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Matrice BCG

Matrice BCG
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La matrice BCG (Boston Consulting Group, fin des années 1960) est un outil d'analyse utilisé en stratégie d'entreprise qui permet de justifier des choix d'allocation de ressources entre les différentes activités d'une entreprise diversifiée, présente sur plusieurs domaines d'activité stratégique (DAS en français, SBU - Strategic Business Unit - en anglais). Cet outil est utilisé par extension en marketing pour évaluer l'équilibre du portefeuille de produits d'une entreprise, mais ce n'est pas sa fonction initiale. Matrice BCG Construction de la matrice BCG[modifier | modifier le code] La matrice BCG permet de positionner chacun des DAS de l'entreprise selon deux axes : ce que rapporte chaque DAS, mesuré par sa part de marché relative, c'est-à-dire la part de marché du DAS divisée par celle du leader sur le même marché (ou par rapport au numéro 2 sur le marché si l'entreprise est elle-même leader). La matrice BCG repose sur trois hypothèses :

Cinq forces de Porter Les cinq forces de Porter. Postulats[modifier | modifier le code] Porter construit son modèle à partir d'une extension de la définition de la concurrence. Pour lui, le terme de « concurrent » désigne tout intervenant économique susceptible de réduire la capacité des firmes en présence à générer du profit[1]. Il identifie cinq forces qui déterminent la structure concurrentielle, et donc la profitabilité, d'une industrie : le pouvoir de négociation des clients, le pouvoir de négociation des fournisseurs, la menace des produits de substitution, la menace d'entrants potentiels sur le marché, et l'intensité de la rivalité entre les concurrents[2]. Par définition, le modèle des cinq forces de Porter caractérise un environnement concurrentiel et non une firme en particulier : pour tous les concurrents en présence, l'analyse est la même et les facteurs clés de succès sont identiques. Description[modifier | modifier le code] Pouvoir de négociation des clients[modifier | modifier le code]

Etude de cas marketing Oboulo.com vous propose de nombreuses études de cas marketing, rédigées par des étudiants, des professeurs ou des professionnels, et toutes relues par notre comité d'expert, garantie qualité ! N'hésitez pas à utiliser notre moteur de recherche pour trouver l'étude qu'il vous faut. Une étude de cas marketing consiste à vous mettre en situation en analysant un marché, un produit ou une entreprise, afin de présenter votre étude comme un rapport convaincant destiné à votre hiérarchie, proposant des recommandations d'actions. D'une manière générale, la qualité de votre étude de cas dépendra de sa clarté et de sa cohérence, de la qualité de l'analyse, de votre capacité à prendre des décisions, à les justifier et à convaincre. Une étude de cas marketing comporte cinq étapes principales : l'analyse externe et interne, suivie d'un diagnostic l'annonce de la problématique la définition des objectifs le choix d'une stratégie le marketing mix (produit, prix, place, promotion) La problématique :

Matrice McKinsey Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Matrice de McKinsey Matrice de McKinsey Améliorée Il s'agit d'une matrice de décision stratégique, développée par le cabinet de conseil McKinsey & Company, où chaque DAS (Domaine d'activité stratégique) est analysé à partir de deux dimensions : l’attrait du marché et la position concurrentielle. L’attrait du marché dépend de sa taille, de sa croissance, de sa rentabilité, des barrières à l’entrée, de l’intensité de la concurrence, du développement des technologies… La position concurrentielle (les atouts de l'entreprise) dépend de la part de marché de l’entreprise, de l’évolution de cette part de marché, la qualité des produits vendus, la fidélité des clients, la structure des couts… Explication du graphe[modifier | modifier le code] La zone bleue correspond au cas où l’attrait du secteur et les compétences de l’entreprise sont importants. Les flèches représentent la position attendue de chaque DAS à moyen terme (3-5ans).

Mix-marketing Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le marketing mix (parfois traduit par plan de marchéage ou politique de marchéage) désigne dans le cadre d'une entreprise ou d'une marque l'ensemble cohérent de décisions relatives aux 4 volets que sont : politique de produit, politique de prix, politique de distribution et de communication[1]. Les quatre politiques : une répartition arbitraire de l'analyse du marché Enjeux du mix marketing[modifier | modifier le code] Le marketing mix est un mode de répartition d'analyse du marketing. La simplicité de la répartition est un point important à respecter à des fins d'intégration du marketing au sein de sciences de l'organisation (management) et plus particulièrement des sciences économiques. La distinction de la stratégie marketing et celle plus globale de l'entreprise peut aussi enfin être considérée comme une cause de la répartition en 4 parties du marketing mix. Etapes du mix marketing[modifier | modifier le code] Certains[Qui ?]

Carte heuristique Carte heuristique dessinée pendant un exposé. Une carte heuristique[1], carte cognitive, carte mentale[2], carte des idées ou encore schéma heuristique, est un schéma supposé refléter le fonctionnement de la pensée, qui permet de représenter visuellement et de suivre le cheminement associatif de la pensée. Le terme anglais mind map est également parfois utilisé en français. Cela permet de mettre en lumière les liens qui existent entre un concept ou une idée, et les informations qui leur sont associées. La structure même d'une carte heuristique est en fait un diagramme qui représente l'organisation des liens sémantiques entre différentes idées ou des liens hiérarchiques entre différents concepts. À l'inverse du schéma conceptuel (ou « carte conceptuelle »[3]), les cartes heuristiques offrent une représentation arborescente de données imitant ainsi le cheminement et le développement de la pensée. Origine[modifier | modifier le code] Mise en œuvre[modifier | modifier le code]

Définition Part de voix : Le glossaire du marketing La part de voix est un indicateur de mesure relative des investissements publicitaires d’un annonceur et de sa visibilité. La part de voix peut se calculer de façon générale pour un secteur d’activité donné (investissements publicitaire de l’annonceur / investissements publicitaires totaux des acteurs du secteur) ou pour un média ou support donné (investissements publicitaires de l’annonceur sur un média / investissements publicitaires totaux des acteurs du secteur sur ce média). La part de voix d’un annonceur sur un support ou média peut également se calculer en prenant en compte la totalité des investissements réalisés par tous les secteurs d’activités, mais dans ce cas la part de voix ne permet pas de se situer par rapport à la concurrence. La part de voix permet de mettre en évidence des effets de domination de l’espace publicitaire. Voir sur le même sujet : part de voix prospectus Source image : A3 Distrib

Qualification des sources 2.0 L’intelligence économique, la veille, l’influence, etc, sont des disciplines (ou méthodologies, au choix) issues en partie des pratiques de renseignement étatique : DGSE, DST, CIA... Dans le renseignement humain, l’un des objectifs est de pouvoir fournir aux décideurs une information la plupart du temps grise. Cette information provient en grande majorité de sources humaines, et il paraît nécessaire de pouvoir qualifier cette source, c'est-à-dire évaluer la pertinence et le degrés de « vérité » de l’information obtenue. Une méthode classique et appliquée en veille, est le recoupement : si l’information fournie se retrouve ailleurs un certains nombre de fois, alors elle doit être fiable. Mais qu’en est-il avec le web 2.0 ? Rien de plus facile aujourd’hui que de créer un blog (par exemple). La veille d’opinion, les méthode d’analyse de l’e-réputation (et du SEO), peuvent permettre de donner une réponse à cette question. Etape 1 : qui est l’auteur de ce blog ? ==> Sa présence sur Twitter.

Pourquoi je ne veux pas de vos indicateurs de mesure Rapport d’étonnement court et ego-centré, mais qui se veux un minimum percutant (plus « bloguesque » en somme), cette semaine. La réputation est une perception. Le mécanisme qui permet son « implantation » dans « l’esprit » de quelqu’un est schématisable, qu’il soit numérique (d’où le « e ») ou autre. La réponse ne sera pas donnée ici (dommage ?) Cet article traînait dans mes tiroirs depuis un certains temps, mais à l'heure où de nombreuses agences proposent l'évaluation d'un « karma numérique », des indicateurs « qui ont fait leurs preuves », et autres « buzz reports », je me dis que ces propos ne tomberont pas dans l'oreille d'un(e) sourd(e). Prenons donc le problème à l’envers : pourquoi la majorité des indicateurs de « mesure » de l’e-réputation déjà existants ne me plaisent pas, voir me semblent inutiles. ==> Tout d’abord, « mesurer » une perception me semble bien péremptoire… Pour mesurer il faut avoir une échelle (pas l’objet, hein). ==> L'indicateur indique la route à suivre.

QQOQCCP Cinq W QQOQCCP (pour « Qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Ce concept est notamment utilisé en journalisme. Les cinq W sont particulièrement utilisés en agence de presse[3], qui exige que les réponses aux cinq questions soient données dès le début de la dépêche, ce qui permet un découpage de l'information par priorité. Cette méthode est également utilisée de façon courante dans l'éducation pour l'étude de documents, ainsi qu'en gestion de la qualité, comme première étape d'une analyse de cause racine de problèmes. Origine et histoire[modifier | modifier le code] Chez Aristote et les scolastiques[modifier | modifier le code] Le sigle a pour origine un moyen mnémotechnique latin (« Quis, Quid, Ubi, Quibus auxiliis, Cur, Quomodo, Quando ») utilisé par les savants scolastiques pour la mémorisation des particularités d'un acte telles que définies par Aristote[4],[5]. Plusieurs autres utilisations ont ensuite assuré la persistance de l'expression jusqu'à aujourd'hui : En ligne, les 4 questions de base.

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