Prestations Politique Numérique - Politique Numérique Politique Numérique, en partenariat avec le Centre Edgar Morin et la Faculté de droit international de l’environnement de Limoges, lancent le projet Climate-Crowdsourcing.org Axé sur la conférence internationale des parties qui se déroulera en décembre 2015 à Paris, cette opération mondiale vise à interroger sur le sujet du changement climatique des jeunes et des lycéens issus de plus de 20 pays répartis sur toute la surface du globe. 10.000 consultations d'étudiants et de jeunes20 pays concernés100 sessions actives de par le monde1 sommet mondial à Toulouse...1 rencontre internationale à Paris en Décembre 2015 Le ''crowdsourcing'' est en traduction littérale la ''méthode qui permet de nourrir des suggestions issues de la foule''. Il s'agit d'un modèle de contribution externalisée de gestion de projet, car la question du climat est un projet majeur, qui concerne chacun d'entre nous.

une nouvelle politique démocratique est en marche Voisin-age LeMonde_7%20avril%202012.pdf Techno-progressisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le techno-progressisme est une position de soutien actif pour la convergence du développement technologique et du progrès social. Les techno-progressistes arguent que les développements technologiques peuvent être profondément autonomisants et émancipateurs s’ils sont réglementés par des autorités démocratiques et responsables légitimes pour s’assurer que les coûts, les risques et les bénéfices sont tous partagés équitablement par les vrais acteurs intéressés par ces développements. Le techno-progressisme maintient que les analyses du « progrès » devraient se concentrer à la fois sur les dimensions scientifiques et techniques ainsi que celles éthiques et sociales. Parmi les figures contemporaines promouvant des positions apparemment techno-progressistes, citons la sociologue des technosciences Donna Haraway avec sa théorie du cyborg et le bioéthicien James Hughes avec sa thèse sur la biopolitique. Progressisme

Médiocratie "Toupictionnaire" : le dictionnaire de politique Définition de la médiocratie Etymologie : de médiocre, venant du latin mediocris, moyen, et de kratos, pouvoir, autorité. Au sens littéral, la médiocratie est le pouvoir détenu par les médiocres(1), la domination, l'influence, le gouvernement des médiocres. Apparu au XIXe siècle, le terme "Médiocratie" s'emploie aussi à propos d'une organisation où règne la compétence moyenne, l'opinion moyenne, qui fonctionne en recherchant l'homogénéité au détriment de la diversité, et qui ne parvient pas ou ne veut pas attirer "les meilleurs", ni les placer à sa tête. "Médiocratie" est utilisé dans un langage soutenu avec un sens péjoratif. On utilise parfois abusivement le terme médiocratie, à la place de médiacratie pour qualifier une société dominée par la communication de masse. (1) Les médiocres sont ceux qui sont pas très bons, qui sont inférieurs à la moyenne, qui n'ont pas beaucoup de talents ni de capacités.

opération "sans culotte 2012", jeu et art postal citoyen, autre façon de militer! Chers Citoyens et citoyennes ! Vous qui êtes avant tout des Françaises et des Français, au delà des partis politiques, il existe une autre façon de militer qui évite les écueils trop souvent observés ces dernières années. (Violences dans les manifestations pacifiques sur le Peuple souverain notamment, ou bien encore, économie sur les déplacements et carburant, frais, à ces dernières). Nous sommes quelques-uns, et de plus en plus nombreux, toutes tendances confondues droite gauche, à ne plus savoir comment sortir de l'impasse actuelle qui nous prive chaque jour un peu plus de notre voix devant l'inacceptable, l'indigne, le vulgaire, le pornographique, qui, hélas, n'est pas forcément dans l'usage de la langue française des mots pour les maux, l'art, la poésie, ni même dans quelques coups de crayons, mais bel et bien là où nous aimerions un peu de tenue. La médiacrassie et le déni de démocratie. Pensées humanistes, Stéphanie. Le projet : Marianne : recto :

Dette publique et "loi Rothschild" : le silence des médias C'est le point aveugle du débat : la dette publique est une escroquerie ! En cause, la loi Pompidou-Giscard de 1973 sur la Banque de France, dite "loi Rothschild", du nom de la banque dont était issu le président français, étendue et confortée ensuite au niveau de l'Union européenne par les traités de Maastricht (article 104) et Lisbonne (article 123). D'une seule phrase découle l'absolue spoliation dont est victime 99% de la population : "Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France". Contraint d'emprunter aux banques privées En clair et pour faire simple, la Banque de France a désormais interdiction de faire crédit à l’État, le condamnant à se financer en empruntant, contre intérêts, aux banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la banque de France qui lui appartient. Qui gouverne ? Silence médiatique Inlassable propagande des conservateurs-libéraux ? Mais les éminents confrères ?