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Définition d'un projet

Définition d'un projet
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Le kit « Facile à lire » Un kit constitué par Bibliopass pour Livre et lecture en Bretagne, qui comprend : Des critères de repérageUne sélection de 100 titres critérisésDes suggestions pour la mise en espaceDes documents-ressources sur le sujet Le livret n°2 « Facile à lire » a été réalisé par Bibliopass en mars 2016 : Deux ans après la parution du premier livret qui a servi de base à plusieurs Espaces « facile à lire » en Bretagne, il a semblé utile d’offrir aux bibliothécaires et à leurs partenaires engagés dans cette démarche un outil mis à jour, avec des nouveautés parues en 2015 et 2016. Consulter le livret n°2 sur le blog de Bibliopass Quelle place pour l’action culturelle en bibliothèque? La place de l’animation en bibliothèque me semble fragilisée par la démultiplication de l’offre culturelle. En effet depuis quelques années, le nombres d’activités culturelles, de festivals, de lieux de spectacles a considérablement augmenté. Ces propositions sont issues à la fois de la sphère privé (librairies, grandes enseignes, magasins de loisirs, …) ou de la sphère publique (théâtres, centres culturels, associations, médiathèques, scènes de musique actuelle, musées, …). Le citoyen se trouve confronté à une offre sans cesse croissante et dont les différences sont floues. Dès lors, je m’interroge sur quelle place pourra occuper les bibliothèques dans un univers concurrentiel où elles ne peuvent rivaliser ni en terme des contenus ni en terme de publicité à cause des faibles budgets dont elles disposent. L’enjeu est selon moi d’élargir les modalités de l’action culturelle afin de favoriser la participation de tous les publics. Est-ce que vous percevez d’autres pistes? WordPress: Connexe

Facile à lire Vers des espaces « Facile à lire » dans les bibliothèques bretonnes : la démarche de Livre et lecture en Bretagne Livre et lecture en Bretagne, dans le cadre de la mission sur les publics éloignés du livre et de la lecture, a impulsé une démarche autour du « facile à lire » dans les bibliothèques bretonnes. Née de la volonté de s’adresser à tous les publics en difficulté avec l’écrit, cette démarche se situe d’abord dans le champ de la prévention de l’illettrisme. Après avoir rassemblé les acteurs une première fois en janvier 2013, Livre et lecture en Bretagne s’est rapproché de la structure Bibliopass pour travailler sur cette question, et constituer un kit « facile à lire ». La suite de la démarche consiste à mobiliser les bibliothèques bretonnes intéressées par cette question et les aider à mettre en place des espaces « facile à lire » au sein de leur structure. Qu’est-ce que le « facile à lire » ? Les espaces « Facile à lire » Le kit « Facile à lire » Bibliographie

Facile à lire L’étiquette « facile à lire et à comprendre » (FALC) est attribuée à des documents répondant à un certain nombre de recommandations, destinées à rendre accessible à tous l’information que nul n’est censé ignorer. Le projet s’est développé au niveau européen à partir du travail d’un groupe intitulé « Vers une formation continue pour les personnes handicapées intellectuelles ». Il était d’abord destiné à ce public, mais les préconisations retenues sont utiles à tous, dans tous les outils de communication. Celles-ci concernent aussi bien la syntaxe, le vocabulaire, que la mise en page. Des outils d’apprentissage adaptés Les bibliothèques ont dans ce domaine une expérience ancienne et une approche variée, notamment parce qu’elles proposent depuis longtemps, dans les espaces d’autoformation, des ouvrages – des romans surtout, mais aussi des documentaires – écrits dans un langage simple. Une démarche inclusive

17e Assises du livre numérique : le livre rencontre le World Wide Web Consortium Chris RubberDragon, CC BY SA 2.0 La nouvelle a fait du bruit dans le monde du livre numérique : en mai 2016, le World Wide Web Consortium (W3C), chargé de superviser le développement des standards du Web, et l’IDPF (International Digital Publishing Forum), à l’origine du format de livre numérique EPUB, ont annoncé par voie de communiqué resserrer un peu plus leurs liens dans le but de faire de l’IDPF une branche du W3C. L’objectif étant de rapprocher les deux organisations en janvier 2017. À la lumière de témoignages d’acteurs de premier plan de la chaîne du livre et des institutions du web, français et étrangers, les Assises du Livre numérique du SNE font le point sur les enjeux de cette alliance du web et des livres. Les Assises du livre numérique sont un lieu de débat, de pédagogie et de prospective sur le développement numérique dans le domaine de l’édition. Les places étant limitées, il est préférable de s’inscrire, à cette adresse.

Livre numérique : Prêt Numérique en Bibliothèque (PNB), c’est parti! PNB (Prêt Numérique en Bibliothèque) fait partie de ces projets très attendus dans le monde du livre. Faciliter le prêt des ebooks en bibliothèque en impliquant les libraires est un axe essentiel pour développer la lecture numérique auprès du grand public. Après plusieurs mois de travail, les différents acteurs ayant œuvré sur ce dossier ont réussi à concevoir un process qui semble fluide et atteignable pour les bibliothèques.Le libraire Feedbooks s’en fait l’écho et a ouvert mercredi un portail regroupant l’intégralité de l’offre à date, à destination des établissements (Gallimard, Flammarion, La Martinière). PNB, comment ça marche ? A propos de PNB, Vincent Marty, DG de Dilicom a déclaré : «Il nous a paru nécessaire que les libraires, partenaires naturels des bibliothèques et des éditeurs, restent impliqués dans le développement de la lecture publique. Petit focus sur les prix Le livre numérique susmentionné est vendu au particulier au format Kindle sur Amazon 7.99€.

Droit d'auteur : la directive européenne, “c’est open-bar pour les industries culturelles” Ce 14 septembre sera-t-il à marquer d’une pierre noire, blanche, grise, ou à jeter à la poubelle ? La question n’a pas fini de se poser : le projet de directive modifiant le droit d’auteur, qu’a présenté la Commission européenne a fait l’unanimité... contre lui. Reste à savoir ce que le Parlement en fera... Peter Gordon, CC BY 2.0 Par Neil Jomunsi Les nuages s’assombrissent au-dessus de nos têtes connectées. Pourquoi cocasse ? Fous que nous étions de penser que la Commission ferait preuve d’ouverture d’esprit et/ou d’esprit d’aventure : on peine à croire que la proposition de directive de la Commission est née de la discussion autour du rapport Reda tant elle s’en éloigne, tant elle en est la presque antithèse. Bien sûr, on donne quelques miettes aux artistes pour faire bonne mesure. Alors, en vrac : aucune avancée sur la liberté de panorama, pourtant un gros sujet dans les discussions, et grand motif de crainte de la part des artistes plasticiens.

La directive Droit d'auteur généralise l'opt-out pour les oeuvres indisponibles Eoghan OLionnain, CC BY SA 2.0 Présenté ce 14 septembre, le projet de réforme laisse encore des zones d’ombres, bien que le ministère de la Culture se félicite de ce que la négociation a pu apporter. La ministre Audrey Azoulay et Harlem Desir, secrétaire d’État aux affaires européennes, soulignent que « l’enjeu essentiel du partage de la valeur entre les créateurs et les intermédiaires » a été respecté. Toutefois, « le diagnostic pertinent » de la Commission implique « une réponse plus concrète et plus ambitieuse ». Il se trouverait toutefois là l’opportunité d’en finir avec « une situation profondément inéquitable et destructrice de valeur ». Quant aux exceptions au droit d'auteur, on demande « des améliorations et des clarifications pour mieux prendre en compte les intérêts légitimes des secteurs concernés ». ReLIRE, toujours en manque de légitimité Pourquoi cet exemple précisément ? Opt-out dans tous les cas, les auteurs sont perdants

Piratage, rémunération, exception : le droit d'auteur examiné à l'Assemblée L'Assemblée nationale (ActuaLitté, CC BY SA 2.0) Le document communiqué aux députés porte sur les propositions de la CE relatives au droit d’auteur. Il sera par la suite discuté ce jour à 17 h. Dans les grandes lignes, rien de très étonnant : on y rappelle notamment l’important d’une stratégie pour un marché unique, « en accord avec la stratégie de l’Europe en faveur de la croissance ». De même, ce marché unique numérique « ne peut se faire sans que ne soient affirmés et réalisés le droit des créateurs à une juste rémunération et la préservation de la diversité culturelle européenne ». Dans la continuité, les exceptions ne peuvent être rendues obligatoires qu’à condition d’être « justifiées par des usages transfrontières ou une valeur ajoutée significative à l’échelle continentale ». Exceptions au droit d'auteur “adéquates et proportionnées” Europe : ce que pensent les auteurs de la directive droit d'auteur Enfin, quatre demandes font écho aux attentes des ayants droit :

Code de déontologie du bibliothécaire mise à jour le 28 novembre 2016 En novembre 2003, la question de la déontologie du métier est au cœur des préoccupations du bureau national de l’ABF. C’est dire l’importance du code ici présenté : il vient enfin compléter pour la France, un ensemble qui, au niveau international, vise à définir en quelque sorte les droits et devoirs des bibliothécaires dans le monde. Le code de déontologie du bibliothécaire concerne tous les types de bibliothèques, publiques ou privées recevant du public. Il s’adresse à tous métiers des bibliothèques quels que soient les spécificités, les statuts ou la place dans la hiérarchie. Il est destiné à inspirer les bibliothécaires dans leur action quotidienne aussi bien que dans leur action générale. Code de déontologie du bibliothécaire adopté lors du conseil national de l’Association des bibliothécaires français le 23 mars 2003 1. l’usager Le bibliothécaire est d’abord au service des usagers de la bibliothèque. Code de déontologie

La politique d'acquisition en 12 points Mise à jour le 08 août 2019 Mieux vaut prévenir que guérir : affirmer une politique d’acquisition n’est pas un acte circonstanciel, mais participe d’une exigence de professionnalisation. Sans perdre leur subjectivité, les bibliothécaires doivent démontrer que les achats qu’ils effectuent sont issus d’une réflexion collective qui ne se limite pas à leur conviction personnelle ou à la pression des utilisateurs ; leurs sélections ne sont pas un acte de censure (décision délibérée d’écarter des documents) mais un choix (décision positive d’inclure dans les collections des documents en conciliant qualité, diversité, adéquation aux besoins des publics et cohérence des fonds). 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. Conclusion Ajoutons un impératif procédural : il est très important que chaque bibliothèque porte par écrit ses réflexions, ses arbitrages, mais aussi ses commandes, et il faut aussi soigneusement garder la trace de tous ces éléments.

Projet de loi de finances 2017 : la lecture publique au coeur de l'action culturelle EXCLUSIF – La lecture publique est au cœur du rapport présenté par Marie-George Buffet dans le cadre du Projet de loi de Finances pour 2017. Le tout est présenté sous un titre très fort : « Pour un renouveau des politiques en faveur de la lecture publique. » ActuaLitté a pu consulter le document et en dévoile l'ensemble des axes. ActuaLitté CC BY SA 2.0 Avec 2,5 millions de personnes en situation d’illettrisme en France, l’encouragement à la lecture publique devient un « outil essentiel pour prévenir les inégalités sociales et culturelles », explique le rapport. Plusieurs constats sont posés : depuis l’opération premières pages offrant des albums, l’inscription en bibliothèque, etc., jusqu’à l’analyse de l’association Lire et faire lire, pour qui 37 % des enfants ne savent pas lire en sortant du collège, la situation est tendue. 80,4 millions € reconduits pour 2017 dans la DGD Maillage territorial et accessibilité L'importance des contrats territoires lecture soulignée

YouScribe utilise CARE, la DRM “user-friendly” de TEA (Nick Carter, CC BY 2.0) TEA a une petite longueur d’avance : impliquée au sein de Readium, la filiale de l’IDPF chargée du développement d’une solution de lecture open source, la société française apporte ses compétences et ses observations, notamment sur le plan des DRM ou mesures techniques de protection. Ces dispositifs permettent aux vendeurs de garantir la sécurité — relative, malgré tout — des fichiers vendus aux lecteurs. Remontée contre les DRM Adobe, peu ergonomique, voire contre-productive, en matière de vente de livres numériques, TEA a été une des premières à concrétiser les spécificités du programme LCP de Readium, qui vise justement à développer une DRM plus ergonomique pour les lecteurs et les vendeurs. TEA annonce aujourd’hui l’adoption de cette solution de protection par la plateforme YouScribe, plus connue pour son offre d’abonnement de livres numériques en streaming. YouScribe adopte CARE, la DRM de TEA

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