VertigO - la revue électronique en sciences de l'environnement 1992 Sommet de la Terre sur l'environnement et le développement France : des territoires en mutation Les dispositifs législatifs et réglementaires issus de la démarche du "Grenelle Environnement" (ou Grenelle de l'environnement, voir cette entrée du glossaire), dans la perspective d'une refondation de la "politique en faveur de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables", auront très certainement des impacts territoriaux à court et plus long terme. D'autant plus que, au delà du cadre institutionnel et de ses leviers incitatifs ou plus contraignants (fiscalité, réglementations, etc.), c'est une évolution générale des mentalités et des comportements individuels et collectifs qui est recherchée. La démarche du Grenelle Environnement et sa communication Rappelons qu'une première loi de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l'environnement ou loi "Grenelle 1", a été promulguée le 3 août 2009. Elle a fixé les grandes orientations de la France en matière de transport, d'énergie et d'habitat dans le souci de préserver l'environnement et le climat.
UNON United Nations Office at Nairobi Une recherche de cohérence - EduSCOL «L'éducation à l'environnement pour un développement durable doit être une composante importante de la formation initiale des élèves, dès leur plus jeune âge et tout le long de leur scolarité, pour leur permettre d'acquérir des connaissances et des méthodes nécessaires pour se situer dans leur environnement et y agir de manière responsable.» (circulaire n°2004-110 du 8 juillet 2004) L'environnement peut être défini comme «l'ensemble à un moment donné des aspects physiques, chimiques, biologiques et des facteurs sociaux et économiques susceptibles d'avoir un effet direct ou indirect, immédiat ou à terme, sur les êtres vivants et les activités humaines» (circulaire n°77-300 du 29 août 1977) Compte tenu de l'âge des élèves de l'école primaire, la priorité sera accordée à l'éducation à la composante environnementale prise dans un sens large comme l'y invite la définition ci-dessus. Ce concept conduit à prendre en compte trois perspectives : À titre d'exemple, quatre pôles sont proposés ici.
1987 Rapport Brundtland Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Rapport Brundtland, officiellement intitulé Notre avenir à tous (Our Common Future), est une publication rédigée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement de l'Organisation des Nations unies, présidée par la Norvégienne Gro Harlem Brundtland. Utilisé comme base au Sommet de la Terre de 1992, le rapport a popularisé l'expression de « développement durable » et a notamment apporté la définition communément admise du concept. Le rapport définit le concept ainsi : « Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. Depuis cette date, l'expression développement durable s'est répandue dans le monde entier. Historique[modifier | modifier le code] En 1973, la crise pétrolière fait prendre conscience du problème de l'épuisement des ressources. Développement durable ou soutenable ?
untitled Contact :Muriel Dagens, chargée de mission EDD, Direction de la pédagogiemuriel.dagens@ac-bordeaux.fr 05 57 57 87 46 Une nouvelle circulaire EDD du 4 février 2015 a été publiée dans le cadre du plan triennal 2015-2020; elle abroge les textes précédents. Lettre EDD n°13 sur COP 21 Paris-2015 Lettre EDD n°12 sur Sciences et EDD Changement climatique, l’académie de Bordeaux se mobilise ! Lancé depuis l’automne 2014, le projet Changement climatique, l’académie de Bordeaux se mobilise ! Un sommet de la Terre tous les 10 ans Neuf grands problèmes environnementaux cités dans l'avertissement lancé par les scientifiques à l'humanité en 1992. En rouge, leurs tendances temporelles depuis Rio et sur vingt-cinq ans. Seules les émissions de gaz halogénés appauvrissant la couche d'ozone stratosphérique ont été fortement réduites (fig. 1). Un sommet de la Terre est un terme générique servant à désigner les rencontres décennales entre dirigeants mondiaux, organisées depuis 1972 par l'ONU, ayant pour but de définir les moyens de stimuler le développement durable au niveau mondial. Preuve du développement d'une culture mondiale de respect de l'environnement, les sommets de la Terre présentent un enjeu symbolique important. Mode opératoire[modifier | modifier le code] Les pays signataires de ce type de traité organisent, une fois par an en général, une conférence des parties (CP, ou COP en anglais). Liste des sommets de la Terre[modifier | modifier le code] Conférence de Stockholm[modifier | modifier le code]
Convention sur la diversité biologique Partie à la conventionSigné mais pas ratifiéNon signataire La Convention sur la diversité biologique (CDB, ou convention de Rio) est un traité international adopté lors du sommet de la Terre à Rio de Janeiro en 1992, avec trois buts principaux[1] : La conservation de la biodiversité ;L’utilisation durable de ses éléments ;Le partage juste et équitable des avantages découlant de l'exploitation des ressources génétiques. Son objectif est de développer des stratégies nationales pour la conservation et l'utilisation durable de la diversité biologique. Dans un premier temps, les bureaux de la convention se trouvaient à Genève avant de déménager définitivement à Montréal. Elle a été ouverte aux signatures le 5 juin 1992 et est entrée en vigueur le 29 décembre 1993. L'accord couvre l'ensemble des écosystèmes, des espèces et des ressources génétiques. La Convention sur la Diversité Biologique s'appuie sur plusieurs mécanismes pour sa mise en œuvre[9] :
1988 Création du GIEC/IPCC Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) est un organisme intergouvernemental, ouvert à tous les pays membres de l'ONU. Il « a pour mission d’évaluer, sans parti-pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation. Il n’a pas pour mandat d’entreprendre des travaux de recherche ni de suivre l’évolution des variables climatologiques ou d’autres paramètres pertinents. Historique[modifier | modifier le code] Le météorologiste suédois Bert Bolin a joué un rôle important lors de sa création et l'a dirigé de 1988 à 1997[3]. Objectifs[modifier | modifier le code] Organisation[modifier | modifier le code]