Bienvenue dans la boutique du futur
Imaginez Minority Report version shopping ou, pour les fans de Zola, Au Bonheur des Dames version XXIe siècle. Du 21 au 27 mars dernier à Paris, un des fers de lance du prêt-à-porter de luxe français, Kenzo, a ouvert dans le Marais une échoppe éphémère et digitale. Sur un écran géant qui remplaçait les cintres, les clients pouvaient se connecter à l'estore, choisir une pièce de la collection créée dans le cadre d'une collaboration avec la Blue Marine Foundation, qui lutte contre la surpêche, et repartir juste avec un ticket et un lien internet pour finaliser leur achat. La miniboutique peinte en bleu futuriste de Kenzo est une des preuves qu'une petite révolution s'opère dans les rayons : le magasin classique, avec ses murs et ses portants, ses vendeurs et ses cabines d'essayage, est en train de muter. Le digital pop-up de Kenzo, à Paris Être à la hauteur du e-commerce En France, curieusement, c'est un géant de la grande distribution qui a été précurseur. Une révolution du shopping
Histoire de la DA | LMDA - Le Monde De La Distribution Automatique
Ce n’est qu’après la seconde Guerre Mondiale que la Distribution Automatique a commencé à s’intégrer à notre économie sous la forme moderne que nous lui connaissons aujourd’hui. Aux États-Unis, c’est dans les années trente que l’aventure de la D.A. atteint le stade de la production industrielle avec Coca-Cola et les premiers distributeurs de bouteilles fabriqués par les frères Elmer F. et John T. Pierson Senior. Mais l’aventure commence réellement en 215 avant Jésus-Christ avec un distributeur d’ «eau consacrée» fonctionnant à l’aide d’une pièce de cinq drachmes et destiné aux temples égyptiens. Pendant dix-huit siècles, aucune référence attestant de l’existence d’automates de vente n’a été trouvée. C’est en Angleterre, en 1887, que la première société de gestion de distributeurs automatiques de confiserie, la «Sweet Meat Automatic Delivery by», apparut, et le métro new-yorkais en fut équipé dès 1888. Le premier restaurant automatique fut installé en Allemagne en 1895.
Breuninger shoe salon
Louis Vuitton
Louis Vuitton
Store Window
Louis Vuitton Zurich
Louis Vuitton
Louis Vuitton, London | VMSD
Three floors, 16,150 square feet and an array of fine art. The spacious Louis Vuitton Maison is no ordinary store and, even in the exclusive cadre that is branded luxury retailing, the new London flagship is like nothing else. For a start, the price alone should lead shoppers to expect something different. Instead, welcome to the “Maison,” a luxury retail space with a high-end, semi-domestic feel where, as you walk around, you pass artwork by the likes of Damien Hurst, Gilbert & George and Jeff Koons, all casually placed throughout like visual merchandising props. The London store was designed by Peter Marino, the New York-based architect who specializes in luxury retail interiors for such brands as Dior, Barneys New York, Chanel and DKNY, among others. The outcome is a remarkable interior by the standards of luxury brands. Worth noting too is the visual merchandising.
Louis Vuitton Milan
Louis Vuitton Fifth Avenue visual merchandising, New York
It doesn’t matter if you’re a famously reclusive Japanese artist who hasn’t visited the United States in over three decades. When Louis Vuitton paints its Fifth Avenue building in polka-dots to honor your work, you come out to celebrate. That’s the takeaway from yesterday afternoon, when Japanese artist Yayoi Kusama greeted fans and press in front of Louis Vuitton’s 57th Street flagship, which is now covered in spots thanks to her collaboration with the brand. Kusama is known for her groundbreaking pop-art career; her work was shown alongside Andy Warhol’s in the ’60s.
Merchandising
Le marchandisage, ou merchandising en anglais, s'est développé consécutivement à l'essor de la vente en libre-service, où chaque produit doit être exposé convenablement pour qu'il soit en mesure de se « vendre lui-même ». Selon l'Institut français du merchandising (IFM), une structure paritaire créée en 1972 qui rassemble toute la communauté industrie/commerce autour des sujets qui constituent leurs priorités : « Le merchandising est un ensemble d'études et de techniques d'applications, mises en œuvre séparément ou conjointement par les distributeurs et les producteurs, en vue d'accroitre la rentabilité du point de vente et l'écoulement des produits, par une adaptation permanente de l'assortiment aux besoins du marché et par la présentation appropriée des marchandises. » Selon Kepner[1], le merchandising recouvre l'ensemble des techniques susceptibles de répondre aux questions fondamentales suivantes : Le bon produit ? – notions d’assortimentsAu bon endroit ?
Sephora et son « entertaining shopping experience »
Avec plus de 30% de parts de marché en France, 1850 points de vente à travers le monde, dont 300 en France, l’enseigne de parfumerie cosmétiques Sephora connaît une success story incontestable. Depuis 1997, elle a rejoint le groupe LVMH. Créée en 1969 par Dominique Mandonnaud, un commerçant ambitieux, l’entreprise a été la première à commercialiser des parfums sous la forme de libre service. (1) Autrefois enfermés derrière les comptoirs, les parfums, crèmes, et maquillage, étaient des produits très premium impossibles à tester avant l’achat. Avec Shop 8, qui deviendra par la suite Sephora, Dominique Mandonnaud a révolutionné le monde de la beauté, favorisant l’accessibilité et une expérience d’achat sensorielle. Une croissance portée par l’expérience en magasin En 2013, dans le classement Best Retail Brands d’Interbrand, Sephora se distingue pour la deuxième année consécutive, comme ayant la meilleure croissance française (+15% d’évolution en valeur de marché). Marion Braizaz
cours et cas merchandising | Interfaces merchandising Igor PEREZ
Si l’on cherche un peu, on trouvera facilement des notions de merchandising. Ne serait-ce qu’en se baladant dans une enseigne, il suffit d’ouvrir les yeux. Sinon, il y a des ouvrages de référence écrit par des auteurs qui font autorités dans le domaine. Naturellement on pense aux « papes du merch » MOUTON et FADY/VYT et bien d’autres dont je vous invite à compléter la liste. En revanche, on trouve assez peu de synthèse pratique en ligne sur les règles de base en merchandising. Pour rappel : quels sont les messages clé d’un merchandising 360° ? Selon l’institut français du merchandising (IFM), le merchandising c’est « l’art d’impulser ». Par exemple on comprendra aisément qu’un category’s killer, ne développera pas une mise en scène de grande surface spécialisée. Donc ce qu’il faut retenir, c’est que les techniques merchandising sont différentes car elles relèvent de choix, de décisions, je vous renvoie à la notion de stratégie merchandising. L’implantation en circulation dirigée (ex IKEA)