Biais cognitif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un biais cognitif est un schéma de pensée, cause de déviation du jugement. Le terme biais fait référence à une déviation systématique par rapport à la réalité. L'étude des biais cognitifs fait l'objet de nombreux travaux en psychologie cognitive, en psychologie sociale et plus généralement dans les sciences cognitives. Ces travaux ont identifié de nombreux biais cognitifs propres à l'esprit humain [réf. nécessaire] à travers de multiples domaines : perception, statistiques, logique, causalité, relations sociales, etc. Liste de biais cognitifs[modifier | modifier le code] Biais sensori-moteurs[modifier | modifier le code] Biais attentionnels[modifier | modifier le code] Biais d'attention (en) — avoir ses perceptions influencées par ses propres centres d’intérêt Biais mnésique[modifier | modifier le code] Biais de jugement[modifier | modifier le code] Biais de raisonnement[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]
Média Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Media. Le terme média désigne tout moyen de diffusion : ou direct (comme le langage, l'écriture, l'affiche) ;ou par un dispositif technique (comme la radio, la télévision, le cinéma, Internet, la presse, permettant la communication, soit de façon unilatérale (transmission d'un message), soit de façon multi-latérale par un échange d'informations. Au sein de cet ensemble, l'expression médias de masse (de l'anglais « mass-media ») caractérise un sous-ensemble important : les médias qui ont acquis une diffusion à grande échelle pour répondre rapidement à une demande d'information d'un public vaste, complétée dans de nombreux cas par une demande de distraction. Dans les pays où les médias se sont largement développés, ces médias sont majoritairement détenus par de grands groupes industriels dont les dirigeants sont proches du pouvoir politique. Étymologie[modifier | modifier le code] par l'émetteur lui-même.
PERFORMANCE : Définition de PERFORMANCE PERFORMANCE, subst. fém. 1. Vieilli. [Terme de turf; gén. au plur.] 2.Résultat obtenu par un(e) athlète, une équipe dans une épreuve sportive, et p. ext., exploit sportif.Abrév. perf.Performance homologuée; performance médiocre; performance de valeur internationale.Les exercices physiques ne doivent pas revêtir la forme d'un entraînement professionnel, comportant un but de performance défini (Becquet, Organ. loisirs travaill.,1939, p. 69). 1. ... le maître emporta le prix du concours international de saut en hauteur, par 1 M 95 sur barre fixe. − En partic. B. 1.Succès remporté par une personne; action, exhibition, interprétation demandant des qualités exceptionnelles.L'examinateur m'accueillit ironiquement. « Alors, Mademoiselle! 2. − P. anal. C. 1. 2.LING.Réalisation d'un acte de langage.Un modèle de la performance comprend au moins deux parties : un modèle de l'émission (du locuteur) et un modèle de la réception de l'auditeur (Thinès-Lemp.1975). − En partic. D.− Vieilli, pop.
Persuasion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La persuasion, du latin persuasio, est l'action d'amener quelqu'un à quelque chose, à croire, à faire, à vouloir, à convaincre, « à la faveur d'une connivence »[1]. « L'art de persuader a un rapport nécessaire à la manière dont les hommes consentent à ce qu'on leur propose, et aux conditions des choses qu'on veut faire croire »[2]. Les anciens qui ont défini l'éloquence, le talent de persuader, ont distingué persuader de convaincre, le premier de ces mots ajoutant à l'autre l'idée d'un sentiment actif excité dans l'âme de l'auditeur et joint à la conviction[3]. Avant-propos[modifier | modifier le code] La persuasion vise à faire, sans expliciter toujours son but. Introduction[modifier | modifier le code] La persuasion, « cette souveraine toute-puissante des hommes »[5], appartient au domaine de l'influence, elle n'est qu'une péripétie de l'action sur autrui. Quelques méthodes de persuasion[modifier | modifier le code] le contrôle de l'esprit
Influence sociale L'influence sociale couvre un champ très vaste. Les phénomènes étudiés peuvent être observés au quotidien. Les normes sociales[modifier | modifier le code] Une norme sociale est définie comme étant une règle implicite ou explicite qui prescrit le comportement adéquat à adopter en société dans des situations bien déterminées. Ces normes sont donc une source d'influence importante de par le fait qu'elles prescrivent aux gens la façon dont ils devraient se comporter afin de ne pas être catégorisés comme « hors norme ». Les normes sociales sont influencées par la culture et peuvent donc varier drastiquement d’un pays à l’autre ainsi que toucher des sujets très divers comme la nudité ou la manière de se saluer. Les normes régulent également beaucoup de domaines différents de la vie quotidienne comme les repas, les loisirs, l’espace personnel, le temps, les interactions, etc. Le rôle social comprend un ensemble de normes attendues sur la façon de se comporter[2]. Aux États-Unis, David G.
Manipulation mentale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue d'artiste de la coercition et du lavage de cerveau La manipulation mentale est l'ensemble des tentatives obscures ou occultes de fausser ou orienter la perception de la réalité d'un interlocuteur en usant d'un rapport de pouvoir, de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission non volontaire ou consentie. Cette notion protéiforme est récente dans ses contours, dérivée de la théorie du « lavage de cerveau » encore mal connue. Notion controversée[modifier | modifier le code] Arnaud Esquerre, sociologue, pose les questions « Qu’est-ce qui distingue un consentement fabriqué d’un consentement non fabriqué par quelqu’un d’autre ? La théorisation de la manipulation mentale (appelée mind control (contrôle mental) ou plus récemment thought reform (réforme de la pensée) dans les pays anglophones) est très liée à la question des sectes. Historique[modifier | modifier le code] Débat[modifier | modifier le code] En France
Enquête Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une enquête est une opération qui a pour but la découverte de faits, l'amélioration des connaissances ou la résolution de doutes et de problèmes. Concrètement, il s'agit d'une recherche poussée d'informations, avec le but de l'exhaustivité dans la découverte des informations inconnues au début de l'enquête et parfois la volonté de publication des informations collectées. Origine[modifier | modifier le code] Le terme « enquêter » (du grec ancien ίστοϱέων) donné le dérivé « histoire »[1]. En effet, tout au long de l'Antiquité, de nombreux historiens, tels que Hérodote et Thucydide, consacraient une grande partie de leur vie à enquêter afin de raconter l'Histoire. Journalisme[modifier | modifier le code] Le journalisme d'enquête est un genre journalistique qui se caractérise par la durée de travail sur un même sujet et par des recherches approfondies. Justice[modifier | modifier le code] Psychologie[modifier | modifier le code] France :
Bonheur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour le canard de fiction, voir Gontran Bonheur. Le bonheur se lit sur le visage de cet enfant. Définition[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] Étymologiquement, ce mot vient de l'expression « bon eür ». « Eür » est issu du latin augurium qui signifie « accroissement accordé par les dieux à une entreprise ». augere, auctus : « s'accroître » qui a donné augmenter…auctor : « qui fait croître », « fondateur », « auteur », qui a donné auteur, autoriser, autorité, octroyer… Du point de vue de l'étymologie, le bonheur est l'aboutissement d'une construction, qui ne saurait être confondue avec une joie passagère. Bonheur et plaisir[modifier | modifier le code] Le bonheur et le plaisir sont deux notions qui portent à confusion. En philosophie[modifier | modifier le code] Épicure (3eme s. av JC)[modifier | modifier le code] Blaise Pascal (XVIIe siècle)[modifier | modifier le code] Qu’est-ce que le bonheur ?
Crime Le crime désigne la catégorie des infractions les plus graves, catégorie plus ou moins vaste suivant les pays et systèmes juridiques. Le terme provient du latin crimen, qui signifie en latin classique « l’accusation » ou le « chef d’accusation » puis, en bas latin, « faute » ou « souillure ». Sémantique et traduction[modifier | modifier le code] En anglais courant, le mot « crime » est un faux-ami ; il désigne toutes les infractions à la loi en général, même les plus mineures. Les infractions d'une gravité comparable à celles désignées par le mot en français seront plutôt qualifiées de felony, et leur auteur, qualifié de felon, aux États-Unis en particulier. Crimes de droit pénal international[modifier | modifier le code] Les principes de Nuremberg de 1950, sans valeur positive, formulent trois catégories de crimes de droit pénal international : Le crime d’agression est une nouvelle catégorie de crime de droit international. Par pays[modifier | modifier le code] Crime, sur Wikiquote
Quatre causes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie aristotélicienne de la causalité désigne la conception de la causalité développée par le philosophe Aristote. Forgée au IVe siècle av. La cause matérielle[modifier | modifier le code] Il s'agit de la cause la plus inaccessible, la moins connaissable, bien qu'elle soit en même temps la plus évidente. Et s'il est possible à l'intellect de l'homme de dégager la forme de la matière, ce qui rend la connaissance possible, il ne lui est pas possible d'envisager la matière seule, pure. Dans les concepts fondamentaux d'Aristote, la puissance est associée à la matière. La cause formelle[modifier | modifier le code] La cause motrice ou du changement[modifier | modifier le code] Les disciples d'Héraclite affirmaient qu'il était impossible de connaître quoi que ce soit[réf. nécessaire], du fait que toute chose est en mouvement permanent — ce pour quoi Platon proposera sa théorie des Formes, ou Idées, immuables. Portail de la philosophie
Les médias peuvent-ils altérer le fonctionnement de la justice ? Par Jacques Cuvillier Un fait d’actualité fait la une. Le 4 avril dernier, sur le blog, de Laurent MUCCHIELLI (insecurite.blog.lemonde.fr), lui-même et Marwan MOHAMMED évoquent dans un article « Rosny-sous-Bois : le fait divers et l’incendie médiatique » ce drame survenu à la gare RER de Noisy-le Sec et impliquant un groupe de jeunes de Rosny-sous-Bois. Nombreux appels de journalistes qui ont tous exactement les mêmes infos issues d’une même dépêche de l’AFP du 3 avril « proposant une hypothèse interprétative à cette agression collective ». Pour tous ceux qui ont ce jour là regardé la télé ou écouté la radio, les éléments semblent assez clairs et peu douteux puisque – semble-t-il – toutes les sources disent la même chose. Et les auteurs de conclure : « Quel jeu dangereux les rédactions en chef des médias jouent-elles ? Et pourquoi chacun s’empresse t-il de faire aussi mal que les autres au lieu d’essayer de se distinguer un peu par davantage d’ampleur, de rigueur et de qualité d’information ? En conclusion
Pudeur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Philosophie et sociologie[modifier | modifier le code] Via le fantasme ou le retour du refoulé, certains y voient une dimension importante de la sexualité : « La pudeur est le parfum de la volupté ; la satiété est l'arôme du dégoût. — André Suarès, dans Voici l'homme Variations dans l'espace, dans le temps et selon les sociétés ou groupes sociaux[modifier | modifier le code] « Tribus primitives »[modifier | modifier le code] La pudeur semble pouvoir prendre de nombreuses formes et cibles, généralement orientées vers le corps, le sexe et les fonctions excrétoires. Des Grecs et Gaulois anciens à la culture occidentale[modifier | modifier le code] Les gaulois ont un rapport à la nudité, à la sexualité et à l'érotisme différents[réf. nécessaire], et le concept de pudeur ne s'installera que beaucoup plus tard. La Renaissance marque un ordre social de la pudeur. Point de vue musulman[modifier | modifier le code] Psychologie[modifier | modifier le code]
Civilisation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les villes sont les accomplissements significatifs auxquels sont parvenues les civilisations de l'Humanité (ici un panorama de Manhattan à New York). Exemple d'un monument à caractère civilisationnel : la Grande Mosquée de Kairouan, en Tunisie, est à la fois la plus ancienne mosquée d'Afrique du Nord (fondée en 670)[1] et l'une des œuvres majeures de l'architecture islamique ayant servi de modèle à de nombreux lieux de culte musulmans[2]. En plus de son importance artistique et architecturale, cette mosquée fut, notamment entre le IXe et le XIe siècle, le principal centre de culture et d'enseignement dans toute l'Afrique du Nord[3]. Ainsi cette mosquée est l'un des monuments les plus importants de la civilisation arabo-musulmane[4]. Le terme civilisation — dérivé indirectement du latin civis signifiant « citoyen » par l'intermédiaire de « civil » et « civiliser » — a été utilisé de différentes manières au cours de l'histoire. – le Japon ;
Alliance (famille) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Alliance. L'alliance est un lien sacré entre deux familles ou entre deux groupes ethniques, qui est fondé sur un traité assorti d'un ou de plusieurs mariages et qui fait entrer des personnes et leur descendance dans la parenté réelle ou fictive d'une autre famille. La plus petite alliance est le mariage, la plus grande un traité de paix ou d'hospitalité entre deux nations. Cette dernière catégorie est souvent assortie d'un mariage croisé entre les enfants des chefs ou des rois. Dans certains pays, qui ont des lois d'unions civiles, il arrive que l'état civil des personnes soit modifié et crée donc un lien d'alliance comme le mariage. C'est le cas en Suisse depuis la loi sur le partenariat enregistré[1], réservé aux couples de même sexe. En France, seul le mariage crée juridiquement l'alliance. 2 La dissolution du mariage ou du partenariat enregistré ne fait pas cesser l’alliance.»