Résistance à l'agression publicitaire VertigO - la revue électronique en sciences de l'environnement Liens L’expression "Il reste 40 ans de pétrole" est trompeuse. Elle tendrait à laisser croire que les problèmes de disponibilités en pétrole se poseront d’ici à 4 décennies. Or le phénomène de déplétion rend les réalités de la fin du pétrole bien différente, le pic de production arrivant rapidement, dans une dizaine d’années seulement. Comme le montre cette représentation très schématique, lorsque environ la moitié des réserves pétrolières est atteinte, le débit de la production diminue. Si la date exacte du pic est difficile à déterminer avec précision, nous sommes bel et bien entrés dans la zone de turbulence qui précède ce pic de production de pétrole et nous n’en sortirons plus. En quoi le pic de production de pétrole est il important ? Nous pensons que la diffusion d’une information la plus réaliste possible à un large public est de nature à enclencher une prise de conscience et une réflexion sur nos modes de vie actuels, en vue notamment d’imaginer des alternatives.
Prêt à jeter Mardi 24 janvier 2012 à 20h35 Un produit usé = un produit vendu ! Dans les années 1920, des industriels américains ont trouvé la formule magique pour soutenir la consommation : l’obsolescence programmée. Fini les bas en nylon qui résistent à tout et les ampoules qui durent cent ans, un bon produit est un produit jetable. Tourné aux quatre coins du monde, Prêt à Jeter est une enquête sur les bases de notre économie moderne - consommation, gaspillage et pollution. © Article Z Insolite :Prêt à jeter raconte également l’histoire de la Centennial Light. Dans une société où la croissance est tirée par la consommation, les produits durables sont une catastrophe ! Pour rentabiliser les machines et soutenir la consommation, on a contraint les ingénieurs à réduire la durée de vie des produits. "À l'époque, le développement durable n'était pas au centre des préoccupations", rappelle Warner Philips, arrière-petit-fils des fondateurs de la marque du même nom.
Portail:Environnement Problèmes pour faire un don? | Autres façons de donner | Foire aux questions | En donnant, vous acceptez notre politique de confidentialité du donateur. La Fondation Wikimédia est une organisation à but non lucratif, exonérée de taxes aux États-Unis.By donating, you are agreeing to our donor privacy policy and to sharing your information with the Wikimedia Foundation and its service providers in the U.S. and elsewhere. The Wikimedia Foundation is a nonprofit, tax-exempt organization.En faisant ce don, vous acceptez notre politique de confidentialité en matière de donation ainsi que de partager vos données personnelles avec la Fondation Wikimédia et ses prestataires de services situés aux Etats-Unis et ailleurs.*Les versements périodiques seront débités par la Fondation Wikimédia jusqu‘à ce que vous nous indiquiez d‘arrêter. Nous vous enverrons un reçu par courriel pour chaque paiement, qui inclura un lien vers des instructions faciles d’annulation. Lumière sur... Le saviez-vous ?
JC Decaux surfe sur la vague écolo Après les collectivités qui en cette période de crise payent du miel au prix du caviar, JCDecaux s’engouffre à son tour dans la brèche des abeilles en ville. Econome, l’entreprise a limité les frais en transformant une opération de communication en action interne à l’entreprise. Et vice-versa. 15 ruches ont ainsi été installées en banlieue parisienne sur un site de l’entreprise qui annonce héberger un million d’abeilles ce qui fait un peu beaucoup (plus de 66.000 par colonies). Et quelques hectares sont consacrés à l’alimentation des abeilles avec un jardin mellifère dont l’entretien est assuré par les jardiniers de l’entreprise. Mais au lieu de transformer l’essai en allant plus loin et en observant le comportement des abeilles, leur alimentation et la contribution des espaces mis à disposition pour servir de garde-manger, JCDecaux résume son action en jouant la carte anti-pesticides.
Faits sur la Santé et l'Environnement Paris revient à la charge contre la "pollution visuelle" Simplification, réduction et protection. Tels devraient être les trois axes du nouveau règlement local de publicité (RLP), étudié par le conseil de Paris du 7 juillet. Ce n'est pas une première: voté en 2007, ce nouveau règlement, plus restrictif, avait été attaqué par les afficheurs et retoqué par la justice pour vice de forme. Afin d'éviter tout litige, la mairie de Paris a décidé de repartir de zéro. Mais, comme le précise Danièle Pourtaud, adjointe au Patrimoine, «l'objectif reste le même: une diminution drastique de la publicité à Paris». Le RLP voté en 2007 prévoyait ainsi une diminution d'un tiers des panneaux de la capitale d'ici à deux ans, avec une disparition programmée des 4x3. Protéger les sites et les citoyens Danièle Pourtaud souhaite tout d'abord «une simplification du zonage», permettant notamment d'étendre les zones de publicité interdite, à l'instar du Marais, sans panneau publicitaire depuis le RLP de 1986. Enfin, la protection prévaudra dans le futur RLP.