Etudes - 2013 : l’année « persociale » ? Publié le 14 janvier 2013 « Persocial » : cette contraction de « personnel » et « social », traduit parfaitement selon Dagobert, les mouvements en cours dans la sphère digitale. L’agence met en lumière cette réinvention de la relation triangulaire entre soi, les autres et la marque dans sa nouvelle étude « Digital Trends 2013 : Persocial Years ». Utilisée pour la première fois par le sociologue italien Adriano Farano, l’expression "Persocial" désigne la tendance actuelle d’une expérience imbriquant deux notions diamétralement opposées mais complémentaires : « Personnel, car éminemment adaptée et pensée pour chacun dans son individualité, et social car témoin et fer de lance d’un nouveau visage du collectif », explique Laure Frémicourt, Planneur Stratégique de Dagobert. Cette étude en 3 chapitres illustrés, produite par l’agence et téléchargeable ci-dessous analyse les tenants et aboutissants d’un mouvement plus que jamais d’actualité dans le monde digital. Lucie Freulon
Peut-on être contre les big data ? L'article présente les thèses d'Alan Mitchell, le directeur de la stratégie du cabinet Ctrl+shift. Selon lui, "les Big Data auraient presque un côté contre-révolutionnaire : le chant du cygne d’une informatique productiviste, centralisatrice, centrée sur les grandes organisations." L'effort consenti - notamment en R&D - pour développer cette informatique et ses applications aurait été mieux employé à développer le pouvoir de création des individus, et à les aider à produire eux-mêmes les arbitrages qui leurs sont proposés par cette informatique massive. Daniel Kaplan lui-même reconnaît, à la fin de l'article, que le propos est peut-être un peu fort et qu'il est peu adapté, par exemple, aux les sciences dures. Je m'arrête sur cet article parce qu'on me pose de plus en plus de questions sur ce phénomène big data dont j'ai parlé très tôt. Mais de là à contester l'existence même, l'intérêt et la puissance du phénomène big data, il y a un pas que l'on ne peut franchir.
L’effacement diffus : une réponse au casse-tête de l’équilibrage énergétique ? Dans le premier volet de cette série, nous avons défini l’effacement diffus et analysé une première utilisation : la réponse à la problématique des pointes de consommations. Dans ce deuxième article, nous allons nous focaliser sur une autre utilisation de l’effacement diffus : le mécanisme d’ajustement, une étape de l’équilibrage. L’équilibre production-consommation doit être assuré en temps réel… L’électricité est une énergie qui ne peut pas être stockée à grande échelle et la production électrique doit donc être égale, en temps réel, à la quantité consommée. Cet équilibre entre les moyens de production en amont et la consommation en aval est un défi majeur pour RTE garant de la sécurité et de l’approvisionnement des consommateur. Pour chaque année, chaque saison et jusqu’à la veille pour le lendemain, RTE établit des prévisions, permettant de vérifier si la production française sera suffisante pour couvrir la demande en électricité. …grâce aux Responsables d’Equilibre…
Le big data à l'épreuve des nouveaux comportements des internautes par @DG2 01net. le 28/08/13 à 10h17 On ne présente plus le concept de big data . Une étude de Gartner a fait récemment beaucoup de bruit, alimentant généreusement le buzz autour de la notion de big data. Censée être une sorte de nouvel eldorado l’exploitation des données pourrait, selon le cabinet d’études, générer plusieurs millions de création d’emploi dans le monde. Il est indéniable que cette "mode" du big data constitue l'un des phénomènes les plus intéressants de l'ère numérique que nous vivons. La science, la finance, la santé (avec des analyses prédictives basées par exemple sur les requêtes dans les moteurs de recherche), les télécommunications sont autant de champs d'application, de territoires potentiels ou la donnée pourrait être extraite, analysée avec comme but ultime sa monétisation. Ce phénomène est d'abord social et culturel. Internet intervient à chaque étape de notre existence. La notion de « privacy », une épée de Damoclès pour les géants du web Dimitri Granger
03/10/12 Pioneer grave BDXL longévité de 50 ans Media - Le meilleur du Brand content selon Forbes Publié le 17 décembre 2012 Le magazine américain le clame : en 2012, le contenu de marque est devenu incontournable. Les réflexions sur son utilisation sont passées du « pourquoi » au « comment ». Quatre marques leaders ont parfaitement compris comment répondre aux attentes des consommateurs. Forbes livre sa sélection... Virgin Mobile L’opérateur britannique a récemment lancé Virgin Mobile Live, une plate-forme de contenu informatif mise à jour au quotidien. Pour Ron Faris, Head of Brand Marketing interrogé par Forbes, il est plus approprié « d’intensifier le niveau d’engagement avec les fans sur les réseaux sociaux où ils sont déjà présents », plutôt que d’étendre les possibilités de les atteindre via de nouvelles plates-formes. « Nous avons pour l’instant réussi à récompenser la fidélité de nos fans avec des opérations spéciales sur Facebook et Twitter. American Express Avec comme devise « Faire plus », Amex a logiquement préempté ce territoire avec succès et créativité. Marriott L’Oréal
Big data Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une visualisation des données créée par IBM[1] montre que les big data que Wikipedia modifie à l'aide du robot Pearle ont plus de signification lorsqu'elles sont mises en valeur par des couleurs et des localisations[2]. Croissance et Numérisation de la Capacité de Stockage Mondiale de L'information[3]. Dans ces nouveaux ordres de grandeur, la capture, le stockage, la recherche, le partage, l'analyse et la visualisation des données doivent être redéfinis. Certains supposent qu'ils pourraient aider les entreprises à réduire les risques et faciliter la prise de décision, ou créer la différence grâce à l'analyse prédictive et une « expérience client » plus personnalisée et contextualisée. Dimensions des big data[modifier | modifier le code] Le Big Data s'accompagne du développement d'applications à visée analytique, qui traitent les données pour en tirer du sens[15]. Volume[modifier | modifier le code] Variété[modifier | modifier le code]
Le défi de la multiplication des données numériques L'explosion de l'usage des smartphones et des réseaux sociaux produit une masse gigantesque d'informations. Analysées, ces dernières constituent un réservoir de progrès. Les données numériques se multiplient à un rythme inouï. À côté du cloud computing, l'informatique dématérialisée, le secteur du high-tech développe un nouveau concept, appelé «big data»: le traitement des grandes données. Avec l'usage croissant des smartphones et l'envoi de messages sur les réseaux sociaux comme Facebook, chaque individu génère, sans le savoir, une multitude d'informations précieuses. Mais pour que la multiplication d'informations ne tue pas l'information, ces données doivent être gérées à l'aide d'outils, dits de «business intelligence», qui servent à dégager des tendances et à réaliser des prédictions. C'est un axe majeur de développement de l'informatique. L'exemple de Rio En deux ans, 2000 projets ont été conduits. Dans les entreprises, les besoins sont considérables. » Concepts du cloud
03/10/12 Verbatim BDXL de 100 Go Quelles tendances digitales pour être « in » en 2013 ? | Agence de Communication Digitale Access-Dev Tendance au sens du « pro web » c’est l’évolution, l’orientation, tout ce qui va être « propension à ».Partant de ce postulat, je me la joue Betty Boop dans les pompes de Séguéla et réalise avec stupéfaction qu’il suffit d’observer le reste du monde (enfin toutes les démocraties où le web n’est pas censuré) pour comprendre ce qu’il va marcher ou pas, ou (pas comprendre du tout), je ne voulais pas me contenter d’un basic « La Russie c’est tendance ». Facebook, Twitter, Tumblr, Pinterest … qui regarde encore entièrement Denisot et son grand journal sans scroller son appli sociale ? Les présidents, les gouvernements, Johnny Hallyday ou encore Le Pape alias Pontiflex l’ont compris, même le CSA a craqué et cède peu à peu à la communication des réseaux sociaux à la tv, « rêves ta vie et vis ta vie virtuelle ». Twitter séduit de plus en plus de français + 66 % d’utilisateurs en 2012, depuis qu’Obama nous en a mis plein les yeux avec son personal branding, le poussin jaune à la cote !
Big data Visualization of daily Wikipedia edits created by IBM. At multiple terabytes in size, the text and images of Wikipedia are an example of big data. Growth of and Digitization of Global Information Storage Capacity Source Big data is a broad term for data sets so large or complex that traditional data processing applications are inadequate. Analysis of data sets can find new correlations, to "spot business trends, prevent diseases, combat crime and so on Work with big data is necessarily uncommon; most analysis is of "PC size" data, on a desktop PC or notebook[11] that can handle the available data set. Relational database management systems and desktop statistics and visualization packages often have difficulty handling big data. Definition[edit] If Gartner’s definition (the 3Vs) is still widely used, the growing maturity of the concept fosters a more sound difference between big data and Business Intelligence, regarding data and their use:[20] Characteristics[edit] Architecture[edit]
Big Data- what is it and how is it used? A break down of Big Data- what it is, who it helps, and just how big it really is. Here’s the thing about Big Data. Thinking about it kind of makes my head hurt. I’ve read that the amount of information on the internet doubles every three years and that every single day we create 2.5 quintillion bytes of data. Luckily, what’s interesting about Big Data isn’t the actual data itself. Big Data isn’t only being used in ecommerce, although there are many POS technologies, fraud detection platforms, and business analytics software programs that couldn’t exist without it. 10/03/14 Stockage optique Archival disc et ses 1 To Alors que le CD fête ses 30 ans, Panasonic et Sony viennent de dévoiler l'Archival Disc, preuve que le stockage sur disque optique n'est pas mort à l'heure où dématérialisation et données dans le cloud sont sur toutes les bouches. Ce successeur du Blu-ray intéressera certainement les entreprises grâce à des capacités d'archivage hors-normes : de 300 Go dans un premier temps à 1 To sur le même disque (en multicouche) contre 128 Go maximum pour le Blu-ray. Rétrocompatibilité Les deux partenaires ont également planché sur les principales faiblesses de ces supports, notamment la résistance aux changements de températures, à la lumière et à l'humidité avec des protections dédiées pour allonger la durée de conservation des données. Autre bonne nouvelle, les futurs lecteurs 'AD' seront compatibles avec les Blu-ray et les DVD. Le lancement de ce nouveau support devrait intervenir dans la seconde moitié de l'année prochaine. On notera enfin qu'une nouvelle guerre des formats n'aura pas lieu.
Le règne des IKWIWAIWIN - TRIBUNE Aujourd’hui, la créativité est devenue le talent n°1 valorisé au sein des entreprises mais également des communautés de la sphère sociale. Après les amateurs qui se sont libérés durant l’aire de la Longue Traine, nous avons vu naître les crowdfunders (My Major Company, Kickstarter, etc ) qui nous ont tout droit menés à l’ère des makers, plus libres que quiconque. Quelles sont les raisons poussant l’humanité à toujours vouloir créer et innover ? Défier sa propre mortalité ? Kevin Kelly a écrit « What technology wants », Douglas Rushkoff a écrit « Program or be programmed », Philippe Borrel s’interroge sur « Un avenir sans humains »… Hélas, il n’est pas anodin de se demander si nous parvenons à maîtriser ce dynamique de destruction créatrice qui nous habite. Une nouvelle génération de créateurs, de hackers et de makers est donc en train de s’enflammer sous nos yeux. Quand on jette un œil aux biographies des icones de l’art contemporain, un modèle de fonctionnement se dessine et se répète.