Interview : un prof se fait passer pour un élève sur Facebook L’histoire a été relayée par quelques médias généralistes, mais elle mérite qu’on s’y attarde. Un enseignant a décidé de s’immerger dans le quotidien de ses élèves en se faisant passer pour l’un d’entre-eux sur Facebook. Une expérience étonnante qui montre que chez les plus jeunes, le concept d’identité numérique a encore quelques progrès à faire (chez les moins jeunes aussi d’ailleurs). Si certaines réponses peuvent surprendre, n’oublions pas qu’il n’est pas un professionnel du web, mais un enseignant ! Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter ? J’ai 51 ans, je suis professeur d’économie gestion dans un lycée professionnel. Pour résumer, vous vous êtes fait passer pour un lycéen sur Facebook. Au départ, je voulais m’inscrire sur Facebook simplement pour voir ce qui s’y passait par curiosité. Quelle était votre identité fictive auprès de vos élèves ? Bob Issand en référence à Bobby Sands. N’avez-vous pas l’impression de les avoir trompé en agissant de la sorte.
Evaluer la validité des informations tirées du web Auteurs: Commission du français et de l'Informatique de la FESeC Ces pages n’ont pas la prétention d’être LA solution définitive au problème du choix de l’information issue du web ; tout au plus se veulent-elles être un vade-mecum qui peut aider les élèves de l’enseignement secondaire à affiner l’acquisition du sens critique en l'exerçant sur des sources dont le support , encore mal connu, pose pas mal de problèmes. L'absence de contrainte éditoriale sur le réseau Internet, et la possibilité pour chacun d'y déposer une information dont il est seul garant, peuvent présenter certains risques quant à la valeur de vérité de l'information repérée. Il importe donc de bien vérifier la fiabilité et la validité d'une information, avant de la citer ou de la diffuser. Evaluation L'information fait partie d'un site dont la qualité devra être évaluée. Une sitographie exhaustive reprend l'ensemble des références utilisées pour élaborer ce site. F. fernand.berten@planetinternet.be
Chercher pour trouver 1996-2011 Responsable du site : Audrey Laplante, professeure adjointe École de bibliothéconomie et des sciences de l'information (EBSI), Université de MontréalConception et réalisation originale : Hélène Guertin et al.MBSI, professeure, Collège de Maisonneuve (1974-2002)avec la collaboration de Paulette Bernhard, professeure honoraire, École de bibliothéconomie et des sciences de l'information (EBSI), Université de Montréal. Tous droits réservés © 1996-2011 Hélène Guertin et al. | Documents consultésAvertissement : Les textes sur ce site présentent les idées des auteurs et en aucun cas une position officielle de l'école ou de l'université. L'utilisation du genre masculin a été adoptée afin de faciliter la lecture et n'a aucune intention discriminatoire. Form@net : Scénarios pour développer les compétences informationnelles (Québec / France)
Les 6 étapes d'un projet de recherche d'information (1996-2011) - Pédagogie du projet Démarche adaptée et mise à jour par Hélène Guertin avec la collaboration de Paulette Bernhard, professeure honoraire, École de bibliothéconomie et des sciences de l'information (EBSI), Université de Montréal, Québec, à partir de l'ouvrage La recherche d'information à l'école secondaire : l'enseignant et le bibliothécaire, partenaires de l'élève (1997) - Crédits Note : Le travail d'élaboration de la démarche a bénéficié de l'accès privilégié au document de travail daté de 1996, obtenu avec la permission de Yves Léveillé, dont le titre provisoire était La recherche d'information à l'école secondaire : un projet de recherche d'information en six étapes. La présente version remaniée (2005) respecte l'esprit du document : Les compétences transversales dans Programme de formation de l'école québécoise, enseignement secondaire (2004), ministère de l'Éducation du Québec. Autres modèles du processus de recherche d'information (site Form@net)
Unité régionale de formation et de promotion pour l'information scientifique et technique (URFIST) Vous êtes personnel ou usager de l’une des universités de Bretagne et des Pays de la Loire… Vous souhaitez être mieux formé à la recherche et aux usages de l’information numérique ? Avoir une meilleure connaissance des ressources électroniques ? Vous voulez en savoir plus sur les outils, applications, pratiques d’Internet, sur les modalités actuelles de la diffusion de l’information scientifique ? Vous pouvez bénéficier des formations de l’URFIST L’URFIST de Rennes est un service commun de l’Université Rennes 2, elle dessert les universités des régions Bretagne et Pays de la Loire et a pour mission de développer dans l'enseignement supérieur l'usage et la maîtrise de l'information scientifique ainsi que des ressources numériques. Pour en savoir plus, consultez le site de l’URFIST :
De la page au site Quitter la page web... Comment faire en sorte que les élèves quittent momentanément la page et considèrent l’intention de la publication ? Il nous faut conduire les élèves à explorer le paratexte [1] [2] car il est indispensable à la compréhension et à la validation des informations d’une page web.La lecture hypertextuelle peut ici constituer un obstacle dans la mesure ou elle ne favorise pas la clôture du texte (où est le texte ? où est le titre ? Les premières tentatives Pour sensibiliser les élèves nous les avons d’abord confrontés à des sites fantaisistes ou parodiques (Dhmo.org, Désencylopédie, Scientists of America, etc.). De le cadre d’un scénario, quelles contraintes imaginer pour qu’une enquête autour de la source devienne indispensable ? Partir de la notion d’invalidité (contrairement à ce que nous avions l’habitude de faire) s’est avéré une contrainte suffisante pour forcer l’examen que nous attendions. Une progression Déroulement La contrainte par la preuve Une équipe dynamique 1.
La boîte à lire Anne Rabeau est professeur documentaliste au Lycée professionnel Emile Combes à Bègles en Gironde, académie de Bordeaux. Une boîte à lire pour toute la communauté scolaire La boîte à lire donne à chacun la possibilité d'y déposer un livre avec l'intention de faire partager à d'autres le plaisir de sa lecture ou de prendre l'un de ceux déjà en place. Chacun peut s'y servir pour découvrir une œuvre ou un auteur. Des boîtes à lire sont installées dans différents quartiers de nombreuses villes de France. Cette action s'inscrit dans le phénomène mondial de bookcrossing : le concept consiste à faire circuler des livres en les "libérant" dans la nature pour qu'ils puissent être retrouvés et lus par d'autres personnes, qui les relâcheront à leur tour, via une base sur internet. La boîte à lire que j'ai proposé d'installer dans mon établissement est une table de nuit customisée. L'expérience proposée s'inscrit dans la démarche Agenda 21 du lycée. Retour sur expérience
43 outils didactiques à votre portée 17 avril 2011 Henri Boudreault Didactique professionnelle, Environnement didactique, Instruments didactiques, Le contexte J’ai produit, avec mon centre de recherche, depuis 25 ans des centaines d’environnements de formation. Au fur et à mesure de ces conceptions, j’en suis arrivé à identifier un certain nombre d’instruments ayant des fonctions très spécifiques dans le cadre d’une formation-action axée sur le développement de compétences professionnelles. Je vous présente ici 43 instruments didactiques simples à produire où chacun de ces outils est lié à une intention didactique précise. J’ai pu constater que la valeur d’un instrument didactique ne se mesure pas à son originalité, à sa technologie ou à son prix, mais plutôt à son efficacité à produire des actions mentales associées à la compréhension, au raisonnement, à l’inférence, à l’analyse à la prise de décision. Outils 43 outils FPT.pdf Like this: J'aime chargement…
De l’identité à la présence numérique Quelles notions enseigner quand on enseigne l’identité numérique ? Comment faire pour, une fois le discours légitime des dangers d’Internet énoncé, aller au-delà et apprendre aux élèves à évoluer dans cet espace médiatique en exerçant une présence numérique assumée ? Comment conduire les élèves à l’acquisition d’une véritable culture informationnelle dont les objectifs sont de réussir à Réaliser, Réfléchir et Résister dans le contexte du numérique ? La lecture des travaux de Louise Merzeau[1] a été pour moi éclairante. Toutes nos activités sur le web laissent des traces, on parle aussi de traçabilité de l’individu qui est devenu une collection de traces. Par ailleurs, ces traces sont combinables par les grandes firmes : les données stockées, dupliquées, croisées par elles, forment alors des métadonnées qui permettent de profiler l’individu, on parle de redocumentarisation de l’individu. Pour exemple, avec la géolocalisation : Autre exemple, celui d’une recherche sur Google :