Décodeur du non-verbal | Le langage du corps à la loupe
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Favoriser l'empathie pour prévenir la violence :
Sommaire • Favoriser l’empathie pour prévenir la violence, Édito • L’empathie, cette faculté de l’être humain à se mettre à la place de l’autre, Entretien avec Jacques HOCHMANN, Auteur notamment de « Une Histoire de l'empathie » (Odile Jacob, 2012), Jacques Hochmann est membre honoraire de la Société psychanalytique de Paris, professeur émérite à l'université Claude-Bernard et médecin honoraire des Hôpitaux de Lyon. • Définition à plusieurs voix : L’empathie, une habileté relationnelle pour réduire la violence, par Sabine CHEVALIER, Dominique DEMARIA, Marie GARRIGUE-ABGRALL et Carole MICHIELS, les quatre auteures sont membres de rédaction de NVA. • Petite Enfance, L’éveil à l’empathie chez le tout jeune enfant, par Véronique SCHRIVE, responsable de la Bougeothèque à Lambersart. • L’écoute empathique, par Karine LE GOAZIOU, accompagnatrice en parentalité, animatrice du groupe « Éducation bienveillante et parentalité positive » sur Facebook. • Le « Jeu des trois figures » en Maternelle.
Dans les écoles du Danemark, les cours d'empathie sont obligatoires
Pour qu’un enfant ait toutes les chances de s’épanouir, l’apprentissage de la lecture, de l’écriture et des mathématiques est un point essentiel. Mais ça ne suffit pas. Il en faut bien davantage pour être bien dans ses pompes. L’empathie est définie par le Larousse comme « la faculté intuitive de se mettre à la place d’autrui, de percevoir ce qu’il ressent. » Autrement dit, l’empathie désigne la capacité de chacun à écouter les autres et à comprendre leurs sentiments. C’est cela qu’apprennent les jeunes Danois de 6 à 16 ans, à raison d’une heure de cours par semaine, et ce depuis une loi de 1993. Alors, bien sûr, l’empathie ne s’enseigne pas comme on enseigne la grammaire ou la règle de trois. Lors de ces cours, les élèves sont tout simplement invités à communiquer, à écouter et à échanger entre eux. Ça n’a l’air de rien mais ces moments précieux forgent les enfants pour toujours. Conséquence de ce renfermement sur soi : selon cette étude, 1/3 des collégiens seraient déprimés…
Autisme et émotions : quelques pistes ! – EMC, partageons !
L’axe « sensibilité : soi et les autres » est un nouvel élément apparu dans les programmes d’EMC. Il consiste notamment à apprendre aux élèves à identifier les principales émotions (joie, tristesse, colère, peur) et à les exprimer. Ces compétences sont fondamentales dans la vie quotidienne et le vivre ensemble. Pouvoir reconnaître des émotions permet de mieux comprendre l’autre et d’être capable d’empathie. L’élève porteur de troubles du spectre autistique (TSA) éprouve le plus souvent grand mal à « lire dans le regard de l’autre ses émotions et ses pensées, à interpréter les mimiques de son visage, ses gestes et ses postures, toutes choses absolument nécessaires pour s’ajuster à lui dans une interaction ». Il est donc nécessaire de leur enseigner comment décoder leurs propres états mentaux et ceux des autres. S’intéresser à l’humain Beaucoup semblent s’intéresser davantage aux choses (souvent aux mêmes objets du fait de leurs intérêts restreints) qu’aux être humains.
15 Outils astucieux pour aider les enfants à gérer leurs émotions (+ infos utiles)
Le cerveau des enfants est immature. Ce qui implique qu’ils ont des difficultés à gérer leurs émotions, d’où les tempêtes émotionnelles qu’ils subissent. Mais, nous pouvons les aider développer leur intelligence émotionnelle. Les émotions primaires : Tout d’abord, un peu de vocabulaire : Paul Ekman, le psychologue qui a inspiré la série Lie to me, évoque 6 émotions primaires : la peur, le dégout, la colère, la surprise, la joie et la tristesse. Daniel Goleman, rendu célèbre pour son livre « L’intelligence émotionnelle » cite les 8 émotions les plus communément mentionnées : la colère, la tristesse, la peur, le plaisir, l’amour, la surprise, le dégout et la honte. Je me suis basé sur la version de Daniel Goleman pour la roue des émotions ci-dessous. D’autres informations utiles : Les émotions ne sont ni négatives ni positives, elles sont. – le besoin de sécurité. – le besoin de stimulation. – le besoin affectif ou social. – le besoin d’estime et de reconnaissance. – le besoin d’autonomie. 14.
L'empathie de l'enseignant, source de réussite scolaire
Pour renforcer la motivation et les compétences des élèves, la clé du succès tient en un mot : empathie ! C’est ce que tend à démontrer une étude de grande ampleur menée par trois universités finlandaises (1). Depuis 2006 et jusqu’en 2016, les chercheurs suivent les parcours de plusieurs milliers d’enfants, en se focalisant sur les interactions avec leurs professeurs, ainsi que les coopérations entre parents et enseignants. Ces relations peuvent-elles expliquer les bons résultats du système scolaire finlandais dans le cadre du programme Pisa de l’OCDE ? Selon les premiers résultats de l’enquête, l’attitude empathique et chaleureuse de l’enseignant agit favorablement sur la motivation et les compétences des enfants, aussi bien en lecture, écriture ou arithmétique.