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WikiLeaks

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Operation Payback, la première cyber-émeute L’Opération Revanche (Operation Payback) est un ensemble d’attaque de site internet et de blog mis en place par un collectif d’internautes qui se fait appeler Anonymous qui se positionne en tant que défenseur d'un « internet libre et ouvert à tous ». Dernière cible en date (début décembre 2010), les sites internet d’Amazon, PayPal, Visa ou bien MasterCard pour venger l’affront fait, selon eux, par ces sociétés à WikiLeaks et à son porte-parole et co-fondateur Julian Assange. Elle utilise une technique bien connue et surtout très difficile à contrer : l’attaque par déni de service. L’attaque par déni de service (ou Denial of Service, DoS), expérimentée pour la première fois dans les années 1980, est une procédure qui consiste à inonder l’ordinateur qui héberge le site de demandes (requêtes) jusqu’à ce que celui-ci dépasse sa capacité de réponse et se mettent en sommeil. Par AD

Julian Assange Opération Payback : les hackers s’en prennent aux "ennemis" de Wikileaks (MasterCard, Visa, PayPal...) Les mesures de rétorsions prises par plusieurs sociétés à l’encontre de Wikileaks ont déclenché une véritable "cyber-vendetta". Depuis le début de la semaine, plusieurs sociétés et institutions dont Amazon, EveryDNS, PayPal MasterCard et Visa sont dans le collimateur du groupe de hackers Anonymous qui a revendiqué les attaques DDoS menées contre leurs sites Internet. Ont également été visés la banque postale suisse Post Finance qui a gelé les avoirs de Julian Assange, le site du procureur général de Suède ainsi que celui de l’avocat des deux jeunes suédoises qui accusent le fondateur de Wikileaks de viol et agression sexuelle. Enfin ABC News rapportait hier soir que le site de Sarah Palin ainsi que sa carte bancaire ont aussi été attaqués MasterCard dément toute fuite Baptisée « Opération Payback », les attaques DDoS du groupe Anonymous sont annoncées à l’avance sur Twitter. Twitter ferme puis rouvre le compte d’Anonymous Wikileaks reste prudent Paypal débloque les fonds de Wikileaks

Comment WikiLeaks embringue la presse traditionnelle Un site web participatif a forcé des poids lourds de la presse à vérifier des infos dont ils ne connaissaient pas l’origine. Une première. Julian Assange tenant The Guardian, le 26 juillet à Londres (Andrew Winning/Reuters). C’est une révolution dans les médias : un site internet participatif met sous le nez de trois mastodontes du journalisme la plus grosse fuite de documents de l’Histoire, et les force à recouper des informations dont ils ne connaissent pas la provenance. « Si c’est du bon journalisme, c’est controversé par nature », se défend Julian Assange, fondateur du site WikiLeaks, en publiant plus de 90 000 rapports confidentiels sur la guerre en Afghanistan. Créé en décembre 2006, WikiLeaks est un site « Wiki », autrement dit auquel chacun peut contribuer. Et ce avant leur publication sur WikiLeaks, une formule révolutionnaire pour l’auto-proclamé « service de renseignement du peuple », censé s’affranchir du journalisme d’investigation. Comment WikiLeaks a partagé ses documents

Ministry of Sound floored by Anonymous High performance access to file storage Ongoing denial of service attacks spearheaded by Anonymous have knocked out the website of the Ministry of Sound, as well those of its payment provider and solicitors, Gallant Macmillian. Macmillan is attempting to identify and sue individuals who allegedly uploaded music from the Ministry of Sound's music catalogue. Slyckr reports that the attacks against the MoS and Associated website started on Sunday evening (UK time). The sites remain unavailable at the time of writing on Monday morning. Its legal action marked the Ministry of Sound as a candidate for attacks launched by the loosely affiliated Anonymous collective against the entertainment business and, in particular, organisations that harass alleged file-sharers. A scorecard on these various attacks, detailing site downtimes, along with an interview with a member of Anonymous, can be found in a blog post by Panda Security here.

WikiLeaks dévoile 250 000 échanges diplomatiques américains Le contenu de 250 000 câbles diplomatiques américains dévoilés par le site WikiLeaks a été publié dimanche par les grands titres de la presse mondiale, révélant les dessous de la diplomatie des Etats-Unis, comme lorsque Ryad appelait Washington à attaquer l'Iran. La Maison Blanche a condamné "dans les termes les plus forts" la publication "irresponsable et dangereuse" de ces documents, affirmant que l'initiative de WikiLeaks pourrait faire courir des risques mortels à des individus. Il s'agit "d'un quart de million de câbles diplomatiques américains confidentiels", écrit le New York Times, auquel Wikileaks a donné accès aux documents, comme à quatre titres de référence de la presse mondiale: Le Monde (France), The Guardian (Grande-Bretagne), El Pais (Espagne) et Der Spiegel (Allemagne). Ces notes "offrent un panorama inédit des négociations d'arrière-salle telles que les pratiquent les ambassades à travers le monde", observe le quotidien américain. Avec

#OpPayPal : Une nouvelle démonstration inédite des Anonymous Une nouvelle opération sous une forme inédite et légale à 100% été lancé ce mercredi matin par Anonymous contre le site de payement en ligne PayPal, il ne s’agit pas d’une attaque par déni de service « DDoS », mais d’un simple appel au boycott contre le site américain PayPal, une nouvelle technique adopté par anonymous et considéré comme un premier pas vers la liberté. Cette démonstration pacifique vient quelques jours après le coup de filet mené le 19 juillet par le FBI contre des anons liés à des attaques « DDos » contre PayPal, Visa et MasterCard en décembre dernier, les 14 personnes arrêtés sont accusés de complot et de dégâts volontaires contre le site Paypal et peuvent encourir une peine de prison de 15 ans ainsi qu’une amende de 500.000 dollars, donc une nouvelle opération contre PayPal été jugé nécessaire. Ici pour consulter la lettre d’Anonymous (en anglais). Un des comptes PayPal fermé dans le cadre de l'#OpPayPal Like this: J'aime chargement…

Anatomy of a Smear: WikiLeaks' Assange Wanted for "Sex by Surprise," Not Rape WikiLeaks founder Julian Assange is facing arrest for violating a Swedish law about sex without condoms, rather than a mainstream interpretation of "rape." Yet that's the charge reports often levy against him. Behold the smear campaign. The New York Times wrote about the case on Thursday, noting that Swedish authorities were hunting Assange on charges of "rape, sexual molestation, and unlawful coercion." The Swedish charges aren't exactly new, though. Assange has questioned the "veracity" of the two women's statements, as the Times report notes. Then came the Interpol warrant, and with it, a new life for the previous rape accusations. But few outlets are as concerned as the Times with nuance. A Google search for "Julian Assange rape" returns over 445,000 responses. We're absolutely not condoning non-consensual sex acts in any way, but arguably this story isn't about subtleties of semantics and centers on the labyrinthine--and seemingly nation-specific--laws Assange has violated.

Operation Payback Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] En 2010, plusieurs entreprises Bollywoodiennes ont embauché Aiplex Software pour lancer des attaques DDoS sur des sites torrent qui n'ont pas répondu aux demandes de suppressions de fichiers[3]. Des militants ont alors créé l'opération Payback en septembre 2010 afin d'organiser des représailles[3]. Le plan initial était d'attaquer Aiplex Software directement mais, d'autres personnes ayant mis à exécution l'attaque sur le site de Aiplex quelques heures avant le DDoS prévu, l'opération Payback a alors changé ses plans et lancé des attaques contre les sites Web de la MPAA et l'IFPI, en totalisant pour les deux sites un arrêt total de 30 heures[4]. Dans les deux jours suivants, l'opération Payback a attaqué une multitude de sites affiliés à la MPAA, la RIAA, et BPI[3]. Les cabinets d'avocats tels que ACS Law (en) et Davenport Lyons (en) ont également été attaqués[5],[6]. Outils[modifier | modifier le code]

WikiLeaks : représailles de l'Empire... et contre-offensive des "barbares" De même qu’un ex-footballeur sema l’émoi dans un système bancaire fébrile, Julian Assange et WikiLeaks forcent un Empire occidental humilié à dévoiler un visage bien moins avenant qu’il n’essaie de le laisser penser. Et bien plus vulnérable qu’il ne voudrait le croire. Collusion vengeresse des « forces du Bien » Résumons : un mandat d’arrêt international du parquet suédois et d’Interpol contre Assange... pour un simple complément d’informations sur deux troubles accusations de viol (pardon, « sexe par surprise ») ; l’arrestation d’Assange à Londres (il s’est en fait rendu de lui-même à Scotland Yard) ; le maintien du suspect en détention jusqu’au 14 décembre. Plus : la fermeture de l’hébergement de WikiLeaks par Amazon ; la suspension des virements à destination de WikiLeaks par MasterCard, Visa Europe et PayPal ; la fermeture du compte bancaire d’Assange par la banque suisse Postfinance. La défense de l’Empire... à n’importe quel prix prix Les « barbares » du Net contre-attaquent

En Inde, la lutte contre le piratage se fait à coup d'attaques DDOS À chacun sa méthode. En Occident, les ayants droit cherchent la plupart du temps à combattre le piratage des contenus protégés par le droit d'auteur en saisissant les tribunaux. En revanche, la lutte anti-piratage est autrement plus musclée en Inde. En effet, pour contrer la diffusion de fichiers couverts par la propriété intellectuelle, certains studios de cinéma n'hésitent pas à recruter des sociétés dont la mission première est de combattre ce phénomène. Et cela passe parfois par l'utilisation des attaques par déni de service (DDoS) pour faire tomber les serveurs pirates. C'est le cas de Aiplex Software, une entreprise indienne dirigée par Girish Kumar. L'attaque DDoS n'est cependant pas déclenchée dès le début. Si les liens sont toujours en place malgré le premier avertissement, un second message est alors envoyé. Généralement, les pirates coopèrent.

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