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Un atelier interactif sur la Shoah

Un atelier interactif sur la Shoah
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Le journal de Suzon Exposition Après la Shoah. Rescapés, réfugiés, survivants. 1944-1947 Le Débarquement de Normandie Les différents fronts La guerrequi contre qui ? En 1943, le front de l’Est est tenu par les Soviétiques. Leur chef, Staline, réclame l’ouverture d’un second front à l’Ouest afin de prendre l’armée allemande par encerclement. Les dirigeants anglo-saxons -Churchill pour la Grande Bretagne et Roosevelt pour les Etats-Unis- se concertent afin de mettre au point un débarquement qui portera le nom de code Overlord. Les grandes dates 1939Début dela guerre 1940Défaite dela France 1944Le 6 juin - Ledébarquement 1945Fin dela guerre L'entrée des américainsdans la guerre Pourquoi la Normandie ? Les plages des Normandie ont été choisies comme lieu de débarquement car elles possédaient plusieurs atouts : Atout géographique Elles sont en effet larges et profondes, ce qui permet un débarquement important d’hommes et de matériels. Atout stratégique Les défenses y sont réduites car l’armée allemande croit à un débarquement dans le Pas-de-Calais et y a donc concentré l’essentiel de ses troupes. Atout « matériel » Où ?

» 6 juin 1944 – 6 juin 2014 Petits rappels… Les 80 millions de morts de la seconde guerre mondiale : Soulignons que les 25 millions de soviétiques morts se répartissent principalement par nationalité en : Russie : 14 millions (13 % de la population de 1940) – 7 M de soldats, 7 M de civils ;Ukraine : 7 millions (16 %) – 1,7 M de soldats, 5,3 M de civils (NB. Il s’agit surtout des civils Ukrainiens du Centre et de l’Est, hors Galicie – sauf pour les Juifs) ;Biélorussie : 2,3 millions (25 %) – 0,6 M de soldats, 1,7 M de civils. Les pertes militaires en Europe durant la deuxième guerre mondiale : Et en Asie : Et le total des morts militaires par pays : Ainsi – et en lien avec les soucis actuels… : (N.B. : c’était juste un rappel factuel. Voilà où était le front de l’Est le 6 juin 1944 (entre le orange 30/04 et le violet 19/08) : Quoi qu’il en soit, respect pour tous les soldats, quelle que soit leur nationalité, qui ont donné leur vie pour notre liberté… Documentaire : Extrait du soldat Ryan : P.S.

Shoah2010 2010 : Enseigner la Shoah Editorial ""Que tu deviennes ouvrier, ingénieur, membre d'une profession libérale ou éducateur de jeunes enfants, ta vie se construira sur le passé des hommes, sur celui des morts sous la mitraille ou dans les chambres à gaz, sur celui de ceux qui ont sacrifié leur futur pour le bénéfice de ton présent, pour que tu aies le bonheur de vivre dans un monde de tolérance et de liberté. Héritier de ce passé tu devras le restituer à ceux qui te succèderont afin que notre petite planète sur laquelle il pourrait faire si bon vivre, puisse un jour devenir la Terre des Hommes...". Sam Braun, janvier 2010Il est l'auteur de "Personne ne m'aurait cru, alors je me suis tu", Albin Michel Comme d'autres questions "socialement vives", l'enseignement de la Shoah est au cœur d'une difficulté pédagogique. "L'histoire dérange et guérit tout à la fois" écrivait l'inspecteur général D. François Jarraud

La Journée nationale de la Résistance L'Assemblée nationale a instauré le 27 mai comme Journée nationale de la Résistance. Cette journée, qui s'est tenue pour la première fois le 27 mai en 2014, est l'occasion d'une réflexion sur les valeurs de la Résistance et celles portées par le programme du Conseil national de la Résistance. 27 mai : le symbole de l'union La date du 27 mai fait référence à la première réunion du Conseil national de la Résistance (CNR) qui s'est déroulée le 27 mai 1943 dans l'appartement de René Corbin, au premier étage du 48 rue du Four à Paris. Après la Libération, le programme d'action de la Résistance, connu sous le nom "Les jours heureux", paraît en 1944 et conduit à la mise en œuvre de réformes économiques, sociales et politiques donnant la priorité à l'accès à l'éducation pour tous et posant les bases du modèle social français. Rendre hommage à ceux qui ont résisté à l'oppression Les collèges et les lycées sont invités à s'associer à cette commémoration. Mise à jour : avril 2017

Intervention aux membres du futur comité stratégique du CNRD Éducation nationale Publié le 30 mai 2016 Retrouvez ici le texte de l’intervention de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, aux membres du futur comité stratégique du Concours national de la Résistance et de la Déportation (CNRD), réunis au ministre de l’Éducation nationale, ce lundi 30 mai 2016. Mesdames et messieurs, en vos titres, grades et qualités, Mesdames et messieurs, Ne pas oublier. Telle est l’injonction que nous adressent, par-delà les années, et par-delà les siècles, les femmes et les hommes qui nous ont précédés. Ne pas oublier, c’est défendre la valeur du passé contre un présent qui tend parfois – par sa seule omniprésence justement – à tout emporter. Ne pas oublier, tel est l’un des enjeux du Concours National de la Résistance et de la Déportation, qui nous rassemble aujourd’hui. Certains prétendent que la mémoire n’est pas un travail, tout au plus un devoir. Nous ne sommes pas de ceux-là. Nous le faisons :

Histoire-Géographie au collège et au lycée - Du témoignage à l’émission de radio, enseigner la Shoah en classe de Première en initiant les élèves à la pratique historienne Du témoignage à l’émission de radio, enseigner la Shoah en classe de Première en initiant les élèves à la pratique historienne [1]. Enseigner la Shoah en classe de Première consiste le plus souvent à conduire les élèves à investir un champ qui leur est doublement familier du fait de leur parcours scolaire mais aussi de leur appartenance à une société pour partie façonnée par les mémoires de la Shoah. Paradoxalement, cette familiarité se dresse souvent comme un frein à une compréhension nuancée de ce processus historique. En témoigne notamment la centralité d’Auschwitz dans les représentations des élèves. Elle se traduit également par un manque de précision dans le vocabulaire, conséquence possible d’une formulation parfois peu précise dans les programmes [2]. Pour pallier ces difficultés, nous avons mis en œuvre avec des élèves de Première L une approche qui les initie à la démarche historienne à travers l’étude d’un témoignage. I Du témoignage à la source historique 1. 2. 3. 1. 2. 3.

Fondation pour la Mémoire de la Shoah Young et moi. Tomer Sisley sur les traces du boxeur d’Auschwitz - un film de Sophie Nahum De Paris, à Tel Aviv en passant par la Pologne, Tomer Sisley est parti à la rencontre des derniers témoins de la vie de Perez, certains eux-mêmes rescapés des camps nazis. Documentaire, France, 65 min, Hello Prod, 2015, avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah. Prix du public dans la catégorie "Autrement vu" du FIGRA (Festival international du grand reportage d’actualité et du documentaire de société) Diffusions Samedi 9 juillet 2016, 22h05 sur Public Sénat Rediffusions :Dimanche 10 juillet, 9h05Lundi 11 juillet, 6h55Samedi 16 juillet, 23h10 Vidéo à la demande Film disponible en vidéo à la demande sur Canalplay À lire, à voir Sur les traces du boxeur d’Auschwitz, Sophie Nahum, Le Huffington Post (25/02/2015) Young Perez champion. La boxe ou la vie, Noah Klieger (Elkana, 2008) Je crois au matin, Charles Palant (Coll.

Cet atelier intéractif retrace les étapes de la politique nazie antisémite, présente les trois camps d'Auschwitz-Birkenau et propose des représentations cartographiques évolutives. by natachazgz Apr 20

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