau genre. Des fablabs lancés cet automne Des avantages pour les consommateurs
Minority rules: Scientists discover tipping point for the spread of ideas Scientists at Rensselaer Polytechnic Institute have found that when just 10 percent of the population holds an unshakable belief, their belief will always be adopted by the majority of the society. The scientists, who are members of the Social Cognitive Networks Academic Research Center (SCNARC) at Rensselaer, used computational and analytical methods to discover the tipping point where a minority belief becomes the majority opinion. The finding has implications for the study and influence of societal interactions ranging from the spread of innovations to the movement of political ideals. "When the number of committed opinion holders is below 10 percent, there is no visible progress in the spread of ideas. It would literally take the amount of time comparable to the age of the universe for this size group to reach the majority," said SCNARC Director Boleslaw Szymanski, the Claire and Roland Schmitt Distinguished Professor at Rensselaer.
Fabrication numérique et économie de l'atelier - Semaphore (Texte paru dans La Planète Laboratoire N°4) La Solar FabLab House1 construite en cette année 2011 par l'Institute for Advanced Architecture of Catalonia2 en partenariat avec le Center for Bits and Atoms du Massachusetts Institute of Technology3 est sans doute la représentation la plus significative à ce jour de la jonction vertueuse de la fabrication numérique et de l'adaptabilité environnementale. Au-delà de son caractère passif et de sa gestion selon les principes intégrés du métabolisme domestique, ce qui nous intéresse ici est que cette maison est fabriquée en pièces détachées préparées sur des machines CNC (Computer Numeric Control) de grande taille ou issues du fablab (fabrication laboratory) de l'institut d'architecture, machines qui interprètent les fichiers de fabrication et les traduisent en code (code G) compréhensible par les outils mécaniques qui vont couper, fraiser, imprimer ou former les matériaux bruts en pièces à assembler. Arts & Métiers Autogouvernance 11W.
Convertibilité du rouble: les banques étrangères doivent créer des réserves en roubles | Économie MOSCOU, 18 mai - RIA Novosti. Le rouble ne sera convertible que si les banques étrangères ont besoin d'accumuler des réserves en roubles, a estimé Alexandre Chokhine, président de l'Union des industriels et des entrepreneurs de Russie. "Les banques doivent avoir besoin d'accumuler des réserves en roubles", a-t-il indiqué lors d'un point de presse mercredi. Cette nécessité peut apparaître si le pétrole russe est vendu contre des roubles. Le président Vladimir Poutine a récemment insisté dans son Message au parlement russe sur la nécessité d'organiser en Russie le commerce boursier du pétrole, du gaz et d'autres ressources contre des roubles. Il importe également que les ressortissants de la Fédération puissent échanger librement leurs roubles à l'étranger, a ajouté le chef du patronat russe. Le 10 mai, dans son Message au parlement fédéral, le président Poutine a insisté sur la nécessité de parvenir à la convertibilité du rouble avant le 1er juillet prochain.
Les makers seront-ils les prochains maîtres du monde ? Après la Longue traîne (2006) et Free ! Entrez dans l’économie du gratuit (2009), Chris Anderson revient nous narrer les tendances du futur dans Makers, La nouvelle révolution industrielle. Si ces précédents ouvrages restaient cantonnés au domaine des écrans, celui-ci explore le vaste champ du numérique et des objets « autofabriqués ». Super geek dad Makers est un livre agaçant et passionnant. Changer le monde rien qu’avec une idée n’était pas facile. L’introduction nous plonge dans l’intimité du grand-père de l’auteur, qui bricolait des systèmes d’automatisation pour arroseurs de pelouses pavillonnaires. Chris Anderson nous raconte ses après-midis passés à bricoler avec ses enfants. La fibre entrepreneuriale le rattrape, puisque ce projet donnera naissance à sa start-up. Géographies industrielles La fabrication numérique devient ainsi l’élément clé d’une relance de l’industrie, solution au retrait des grandes usines. Les pays sérieux fabriquent des choses (6) Fables labs Notes
La Nasa prédit la fin de notre civilisation d’ici une quinzaine d’années… 10 Aout 2014 - Notre civilisation serait condamnée à disparaître. Non, vous n’êtes pas dans un film de science-fiction, c’est la Nasa elle-même qui l’annonce, via une étude qu’elle a financée. Des chercheurs ont ainsi montré que plusieurs critères pourraient entraîner la disparition de notre civilisation d’ici une quinzaine d’années. Doit-on craindre ce scénario ? Les civilisations vont et viennent, l’histoire en est la preuve. L’empire romain, les Han de Chine, Sumer, Babylone, l’Égypte des pharaons et bien d’autres encore, ont disparu. Celle que nous connaissons va-t-elle s’effondrer dans les toutes prochaines décennies? Plusieurs facteurs à l’origine du déclin des grandes civilisations En étudiant les cas précédents, l’équipe menée par le mathématicien Safa Motesharrei a identifié les facteurs à l’origine du déclin des grandes civilisations : la population, le climat, l’eau, l’agriculture et l’énergie. - la stratification de la société entre élites (riches) et masses (pauvres).
Demain, des usines dans nos salons, par Sabine Blanc Se réapproprier les moyens de production : Karl Marx en rêvait, un chercheur du Massachusetts Institute of Technology (MIT) l’a fait. En 1998, le physicien américain Neil Gershenfeld met en place un cours intitulé « Comment fabriquer (à peu près) n’importe quoi », comportant des séances sur la conception de prototypes pour aider les élèves à mener à bien leurs projets d’étude. Ils disposent pour cela de toute la panoplie des moyens de fabrication numérique, et en particulier des machines-outils assistées par ordinateur : imprimante 3D — c’est-à-dire une machine numérique qui, en appliquant des couches de plastique les unes sur les autres, transforme un fichier en un objet bien réel —, découpeuse laser capable de trancher le bois ou le fer, fraiseuse numérique, etc. Les étudiants adorent, au point de revenir pendant leur temps libre traîner leurs baskets dans le laboratoire pour y concrétiser leurs envies. Créer plutôt que consommer L’imprimante qui s’imprime elle-même M.
Comprendre la géopolitique de la troisième guerre mondiale | Olivier Demeulenaere – Regards sur l'économie Ou la vraie raison pour laquelle la Russie et la Syrie sont ciblées en ce moment. [un article de SCGnews.com traduit par Les Brindherbes engagés] Une synthèse de très bonne facture pour qui veut comprendre les grands enjeux géopolitiques de notre époque – jusqu’aux développements les plus récents et les plus brûlants. Les habitués du blog s’y sentiront en terrain familier : Le cocktail explosif de pétrole, de gaz et de dollars de l’Empire états-unien va-t-il nous mener à la troisième guerre mondiale ? « Contrairement à la croyance populaire, la conduite des nations sur la scène internationale n’est presque jamais motivée par des considérations morales, mais plutôt par un cocktail obscur d’argent et de géopolitique. Depuis quelque temps la Russie, la Chine, l’Iran et la Syrie ont été dans le collimateur. Le dollar américain est une monnaie unique. Avant 1971, le dollar américain était indexé sur la valeur de l’or, du moins officiellement. Ce n’est évidemment pas durable. Pourquoi ? 1. 2.
Fab Lab fabulous !* Les 7, 8 et 9 décembre derniers, l’association S[cube], qui a vocation à diffuser la culture scientifique en Ile-de-France Sud, organisait « Agora 4.0 ». Retour sur un événement original et surprenant. « Agora 4.0 » proposait de faciliter les discussions et les découvertes par l’utilisation d’outils numériques. Le public était invité à rencontrer des scientifiques, des artistes, et des designers autour du thème du « temps », problématique phare de S[cube] pour l’année 2012. « Fab… quoi », direz-vous peut-être ? Dans le Fab Lab d’Agora 4.0, un petit groupe s’est constitué mêlant professionnels aguerris, étudiants, et curieux. On se lance, on observe, on bidouille, on discute et surtout on partage. * Fab Lab fabuleux* Jonathan et Guillaume sont employés par l’entreprise Nod-A qui co-organisait l’atelier avec S[cube]