"Chienne de guerre" ou quand les animaux tombaient sur les champs de bataille exposition Il n'y a pas que les hommes, les animaux aussi étaient mobilisés durant la Première Guerre Mondiale. Ils ont accompagné, soutenu, aidé les soldats sur le front. A Clermont-Ferrand, une exposition leur rend hommage jusqu'au 18 avril. Par Sandrine Montéro Publié le 09/04/2014 | 17:44, mis à jour le 09/04/2014 | 17:44 © France 3 Auvergne Des chevaux, des chiens ou des pigeons... L'Histoire, sans doute ingrate, les a presque oubliés... Ainsi, onze millions de chevaux ont été emportés entre 1914 et 1918. "L'idée, c'est de se mettre du côté des animaux pour essayer de voir ce qu'ils ont pu vivre", explique Eric Baratay, spécialiste de l'histoire des animaux. Des photographies, des archives filmées témoignent de cette histoire commune entre les hommes et les bêtes. "Chienne de Guerre" Voir le reportage de Brigitte Cante et Bintou Sidibe
L'Allemagne a remboursé ses dernières dettes datant de la 1ère Guerre mondiale Tout commence donc le 28 juin 1919. En signant ce jour-là, non sans protestation, le traité de paix, la jeune République de Weimar reconnaît la responsabilité principale de l'Allemagne dans le déclenchement de la première guerre mondiale et en accepte les conséquences : le paiement de réparations pour dommages de guerre. Quoique divisés sur le sujet, les alliés ont finalement accepté ce principe de la réparation financière à la responsabilité morale. C'est une victoire pour la France de Clemenceau. Le ministre des Finances de l'époque, Louis Lucien Klotz, se félicite : " les contribuables n'ont pas à s'inquiéter, l'Allemagne paiera ". Avant 1929, la France aligne les excédents budgétaires grâce à l'Allemagne Pourtant, à peine fixées, ces conditions sont déjà impraticables : l'Allemagne est ruinée et dépourvue de réserves d'or et de devises. Mais cette prospérité dure peu. En 1932, les alliés renoncent à toute indemnité de guerre La vie du plan Young sera pourtant éphémère.
Retracer le parcours d’un militaire pendant la Première Guerre Mondiale Article mis à jour le 07/11/2015 La Première Guerre Mondiale a été une terrible épreuve qui a marqué la vie d’un grand nombre de nos ancêtres.Retracer le parcours de nos ancêtres pendant la Grande Guerre, savoir ce qu’ils ont vécu, c’est une manière de leur rendre hommage et d’honorer leur mémoire. Voici les pistes que j’ai suivies pour retracer le parcours de mes ancêtres pendant la Première Guerre Mondiale. 1. La Première Guerre Mondiale est encore assez proche dans les esprits, et même si tous les combattants ont aujourd’hui disparu, la mémoire familiale n’aura pas oublié certains faits marquants de leur parcours. Cette étape peut certes sembler évidente. Outre les souvenirs de chacun, il peut nous arriver de négliger toutes les informations contenues dans les archives familiales : les lettres, les cartes postales, les carnets, etc. 2. Bien sûr, la mémoire familiale peut être aidée des photos de famille. Mon arrière-grand-père pendant sa captivité en Allemagne 3. 4. 5. 6. 7. 8. Elise
Grande Guerre : plongée dans l'enfer des tranchées C'est un des éléments les plus emblématiques de la première guerre mondiale (1914-1918). Les tranchées, creusées dès les premiers mois du conflit, ont abrité les combattants pendant près de quatre ans. Comment les soldats ont-ils tenu dans la boue, le froid, avec parfois la faim au ventre et la menace perpétuelle d'une attaque ennemie ? Des sacs de sable et des barbelés composent les tranchées de première ligne, où l'on peut se tenir debout, tirer sur l'ennemi et passer à l'attaque. Le poilu vit ainsi en alternance, entre les lignes, sans répit, sous le feu de l'ennemi.
La Grande Guerre sur grand écran / Cinéma - Multimédia 1914-1918 : légitimer. La production contemporaine de la guerre est patriotique, abondante et variée : bandes d'actualité, documentaires, films de guerre, films comiques comme Charlot soldat. Dans les pays belligérants, les films de guerre sont cocardiers. Ils déforment la réalité des tranchées pour mieux légitimer le bien-fondé du conflit. Citons Vendémiaire de Louis Feuillade (1918) ou Mères françaises de Louis Mercanton (1917) avec Sarah Bernhardt, jamais revu depuis sa sortie et restauré récemment. L'entre-deux-guerres : dénoncer. À l'inverse, le cinéma des années 1920-1930 veut rendre la guerre plus réaliste, afin de mieux la dénoncer. Années 1950 : transgresser. Les Sentiers de la gloire de Stanley Kubrick (1957) avec Kirk Douglas, autre film charnière, ouvre la voie de la transgression avec un sujet brûlant : l'abus de pouvoir et la question des « fusillés pour l'exemple ». Années 1990 et suivantes : commémorer.
Auschwitz : les derniers survivants des camps de la mort livrent leurs souvenirs Lorsque son regard s'arrête sur les portraits de ses parents et de ses soeurs tués par les nazis, Szmul Icek se met à frémir. Son corps tremble, ses yeux s'embuent 75 ans encore après avoir, lui, réchappé à l'enfer d'Auschwitz. Au cours des dernières semaines, l'AFP s'est entretenue avec une dizaine de survivants du plus notoire des camps d'extermination nazis où furent assassinés plus d'un million de Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Trois quarts de siècle après la libération d'Auschwitz, camp situé en Pologne alors sous occupation allemande, les derniers survivants vivent avec la marque physique et mentale de leur numéro de matricule buriné sur leur avant-bras gauche. Au fil des décennies, l'encre s'est atténuée, leur peau s'est rabougrie. Certains survivants ont appris leur histoire par coeur pour devenir une mémoire vivante, multipliant les conférences et les voyages sur les lieux du génocide. "Les deux soeurs, pour sauver la famille, se sont présentées. La séparation Témoigner
La vie à Paris pendant la Première Guerre Mondiale - Photos de Fluctuat A l’occasion du centenaire de la Grande Guerre, la Galerie des Bibliothèques de la Ville de Paris accueille une collection de photographies nous dévoilant le quotidien des parisiens pendant le premier conflit mondial. La guerre de 1914-1918 a plutôt épargné Paris. Pendant que la bataille de la Marne faisait rage, la capitale n’entendait que le bruit lointain des combats, qui n’ont jamais franchi ses portes. La guerre se manifestait pourtant de diverses manières : bombardements, retour des blessés en provenance du front, privations sporadiques. Méticuleux, Lansiaux a précisément daté chaque cliché, lui associant un commentaire précis permettant de bien contextualiser l’image. Les photos de Charles Lansiaux nous montre un Paris aux rues désertées par les voitures mais aux gares bondées et animées par le rythme "des départs des mobilisés et des retours des permissionnaires et des blessés", précise Emmanuelle Toulet, la commissaire de l’exposition, dans la présentation vidéo. Edouard Orozco
Des dizaines de milliers de tombes de poilus menacées de disparition Le Monde | • Mis à jour le | Par Benoît Hopquin C’est à la fois un devoir de mémoire et un travail de bénédictin qu’a entrepris Le Souvenir français. Dans une campagne lancée cet automne, l’association entend recenser les tombes des soldats morts en 1914-1918 et dispersés dans les cimetières des 36 000 communes françaises. Il y a urgence, alors que la France célèbre le centenaire de la première guerre mondiale : nombre de sépultures sont menacées de disparaître, quand elles n’ont pas déjà disparu, faute d’entretien et d’héritiers pour en assurer la pérennité. Le Souvenir français, dont l’appellation désuète remonte à sa création en 1887, est méconnu mais fort de 190 000 adhérents et 1 750 comités locaux. « Le droit à une sépulture perpétuelle aux frais de l’Etat » Paradoxe de la Grande Guerre. Mais, très vite, une protestation devait s’élever contre ce traitement dégradant. Un avertissement sur la stèle « Un élément de mémoire qui rassemble »
La Première Guerre mondiale, une histoire de famille ! - Histoires d'Histoire Durant la Première Guerre mondiale, la plupart des chefs d'État des pays belligérants étaient de la même famille ! En effet, George V Roi d'Angleterre, Nicolas II Tsar de Russie et Guillaume II Empereur d'Allemagne avaient tous un lien de parenté : ils étaient cousins. George V était le petit-fils de la reine Victoria et du prince Albert. La mère de Guillaume II, la Kaiserin Victoria, était la fille du prince consort Albert de Saxe-Cobourg-Gotha et de la reine Victoria (donc la tante de George V). Ils étaient donc cousins germains. Les deux cousins, petits-fils de la reine Victoria, se ressemblent comme deux gouttes d'eau Leur parenté avec le Tsar de Russie remonte un peu plus loin… Nicolas II était fils d'Alexandre III et de Marie Feodorovna, fille de Christian IX roi du Danemark. La reine Victoria étant elle-même arrière-arrière-petite-fille de Georges II d'Angleterre…
Les photographies du quotidien Excelsior Créé en 1910, Excelsior est un des premiers quotidiens français illustré de photographies. En 1914, dès la déclaration de guerre, le journal se dote d’un staff de photographes et publie entre 20 et 30 photographies chaque jour. Sur le front, sous le contrôle du service de presse des armées ou, le plus souvent, à l'arrière, ces photojournalistes tiennent le journal en images de la Grande Guerre. Depuis la mobilisation générale, l'évacuation des gouvernements belges et français, l'arrivée des troupes étrangères, le travail des femmes, des enfants ou de la main d'œuvre coloniale dans les usines d'armement, les destructions, les procès pour trahison, les mouvements d'entraide ou les avancées de la médecine, jusqu’à la victoire et la signature du traité de Versailles en 1919, les photos, inédites depuis leur publication initiale, chroniquent les conséquences du conflit sur la vie des français. Excelsior cessera de paraître en 1940.
Des employés d'Hitler disent qu'ils ne savaient pas pour la Solution finale Selon une compilation de témoignages oculaires d’anciens employés de maison d’Adolf Hitler, les domestiques du dictateur n’étaient pas au courant des atrocités commises par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, dont le meurtre de 6 millions de juifs pendant la Shoah. Dans le livre Living with Hitlerd, publié en mai, trois anciens employés du Führer livrent leurs impressions sur la vie quotidienne à son service. Alors que de nombreux récits d’après-guerre portent sur des détails anodins comme le menu quotidien et la garde-robe d’Hitler, ces témoignages mettent en lumière la vie dans « la cage dorée du Berghof », la retraite alpine du Führer. De ses tentatives maladroites de se faire photographier avec des enfants allemands, au contrôle oppressant qu’il exerçait sur sa maîtresse, Eva Braun, Hitler et ses excentricités sont rappelés avec bienveillance. Recevez gratuitement notre édition quotidienne par mail pour ne rien manquer du meilleur de l’info Inscription gratuite ! M.
World War One Color Photos - Color Photos from World War I