Fête de la science : l'open hardware, pour construire soi-même ses appareils RepRap est une imprimante 3D libre qu'il est possible de construire à la maison. © RepRap Fête de la science : l'open hardware, pour construire soi-même ses appareils - 2 Photos L’open source est connu, mais sa déclinaison pour le matériel l'est moins. En France, un premier rassemblement baptisé Open Bidouille Camp (OBC) s’est tenu à la fin du mois de septembre à Saint-Ouen. L'Arduino est la vedette des aficionados de l'open hardware. Arduino, le pionnier de l'open hardware Tout comme pour l’open source ou encore l’open data, l’idée directrice est de se réapproprier les technologies et de les livrer gratuitement. L’un des meilleurs exemples d’open hardware est celui d'Arduino. Les plans d’Arduino sont disponibles en licence libre. RepRap, l'imprimante pour fabriquer des objets Le grand accélérateur de l’open hardware est l’arrivée des imprimantes 3D. Le site de présentation de la RepRap met à disposition tous les plans et conseils pour créer cette imprimante. A voir aussi sur Internet
Demain, des usines dans nos salons, par Sabine Blanc Se réapproprier les moyens de production : Karl Marx en rêvait, un chercheur du Massachusetts Institute of Technology (MIT) l’a fait. En 1998, le physicien américain Neil Gershenfeld met en place un cours intitulé « Comment fabriquer (à peu près) n’importe quoi », comportant des séances sur la conception de prototypes pour aider les élèves à mener à bien leurs projets d’étude. Ils disposent pour cela de toute la panoplie des moyens de fabrication numérique, et en particulier des machines-outils assistées par ordinateur : imprimante 3D — c’est-à-dire une machine numérique qui, en appliquant des couches de plastique les unes sur les autres, transforme un fichier en un objet bien réel —, découpeuse laser capable de trancher le bois ou le fer, fraiseuse numérique, etc. Les étudiants adorent, au point de revenir pendant leur temps libre traîner leurs baskets dans le laboratoire pour y concrétiser leurs envies. Créer plutôt que consommer L’imprimante qui s’imprime elle-même M.
Makers France | HackerSpaces et TechShop en France Makers (1/2) : Faire société “We are all makers” (Nous sommes tous des artisans). Le credo de Dale Dougherty, fondateur de Make Magazine et de Maker Faire, le plus grand événement dédié au mouvement “makers”, est en passe de devenir le nom de référence d’une communauté extrêmement diverse et dynamique, en pleine expansion. Derrière ce sigle rassembleur, inventé par Make Magazine il y a plus de 10 ans au sein même d’O’Reilly Media, géant de l’édition orientée techno fondée par Tim O’Reilly l’un des gourous de l’internet à l’origine du concept de Web 2.0, on trouve une idée clé : il faut encourager la créativité individuelle car elle est porteuse de plus de conscience et responsabilité sociale, comme l’exprimait Dale Dougherty sur la scène de TED. Profitant de la vague du DIY (Do it yourself, pour “Fais le toi-même !”) Qui sont les makers ? La place particulière de San Francisco dans ce monde des makers est peut être à trouver dans le fait que les gens, ici, ont eu le talent d’initier le réseau. Image : Noisebridge.
Fab Lab fabulous !* Les 7, 8 et 9 décembre derniers, l’association S[cube], qui a vocation à diffuser la culture scientifique en Ile-de-France Sud, organisait « Agora 4.0 ». Retour sur un événement original et surprenant. « Agora 4.0 » proposait de faciliter les discussions et les découvertes par l’utilisation d’outils numériques. Le public était invité à rencontrer des scientifiques, des artistes, et des designers autour du thème du « temps », problématique phare de S[cube] pour l’année 2012. Plusieurs types d’animations étaient proposées aux visiteurs. « Fab… quoi », direz-vous peut-être ? Dans le Fab Lab d’Agora 4.0, un petit groupe s’est constitué mêlant professionnels aguerris, étudiants, et curieux. On se lance, on observe, on bidouille, on discute et surtout on partage. * Fab Lab fabuleux* Jonathan et Guillaume sont employés par l’entreprise Nod-A qui co-organisait l’atelier avec S[cube]
Maker culture The maker culture is a contemporary culture or subculture representing a technology-based extension of DIY culture. Typical interests enjoyed by the maker culture include engineering-oriented pursuits such as electronics, robotics, 3-D printing, and the use of CNC tools, as well as more traditional activities such as metalworking, woodworking, and traditional arts and crafts. The subculture stresses new and unique applications of technologies, and encourages invention and prototyping.[1] There is a strong focus on using and learning practical skills and applying them creatively. Philosophical emphasis[edit] 'Maker culture' emphasizes learning-through-doing (constructivism) in a social environment. Hackerspaces and Fab Labs[edit] Media[edit] Maker Faire[edit] Criticisms[edit] A number of criticisms have been levelled against the claim that maker culture offers an innovative model of learning. Everything old is new again[edit] Hobbyists have made custom things for a long time. See also[edit]
Do-It-YourSciences Bienvenue sur la plateforme de partage de briolages scientifiques Do-it-Yoursciences. Cette plateforme a été développée par la fondation Juvene en collaboration avec l'Espace des inventions. Do-it-yoursciences est un projet collaboratif qui vous permet de consulter et télécharger des modes d'emploi de bricolages à caractère scientifique, les commenter et publier vos propres propositions. Les bricolages proposés ne sont pas de simples expériences, mais permettent de créer des objets fonctionnels.
Lui, président, implantera-t-il des fab labs ? Ce matin, une réunion a eu lieu au cabinet de la ministre déléguée aux PME, à l’Innovation et à l’Économie numérique sur les fab labs. Une rencontre motivée par le passage du DG de TechShop, une chaine d’ateliers géants pour bricoleurs pointus américaine, la version lucrative des fab labs. Selon nos informations, des TechShops ouvriraient à Paris, Londres, Milan. Jean, nouvel utilisateur du Fac Lab, le fab lab de l'Université de Cergy basé à Gennevilliers, fabrique une sculpture en bois (inspiré d'une oeuvre de George W Hart) avec la découpe laser . Enfin ! Intitulé “Développement des fab labs en France”, le séminaire avait surtout pour but de présenter deux visions de la fabrication personnelle, entre gros sous et visées moins directement lucratives. Fabien Eychenne de la Fing a d’abord présenté les fab labs, puis Emmanuelle Roux et Laurent Ricard ont exposé un cas concret avec leur FacLab, premier fab lab porté en France par une université. Success story Build your dream here.
MAKERS MakerBox présenté par Usbek & Rica The project Does the Fab Lab trend attract you as much as it confuses you ? Or - if you’re already a maker - are you having trouble to explain your friends and relatives what your job consists in and how you belong to a movement which endeavours to change society? Here at Usbek & Rica, we’re convinced that the Maker Movement holds the promise of a better future. That is why we designed the MakerBox, a gift pack that’ll allow everyone to step into a fabrication workshop. CC-BY-SA // P2P Food Lab With the financial crisis, the collapse in purchasing power and the environmental scandals, our economic, social and cultural development model seems to have reached its limits. It is high time we could all join the Maker movement ! The existing initiatives are unfortunately too scattered and unclear to have much of a powerful impact. The Maker movement is like teenage sex : everybody talks about it but no one’s actually really doing it. Jérôme Ruskin Matthieu Vergote Christopher Santerre Why fund it?
Wurfing 13 FabLab La Maker Faire, le rendez-vous des créateurs de l'extrême | Makers | Tracks | Culture #Psychovinyle #Trackshare #Replay Bricoler en ville, c’est maintenant possible BIDOUILLE Envie de passer vos week-ends à faire quelque chose de vos mains, les espaces de bricolage en libre-service sont là pour vous... Aude Massiot Publié le Mis à jour le Avis aux bricoleurs du dimanche qui, coincés dans leur 30m², rêvent de se fabriquer une nouvelle table de chevet, sur leur temps libre. Alors que le mouvement des makers et des fab lab prend de l’ampleur et qu’il devient à portée de tous de construire son prototype de robot par imprimante 3D. C’est toujours un casse-tête de trouver un lieu où, simplement, réparer une étagère cassée ou un sac troué. Avec la folie créatrice provoquée par le phénomène du Do It Yourself (DIY), la demande pour des espaces de bricolage en libre-service s’est faite plus pressante. >> A lire aussi : Le do-it-yourself s’invite dans toutes les penderies Carole frotte un morceau de bois sur une feuille géante de papier à poncer. Prôner l’autoformation Laurence Souriceau est la première à avoir investi le concept. Mots-clés :
Les fab labs en route vers le Grand Soir Le Parti communiste français met le nez dans les fab labs. Avec comme une vieille envie de se remuer un peu le logiciel. Et convoque Sabine Blanc pour déminer le terrain de la valeur d'usage du DIY et de ces nouveaux moyens de production. Gonzostory entre quatre murs ambiance Paco Rabanne. Celui de la déco 70's, pas de la fin du monde. Conférence de Sabine Blanc sur les Fab Labs au siège du PCF à Paris, le 2 décembre 2012. - cc Ophelia Noor/Loguy (logo via le site officiel des fablab du MIT) Si le PC vous auditionne aujourd’hui sur les fab labs, c’est d’abord parce que Yann Le Pollotec n’a pas arrêté de nous faire chier. Hier, j’ai passé trois bonnes heures devant une poignée de membres du Parti communiste français, dont quelques cadres, pour leur expliquer en quoi consistait les fab labs, ces espaces collaboratifs de prototypage rapide nés au MIT qui font fantasmer aussi bien à droite qu’à gauche en raison de leurs supposées vertus à répondre aux défis posés par les crises actuelles.