La mémoire eidétique, un don Rain man, sors de ce corps! Il y a quelques temps de cela, Arte diffusait un reportage sur les surdoués. Coup de bol, j’ai retrouvé ledit reportage sur Youtube et je vais donc pouvoir vous en faire profiter! Un des cas les plus impressionnants est certainement celui de Stephen Wiltshire, ce jeune artiste autiste capable de dessiner une vue panoramique de la ville de Rome dans ses moindres détails, après un simple survol en hélicoptère de la ville. Ce don, c’est la mémoire eidétique, ou mémoire photographique permettant de se rappeler dans les moindres détails de quelque chose (une photo, un texte, un paysage,…) après l’avoir observé quelques secondes (le héros de la série Suits est d’ailleurs doué de cette faculté!) – Pfff… C’est pas juste! – Bizarrement, Kevin, ta mémoire est excellente pour te rappeler de la composition de toutes les équipes de foot du championnat européen… Mais bien moins bonne dès qu’il s’agit d’histoire de France! Tags: Vos commentaires: Laissez un commentaire:
Facteurs Biologiques / intelligences multiples 1.3.4. LES INTELLIGENCES MULTIPLES d'Howard Gardner Mais d'abord qu'est-ce que l'intelligence ? "Intelligence se dit de fonctions remarquables par la diversité de leur aspect et l'inégalité de leur développement." La définition de l'intelligence pose donc problème. Au sens strict et au sens large, c'est donc selon le Grand Robert l'ensemble des fonctions concernant la connaissance ou l'action, éclairée par la spéculation préalable. Howard Gardner, professeur de psychologie cognitive à Harvard, a contesté la vision réductrice qui assimile l'intelligence à ce que mesure le QI, qui ne prend en compte que les intelligences logique et verbale, par ailleurs valorisées par l'enseignement traditionnel. L’essence de cette théorie repose dans le respect des nombreuses différences individuelles et des multiples façons d’apprendre.
Les élèves qui lisent sont-ils meilleurs que ceux qui jouent aux jeux vidéos (...) Le XXIe siècle a connu une véritable explosion des technologies de l’informatique et des communications. Dans ce nouveau monde, les élèves ont changé, le Canadien Marc Prensky parle des « digital natives » pour les désigner, puisque ces enfants sont nés dans le langage digital de l’ordinateur, des jeux vidéos et de l’internet. Si certains parents ou éducateurs craignent une baisse du niveau intellectuel ou scolaire de leurs enfants ou élèves, certains chercheurs se sont posé la question des répercussions positives dans le développement cognitif. En France, les deux seules enquêtes existantes à notre connaissance sont les recherches de la sociologue française Sylvie Octobre pour le ministère de la Culture. L’enquête « Panel 2007 » du ministère de l’Éducation nationale L’enquête « Panel 2007 » concernait un large échantillon de 31 300 élèves, entrés en classe de 6e en septembre 2007, avec une vaste évaluation en fin d’année scolaire 2008. Le hit-parade des activités journalières
La grenouille gobe t'elle aussi les cailloux ? La grenouille gobe t'elle aussi les cailloux ? Une introduction aux neurosciences computationnelles Elaa Teftef et Thierry Viéville Où l'on montre, à travers l'exemple de l'étude du cerveau, que si Informatique et Sciences du Numérique (ISN) forment une discipline à part entière, cela induit aussi une véritable révolution scientifique vis à vis des autres Sciences de la Vie et de la Terre (SVT), elles ont aussi quelques vertus en ce qui concerne la formation générale de l'esprit. Introduction Prenons une grenouille. Qui est le plus « intelligent » ? Une méthode scientifique, dite « systémique » Cette modeste anecdote nous enseigne quatre choses : 1. 2. 3. 4. Bien entendu, cette méthode n'est pas nouvelle mais avec l'ISN cette façon de voir les choses constitue une révolution comme l'explique bien un chercheur en informatique et philosophe (Dowek, 2010). Que savons nous du cerveau ? Votre cerveau a... des millions d'années ! Votre cerveau a une géographie
Les 7 clés de la mémoire Comment retenir ? Comment mémoriser son cours en vue des examens ? Comment retenir des listes de chiffres ou de noms ? Au-delà des techniques mnémotechniques – que j’aborderai dans d’autres billets – il y a quelques principes à pratiquer d’urgence pour favoriser une bonne mémoire. J’en ai illustré 7 sur cette carte heuristique. Ils ne feront pas de vous des champions de la mémoire. Comment entretenir sa mémoire ? En parallèle à la méthode en 5 étapes pour étudier, que je décris dans d’autres articles, il y a quelques principes généraux que vous devez respecter si vous voulez développer et entretenir votre mémoire. (Cliquez dessus pour l’agrandir ou ici pour la télécharger depuis Biggerplate). 1. Eh oui : comme dans la phase « projet » de notre étude efficace en 5 étapes, vous devez d’abord vous motiver. Pourquoi étudier cette matière ? Les motivations pour apprendre sont personnelles. Souvent, on a plusieurs motivations à faire quelque chose. 2. 3. 4. 5. 6. Prenez-en soin ! 7. J'aime :
Pourquoi un bon roman change votre cerveau Les connexions représentées ici traversent des zones du langage, signe que la lecture d'un bon pavé renforce les capacités de traitement lexicales du cerveau. L'auteur Sébastien Bohler est journaliste à Cerveau & Psycho. Du même auteur Pour en savoir plus Un livre peut changer votre vie. Comment peut-on voir la trace laissée par un livre dans notre cerveau ? Qu'est-ce que la connectivité fonctionnelle ? Cette méthode d'imagerie, appelée connectivité fonctionnelle, consiste à observer l'activité du cerveau point par point, en découpant virtuellement celui-ci en petits volumes d'un millimètre-cube environ, qu'on nomme voxels. En procédant de cette manière, les scientifiques ont constaté qu'après la période de lecture, un plus grand nombre de voxels dans le cerveau présentaient une telle connectivité fonctionnelle. La cognition incarnée G. Deuxièmement, un réseau organisé autour de trois structures importantes que sont le pariétal sillon central, le gyrus temporal supérieur et l'insula.
« Notre société néglige de plus en plus le sommeil, rythme fondamental de l’individu » Le manque de sommeil est un enjeu de santé publique que le gouvernement devrait davantage prendre en compte, s’alarme un collectif de spécialistes dans une tribune à « La Matinale du Monde ». LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sylvie Royant-Parola, Jean-Claude Meurice, Damien Léger et Joëlle Adrien Tribune. La stratégie nationale de santé qui vient d’être publiée par le ministère de la santé définit comme axe prioritaire une forte politique de prévention. Les principaux facteurs de risque identifiés dans ce rapport sont le tabac, l’alcool, la sédentarité, le surpoids et l’obésité. Le sommeil est vital pour la réparation physique et psychique, l’équilibre et la santé de l’individu. Pourtant, depuis les années 1980, les effets néfastes de l’insuffisance de sommeil sont bien identifiés, notamment les retentissements cardiovasculaires (hypertension artérielle, infarctus, accidents vasculaires cérébraux, etc.). Lire aussi : Le réchauffement perturbe le sommeil « Epidémie catastrophique »