C'est quoi un processus de gestion ? Minister of culture invests in an open France Aurélie Filippetti / Open Knowledge Foundation / CC BY French minister of culture and communications Aurélie Filippetti launched a set of initiatives yesterday designed to promote a more creative, more open France. The impressive announcement covers a lot of measures, including an open data policy for cultural data, the launch of a new workspace designed to stimulate cultural innovation, and much more. The ministry of culture and communication will work with CC France to educate students, cultural creators, and society in general on understanding and using Creative Commons licenses. Meanwhile, the ministry will also work with the Open Knowledge Foundation France to map the French public domain, making it easier for anyone to discern whether a work is in the public domain or not. We applaud Minister Fillipetti and congratulate both CC France and OKFN France on this exciting partnership. *Rough translation from the French announcement.
How Open Data Is Changing The Way Vancouver Shelters Its Homeless Last month, seemingly out of nowhere, the Province of British Columbia announced it would spend $1 million (in Canadian dollars) to address health and safety violations in a number of the single resident occupancy (SRO) buildings it owns in Vancouver. The reason...? Open data. Indeed, what follows is a wonderful example of how data and transparency can drive policy and encourage governments to fulfill commitments that help those most at risk. In January 2012, the Vancouver city council passed a motion mandating the creation of an online, searchable database of rental apartments in Vancouver, which would:utilize existing publicly available information collected by the City; and include information such as building owner, outstanding work orders, and property violations, if any. This open data set, modelled after a similar searchable database in New York, had two explicit goals. The impacts of this one dataset can be measured on several levels. Bigger opportunities for savings
rep processus simple L’open data et le grand public : on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre La question de l’appropriation des données ouvertes est, avec celle du potentiel économique, l’un des sujets chauds de l’open data. Ayant eu l’opportunité de tester plusieurs formats d’animation et de sensibilisation au cours des derniers mois, je vous propose un billet sous forme de retour d’expérience. Vos commentaires, idées et réactions sont les bienvenus ! 1 – Pour le grand public, le problème dans "open data" c’est d’abord la "data" L’infolab "données de mobilité"(photo Ville de Rennes) J’avais fait cette remarque à l’occasion de la Semaine européenne de l’open data qui s’est tenue à Nantes avant l’été; pour les entreprises, le problème de l’open data c’est plutôt le côté "open", mais pour le grand public c’est d’abord l’objet "donnée" qui constitue une difficulté. Les data sont partout autour de nous, elles sont indispensables au bon fonctionnement des services de notre quotidien (de la crèche aux transports), mais pourtant cet objet reste largement méconnu. 3 – Les médiations
Définition du Big Data - Profitez des opportunités du Big Data - France Définition du Big Data Chaque jour, nous générons 2,5 trillions d’octets de données. A tel point que 90% des données dans le monde ont été créées au cours des deux dernières années seulement. Ces données proviennent de partout : de capteurs utilisés pour collecter les informations climatiques, de messages sur les sites de médias sociaux, d'images numériques et de vidéos publiées en ligne, d'enregistrements transactionnels d'achats en ligne et de signaux GPS de téléphones mobiles, pour ne citer que quelques sources. Ecoutez les experts Le Big Data couvre quatre dimensions : volume, vélocité, variété et véracité. Volume : les entreprises sont submergées de volumes de données croissants de tous types, qui se comptent en téraoctets, voire en pétaoctets. Transformer les 12 téraoctets de Tweets créés quotidiennement en analyse poussée des opinions sur un produitConvertir les 350 milliards de relevés annuels de compteurs afin de mieux prédire la consommation d'énergie
L’Uruguay tente l’Open Data à la demande Un Open Data à la demande des citoyens. Lancé par une ONG militant pour l'accès démocratique aux données, QueSabes.org expérimente le concept en Uruguay. Interview d'un des initiateurs du projet, qui espère responsabiliser les politiques à coups de données ouvertes. Lock in Hand - Photo CC by-nd Matt Dringenberg Quand nous sommes tombés sur QueSabes.org, nous avons cru quelques jours que l’Uruguay se positionnait en pointe du mouvement Open Data en Amérique du Sud. Owni : comment est née l’idée du projet”Que Sabes.org” ? Fabrizzio Scrollini : En m’installant à Londres, j’ai découvert les projets d’Open Data comme My Society et la Open Knowledge Foundation, qui impliquaient les citoyens dans le mouvement Open Data. Tout s’est monté par Skype et Google Chat ! Pourquoi avoir choisi l’Uruguay pour lancer cette première initiative ? Pour commencer, une partie des membres fondateurs de DATA sont originaires de ce pays (même s’il y a aussi des Anglais et des Américains, notamment).
Système d'Information Mars 2017 Notion de Système d'Information Une entreprise crée de la valeur en traitant de l'information, en particulier dans le cas des sociétés de service. Ainsi, l'information possède une valeur d'autant plus grande qu'elle contribue à l'atteinte des objectifs de l'organisation. Un système d'Information (noté SI) représente l'ensemble des éléments participant à la gestion, au traitement, au transport et à la diffusion de l'information au sein de l'organisation. Très concrètement le périmètre du terme Système d'Information peut être très différent d'une organisation à une autre et peut recouvrir selon les cas tout ou partie des éléments suivants : Pour approfondir Formation informatique et système d'information Sistema de información Sistema d'informazione Sistema de Informação
Open data : à Oakland, le regard des habitants sur le budget municipal Dans la ville californienne d’Oakland, 400.000 habitants, quelques citoyens se sont organisés pour récupérer les données publiques budgétaires afin de les mettre en forme de manière ludique . C’est ce que nous raconte La gazette des communes dans un article publié le 30 mai dernier. Le mouvement né des citoyens a pour but de servir les différentes communautés de la ville et de répondre à leurs attentes. Adam Stiles, l’un des fondateurs du projet cité par La gazette des communes explique : « Nous rencontrons les représentants d’une communauté pour savoir quels aspects du budget les intéresseraient, ce qu’ils ont envie de voir et de comprendre. Il affirme également que la mairie ne s’est pas du tout opposée à l’initiative et s’est révélée être un allié essentiel dans la démarche. Et pour en savoir plus sur cette initiative et lire l’intégralité de l’article de La gazette des communes, c’est par ici .
La construction des processus RH - Exemple - Rôle de la culture d'entreprise | HR4free La définition des processus RH de l’entreprise permet de distinguer les activités qui sont du ressort du département des Ressources Humaines par rapport à celles prises en charge par le management. Elle permet également d’acquérir une vue d’ensemble des différentes étapes du parcours des collaborateurs au sein de l’entreprise et de clarifier la culture de l’entreprise en matière de gestion des Ressources Humaines. Dans la pratique et dans la littérature, on peut dégager deux tendances principales: Le département des Ressources Humaines comme centre de services et de conseils: C’est la version la plus moderne et la plus exigeante pour les collaborateurs de ce département. Dans le premier cas, le département RH est le véhicule de la culture d’entreprise et il arrive souvent qu’il soit alors doté d’un droit de veto face à des décisions de la ligne qui contreviendraient à cette culture. La définition des processus RH fait principalement appel aux deux outils suivants: 1. 2. 3. 4.
L'Open data et la plateforme Etalab évoluent Lors du sommet du G8 qui s’est tenu l’année dernière en Irlande, sous la présidence britannique, les chefs d’Etat des pays les plus industrialisés ont débattu sur les grands enjeux politiques et économiques mais aussi sur la transparence en matière de gouvernement. Ce dernier point, communément évoqué sous le nom d’ « Open Government », a donné lieu à l’élaboration d’une « Charte de la transparence », signée par l’ensemble des participants, notamment par le président de la République française. A l’approche du prochain G8, qui se tiendra à Sotchi (Russie) les 4 et 5 juin 2014, la question se pose de savoir si nous avons accompli des avancées notables dans ces domaines qui sont au fondement de l’innovation sociale aujourd’hui. La transparence est devenue un paradigme d’innovation que le monde entier expérimente depuis quelques années. Côté technique, il faut saluer l’initiative de la France de coopérer au développement d’ un outil open source, CKAN, avec l’Open Knowledge Foundation.
Qu'est-ce qu'un «wiki» ? Le mot wiki vient de l'expression hawaiienne «wiki wiki», communément traduite par «vite». Dans l'univers Internet, il désigne un site rédigé à plusieurs mains dont les pages peuvent être modifiées rapidement et librement. N'importe quel visiteur qui en apprécie les articles peut rejoindre la communauté qui l'édite. Le wiki le plus connu, l'encyclopédie Wikipédia (www.wikipedia.fr), est le plus visité au monde. Selon le cas, les visiteurs peuvent contribuer directement, ou seulement après inscription, de manière à être identifiés quand ils procèdent à un ajout ou à une modification. Pour créer ou modifier un article, le visiteur se connecte à l'espace d'édition du «wiki» avec son navigateur Web. Le principe des liens est au coeur du «wiki» : chaque document doit permettre au visiteur, par un simple clic sur un mot-clé, de consulter d'autres documents. Au fur et à mesure des contributions, les pages s'enrichissent.
Open Data : Los Angeles nomme son premier « chief data officer » Dans très exactement une semaine, Abhi Nemani prendra ses fonctions de « chief data officer » de la ville de Los Angeles. Ce jeune de 25 ans aura pour charge de piloter la politique d’ouverture des données publiques de la célèbre métropole californienne. Il ambitionne d'ores et déjà de changer concrètement le quotidien des citoyens. Le maire démocrate de Los Angeles, Eric Garcetti, a annoncé la semaine dernière qu’il avait décidé de nommer Abhi Nemani au poste de « chief data officer ». Une première pour la métropole californienne. Un chef d'orchestre pour le mouvement d'Open Data Si l’étendue exacte des pouvoirs du futur « chief data officer » de Los Angeles se révèle pour l’heure assez floue, le cabinet du maire insiste sur le fait que le travail d’Abhi Nemani s’inscrira dans la continuité d’une directive adoptée en décembre dernier par Eric Garcetti en faveur de l’Open Data. Carte des crimes et accidents, d'après les données de la police de Los Angeles. Xavier Berne