Education for Death (Education à la mort) (1943) | Trésors Disney
Résumé L'histoire se focalise sur l'éducation d'un jeune allemand, Hans, embrigadé dans la doctrine nazie ("The Making of a Nazi", c'est à dire comme on fabrique un nazi). Au fil des années, le petit Hans devient peu à peu un soldat, recevant une "éducation à la mort" au cours de laquelle il apprend à devenir une machine sans "aucune graine de rire, d'espoir, de tolérance ou de pitié". Analyse Education for Death succède à Der Fuehrer's Face (sorti au début de l'année 1943) dans la série des courts métrages de propagande anti-nazie, série qui occupe les studios de la souris aux grandes oreilles pendant quasiment toute la période de la guerre, ce qui l'empêche d'ailleurs de sortir de grandes productions comme les longs métrages. Certaines productions comme Dumbo ou Fantasia ne rencontrent pas le succès espéré et mettent Walt Disney en difficulté sur le plan financier (Fantasia a ainsi coûté 4 fois le budget initial !). Ward Kimball réalise l'essentiel du travail d'animation.
Présentation huit intelligences selon Gardner
présentation Parmi les nombreuses grilles d'intelligences qui ont été élaborées, la théorie des Intelligences Multiples d'Howard Gardner a le mérite d'être particulièrement simple à comprendre (car parlant bien à l'intuition) et pratique à utiliser dans une quelconque situation d'apprentissage. Son succès dans le monde anglo-saxon depuis sa parution en 1983 a été considérable, en particulier dans les champs de l'éducation et de la formation permanente. Elle a fait l'objet de très nombreux livres d'application en langue anglaise. Selon Gardner, on peut distinguer huit intelligences : Les huit intelligences, selon Howard Gardner l'intelligence verbale / linguistique C'est la capacité à être sensible aux structures linguistiques sous toutes ses formes. l'intelligence visuelle / spatiale C'est la capacité à créer des images mentales, et à percevoir le monde visible avec précision dans ses trois dimensions. l'intelligence musicale / rythmique l'intelligence logique / mathématique
Le succès de Der Fuehrer’s Face | Les Studios Walt Disney
Le film Der Fuehrer’s Face est considéré comme l’un des plus grand court-métrage de propagande produit par les Studios Disney. La référence au régime nazi est très explicite dans ce film. Le dessin animé met en scène Donald Duck dans un cauchemar. Der Fuehrer’s Face : est sorti le 1er janvier 1943 et a été réalisé par Jack Kinney. Au début du film, nous retrouvons des officiers nazis en train de défiler, en fanfare. « Ven der Fuehrer says : » Ve iss der master race? Ven Herr Goebbels says : » ve own the world and space » Ve Heil ! Are we not the Supermen? Ist es not nazi land so gut? Ve bring the world new order. Ven der Fuehrer says : » Ve iss der Master race » Ve Hail ! Quand le Fuehrer dit : » Qui est la race supérieur? Quand Goebbel dit : » Le monde et l’espace nous appartiennent » Nous crions Heil ! Ne sommes nous pas des surhommes? Notre terre nazie n’est-telle pas si bien? On amène un nouvel ordre mondial. Ven the Fuehrer says : » Ve never will be slaves » We Heil ! Henri R.
Surréalisme
Les avant-gardes — partie I
À gauche : El Lissitzky, Battez les Blancs avec le triangle rouge, lithographie de 1920. À droite : Hans Vitus Vierthaler, affiche pour une exposition nazie sur l’« art dégénéré » (Entartete Kunst) en 1936. Certains passages sont extraits de mon article « Les avant-gardes et leur relation avec le pouvoir dans le champ du graphisme et de la typographie », paru dans Articulo - revue de sciences humaines, 3 | 2007, mis en ligne le 27 novembre 2007 Introduction Les premiers travaux et réflexions et que nous pouvons aujourd’hui qualifier de « graphiques » au sens contemporain du terme, coïncident avec la naissance des mouvements d’avant-garde de manière générale, et parmi ceux-ci, du mouvement futuriste en particulier, premier groupe à investir de manière nouvelle et synthétique les possibilités offertes par la typographie, la peinture, la photographie, etc. La formation de l’avant-garde L’avant-garde n’existe qu’à travers l’arrière-garde. À gauche : F.T.
Art Abstrait
Ce dossier s’inscrit dans une série: "Un mouvement, une période", qui sera régulièrement augmentée dans cette partie du site. Réalisés autour d’une sélection d’œuvres des principaux mouvements ou tendances représentés dans les collections du Musée national d’art moderne, ces dossiers s’adressent à tous ceux (enseignants ou responsables de groupe en particulier) qui souhaitent préparer leur visite au Musée. Leur objectif pédagogique est de faciliter l’approche et la compréhension de la création du 20e siècle. Ils ne constituent pas un cours mais proposent des points de repères et une base de travail. A chaque enseignant d’évaluer ses besoins et d’utiliser ce qui lui est nécessaire selon le niveau de sa classe. Au cours de la deuxième décennie du vingtième siècle, un tournant radical et déterminant s’opère en peinture, l’invention de l’abstraction. Vassily Kandinsky Moscou, 1866 – Neuilly-sur-Seine, 1944 Sans titre (Aquarelle), 1910? Mit dem schwarzen Bogen (Avec l’arc noir), 1912
La Mer (Jeux de vagues) de Claude Debussy : une palette de timbres pour dépeindre les vagues
Debussy donne à entendre une mer chahutée, tantôt en colère, tantôt espiègle, dont les innombrables vagues sont représentées par les différents instruments. Lorsque Debussy compose La Mer, dont sont issus ces Jeux de vagues, il est en vacances en Bourgogne… loin de la mer ! Il explique comment il peut composer cette œuvre en étant aussi loin de l'océan : « J'ai d'innombrables souvenirs ; cela vaut mieux à mon sens qu'une réalité dont le charme pèse généralement trop lourd sur votre pensée… ». La Mer (Jeux de vagues) (1903-1905) Claude Debussy (1862-1918) Extrait d'un concert enregistré à la Salle Pleyel le 27 septembre 2009 Valery Gergiev, direction London Symphony Orchestra Seules les premières minutes de l'œuvre sont jouées dans ce guide.
Edward Hopper
Exposition présentée au Grand Palais du 10 octobre 2012 au 28 janvier 2013 Les peintures d’Edward Hopper ont la simplicité trompeuse des mythes, l’évidence des images d’Epinal. Chacune d’elles est un condensé des savoirs hypothétiques, des rêves que nous inspire l’Amérique. Conçue chronologiquement, elle se compose de deux grandes parties : la première, consacrée aux années de formation, rapproche les œuvres de Hopper de celles de ses contemporains et de celles, découvertes à Paris, qui ont pu l’inspirer. Retrouvez tout l'univers de Edward Hopper sur votre tablette numérique en téléchargeant sur l'Appstore l'application pour iPad ou sur Google play, l'application pour Android. Commissaire Didier Ottinger, directeur adjoint du MNAM – Centre Pompidou