Otto Jespersen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jens Otto Harry Jespersen, ou Otto Jespersen [ʌtˢo ˈjɛsb̥ɐsn̩] (17 juillet 1860 – 30 avril 1943) était un linguiste danois, spécialisé dans la grammaire de l’anglais. Biographie[modifier | modifier le code] Il naquit à Randers, dans le nord du Jutland. Il étudia à l'université de Copenhague, où il fut diplômé en anglais, en français et en latin. Il déserta les rangs idistes pour tenter de lancer le Novial en 1928. W. Il avança les théories du rang (rank) et du nexus dans deux articles publiés en danois : Sprogets logik (« La logique de la langue », 1913) et De to hovedarter af grammatiske forbindelser (« Les deux principaux modes de liaisons grammaticales », 1921). Otto Jespersen fut plus d’une fois invité aux États-Unis pour y donner des conférences, ce qu’il mit à profit pour étudier le système éducatif de ce pays. Il mourut à Roskilde en 1943. Idées et théories[modifier | modifier le code] Les rangs[modifier | modifier le code]
Phonème Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] L'identification des phonèmes d'une langue se fait en construisant des paires minimales, c'est-à-dire des paires de mots de sens différents et qui ne diffèrent dans leur forme sonore que par un seul son (ce son peut alors être considéré comme un phonème). Exemples : Outre les phonèmes, il existe d'autres unités discrètes, comme les unités suprasegmentales. Jan Niecisław Baudouin de Courtenay est l'un des inventeurs du mot. Phonèmes du français[modifier | modifier le code] Voir Liste des graphies des phonèmes du français[1] Phonèmes classiques du français : 16 voyelles + 3 semi-consonnes/voyelles + 17 consonnes = 36. Voyelles. Semi-consonnes. Phonème /j/ : yeux ;Phonème /w/ : oui ;Phonème /ɥ/ : lui. Consonnes. Consonne parfois ajoutées mais relevant d'emprunts aux langues étrangères. Phonème /h/ : hop ;Phonème /ŋ/ : camping ;Phonème /x/ : (jota espagnole, et 'kh, plutôt prononcés /χ/ d'ailleurs).
Quintilien Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Quintilien (en latin Marcus Fabius Quintilianus) est un rhéteur et pédagogue latin du Ier siècle après J.-C.. Il est l'auteur d'un important manuel de rhétorique, l'Institution oratoire, dont l'influence sur l'art oratoire se prolongea pendant des siècles. Biographie[modifier | modifier le code] Quintilien est né vers 35 apr. Lorsque Vespasien accède au pouvoir en l'an 69, il décide de promouvoir au sein du pays un enseignement officiel. Après vingt années d'enseignement, il se retire de la vie publique en 89 après avoir obtenu plusieurs distinctions : les ornements consulaires et le laticlave (bande pourpre qui ornait la tunique des sénateurs romains)[4]. Peu avant de mourir, Quintilien fait paraître sa plus grande œuvre, écrite entre 93 et 95 : De institutione oratoria[2]. Frédéric II disait à son sujet : « Pour la rhétorique, qu'on s'en tienne à Quintilien. L’Institution oratoire[modifier | modifier le code] De l'Institution oratoire.
Sémiologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme sémiologie a été créé par Émile Littré et pour lui, il se rapportait à la médecine[1]. Il a ensuite été repris et élargi par Ferdinand de Saussure, pour qui la sémiologie est « la science qui étudie la vie des signes au sein de la vie sociale[2] ». Sémiologie en linguistique[modifier | modifier le code] La sémiologie (du grec ancien σημεῖον / sêmeîon (« signe ») et λογία / logía (« étude »)) apparaît être une discipline récente. Tombée presque un siècle dans l'oubli, la publication du Cours de linguistique générale de Ferdinand de Saussure propose d'en renouveler la définition, ou plutôt d'en circonscrire le champ d’étude : « On peut donc concevoir une science qui étudie la vie des signes au sein de la vie sociale ; elle formerait une partie de la psychologie sociale, et par conséquent de la psychologie générale ; nous la nommerons sémiologie. Aujourd'hui, de ces deux termes sémiologie / sémiotique, le second prédomine.
Edward Sapir Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sapir. Edward Sapir ( – ) est un linguiste et anthropologue américain d'origine lituanienne. Son travail porta essentiellement sur le langage en tant que fait culturel à part entière. Biographie[modifier | modifier le code] Sapir est né en 1884 en Prusse Occidentale à Lauenbourg (aujourd'hui Lębork en Pologne) dans une famille juive de langue yiddish qui émigre aux États-Unis lorsqu'il a cinq ans. Travaux[modifier | modifier le code] Sapir développe une anthropologie nouvelle basée sur le langage. Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Hypothèse Sapir-Whorf
Accueil Réseau CANOPÉ - Académie de Rouen Cet ouvrage informe le délégué parent sur ses droits et devoirs, sur la vie de l’établissement, sur son rôle au sein de celui-ci. Il le prépare à intervenir dans les différents conseils. Il contribue à faire en sorte que le délégué parent puisse jouer parfaitement son rôle de porte-parole, faire valoir sa représentativité, et être ainsi reconnu comme partenaire crédible. Jan Niecisław Baudouin de Courtenay Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jan Niecisław Baudouin de Courtenay Jan Niecislaw Baudouin de Courtenay ( - ) est un linguiste polonais, connu pour sa théorie du phonème et de l'alternance phonétique. Il travailla tout au long de sa vie, dans le domaine de la slavistique, dans différentes universités de la Russie impériale (Université de Kazan (1874-1883), université allemande de Dorpat en Livonie (1883-1893), l'Université de Saint-Pétersbourg (1900-1918)), où il était connu sous le nom de Иван Александрович Бодуэн де Куртенэ (Ivan Aleksandrovitch Bodouène dé Kourténè), ainsi que dans la Pologne autrichienne (Galicie) à l'Université Jagellonne de Cracovie (1893-1899). Biographie[modifier | modifier le code] Jan est né le 13 mars 1845 à Radzymin, près de Varsovie, dans une famille de lointaines origines françaises. Baudouin établit l'école de linguistique de Kazan au milieu des années 1870 et est professeur de cette université à partir de 1875.
Portail:Langues Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Portail des langues Il y a actuellement 9 051 articles liés aux langues. Lumière sur... [ modifier ] Le créole guadeloupéen est le reflet de l'histoire de ses locuteurs, les descendants des esclaves des Antilles françaises. Lire l'article Langues régionales par État [ modifier ] Le saviez-vous ? Le saviez-vous ? La communauté wikipédienne et les langues [ modifier ] Les Wikipédiens, sur le wiki francophone comme sur de nombreux autres, manifestent aussi leur intérêt pour diverses langues, qu'ils soient ou non participants au Projet Langues. Une initiative, née sur Wikimedia Commons en novembre 2004 sous le nom Babel, a consisté à créer des modèles de messages standardisés pour faciliter la communication entre locuteurs de diverses langues. Sur la Wikipédia francophone, voir Wikipédia:Babel et la catégorie:Wikipédiens par langue. À faire [ modifier ]
Claude Hagège : « j'aime les langues comme les femmes », actualité Débats Plan du site Accueil ► À propos du site ► vous êtes ici Toute reproduction complète ou partielle des pages d’EspaceFrancais.com (que ce soit sur un site, un forum ou autre support) est formellement interdite sans avoir demandé au préalable une permission de l’éditeur via le formulaire de contact disponible en ligne (Lire les conditions d’usage et les droits d’auteur). Principales rubriques : Lumières sur… Histoires Langues du monde Grammaire Conjugaison Vocabulaire Orthographe Expression écrite et orale Analyses Méthodes et techniques Genres littéraires Courants littéraires Thèmes littéraires Auteurs français Auteurs francophones Rhétorique et style Proverbes et citations Exercices, questionnaires et jeux Jeux éducatifs Culture EspaceFrancais.com Lumière sur… Sommaire Histoires Langues du monde ■ Sommaire ■ Qu’est-ce qu’une langue ? Grammaire Sommaire général de toutes les leçons de grammaire La nature des mots, les fonctions dans le groupe nominal Les mots invariables Les fonctions dans la phrase simple Questions de langue
Claude Hagège Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Léon Hagège dit Claude Hagège, né le à Carthage (Tunisie), est un linguiste français. Biographie[modifier | modifier le code] Nommé professeur agrégé de lettres classiques en 1958, Claude Hagège enseigne au lycée de Carthage (1959-1961). Il fait son service militaire (1961-1963), puis est affecté aux lycées Victor-Duruy et Saint-Louis à Paris (1963-1965). Homme de conviction attaché à la culture française, Claude Hagège pourfend l'anglais, comme vecteur de pensée unique, dans son dernier ouvrage[2]. Décorations[modifier | modifier le code] Prix[modifier | modifier le code] Ouvrages[modifier | modifier le code] Journaux, revues et tribunes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]
Charles W. Morris Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Au cours des années 1930, Morris aide un certain nombre de philosophes allemands et autrichiens à immigrer aux États-Unis, en particulier Rudolf Carnap ; ils seront collègues de 1936 à 1952. Morris participe au mouvement appelé Unity of Science, et est rédacteur associé de l’International Encyclopedia of Unified Science. Il est proche du Cercle de Vienne et de son empirisme logique, et développe une forme originale du pragmatisme. Simultanément, il écrit de la poésie et appelle à de nouvelles formes de croyance religieuse. Sémiotique[modifier | modifier le code] Œuvres[modifier | modifier le code] Sémiotique : Foundations of the Theory of Signs (1938). Philosophie : Sources[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Charles W. Liens externes[modifier | modifier le code]
Jean-Marie Klinkenberg Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Marie Klinkenberg, né le à Verviers, est un linguiste et sémioticien belge. Biographie[modifier | modifier le code] Professeur émérite de l'université de Liège, Jean-Marie Klinkenberg y enseigne les sciences du langage, et spécialement la sémiotique et la rhétorique, mais aussi les cultures francophones. Titulaire d'une maîtrise en philologie romane (1967), docteur d'État en philosophie et lettres (1971), J. Il rejoint le Groupe Mu dès ses débuts, en 1967. Il a été professeur visiteur à Tel-Aviv, Mexico, Urbino, São Paulo; Montréal, Jyväskylä. Il est membre de l'Académie royale de Belgique et du Haut Conseil de la Francophonie. Il est consultant permanent près les éditions Larousse. Récipiendaire de l'Ordre des francophones d'Amérique[modifier | modifier le code] J.M. Annexes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Rhétorique générale, Paris, Larousse, 1970 (rééd. Notes et références[modifier | modifier le code]