Lara Setrakian: Single-story sites like Syria Deeply have lessons to offer the rest of the news business I’m not the first person to launch a single-story website. But I may be the first person who left a cushy TV job to do it. Six months ago, I was a correspondent for ABC News and Bloomberg Television, covering the Middle East from our base in Dubai. It is a job I loved, and still love. As the months of 2012 rolled on, Syria’s Arab Spring uprising descended into all-out civil war. I saw an audience of people thirsty to understand more. From that, I was driven by a deep consumer need and a profound personal mission to build Syria Deeply, a platform that fuses journalism and technology to better cover a complex story. As I was building the model, from a hand sketch in my notebook through to a working prototype, it was clear this was a platform that could grow. Since the launch of Syria Deeply a little over a month ago, Syria Deeply has had a steady flow of visitors, 80 percent of whom are English speakers and who are predominately from the U.S and Europe. It’s collaborative.
Le journalisme de données est-il le nouveau mouvement punk ? Le journalisme doit s'ouvrir. C'est l'idée défendue par Simon Rogers, data-journaliste pour The Guardian, lors de la conférence TEDx Panthéon Sorbonne dont nous vous faisions un compte-rendu il y a quelques semaines. Souvent présenté comme l'un des symboles du renouveau du journalisme, entre programmeur et rédacteur, Simon Rogers dont l'intervention au TEDx Panthéon Sorbonne est à retrouver ci-dessous, crée depuis plusieurs années des visualisations interactives pour le site internet du journal The Guardian. Référence dans le domaine, le spécialiste de l'analyse des données qui revendique son inappétence pour les maths se défend pour autant d'avoir des compétences en développement web ou en graphisme : « Des outils extrêmement simples et gratuits sont présents en ligne. Il n'y a pas besoin d'aller très loin. » > Retour aux sources Pour les dataphobes, Simon Rogers rappelle qu'il n'est pas nécessaire d'être familier avec les chiffres : > Un environnement de données à s'approprier
FIRST BUSINESS MOOC - Datajournalisme Programmeur autodidacte, Nicolas Kayser-Bril a notamment travaillé pour Le Monde, Rue89, Les Inrockuptibles, après des stages dans les rédactions du Soir, de Associated Northcliffe Digital et de Radio Free Europe. Il intervient régulièrement dans les écoles de journalisme et participe à de nombreuses conférences professionnelles en Europe et ailleurs. Nicolas a ensuite fondé, avec Pierre Romera, une agence spécialisée dans le journalisme de données, Journalism++, fin 2011. La société a contribué à développer l’outil de visualisation de données Datawrapper et la plateforme d’analyse de données Detective.io. Journalism++ travaille pour des clients comme Arte, France Télévisions, l’AFP et de nombreux autres médias européens. Il a été choisi par le Global Editors Network, responsable éditorial du MOOC et producteur des Data Journalism Awards au niveau mondial.
Why 'The Guardian' Is Forgoing Paywalls — For Now Following The New York Times' recent success, online paywalls (particularly the metered-access kind) have been popping up on newspaper websites across the globe. In the U.S. alone, nearly half of all newspapers now have some sort of online paywall, according to estimates from the Alliance for Audited Media. In the UK, adoption has been slower, though many of the country's leading dailies — The Times, The Independent, The Financial Times and The Daily Telegraph among them — now require a paying subscription for full digital access, including mobile. As mentioned, the uptake in paywalls, particularly in the U.S., can be largely attributed to the NYT's widely publicized success with its metered-access subscription model. The Guardian, however, is taking another route. Miller wrote: Miller's explanation accompanied the Guardian's announcement that it plans to set up an online operation in Sydney, Australia, later this year. Why Australia, and why now? Where could the Guardian go next?
5 questions à 6 datajournalistes Ils sont datajournalistes et travaillent pour le le site du Guardian, Owni, Lemonde.fr, AskMédia ou J++. Leur point commun : ils sont jeunes et ils ont un goût immodéré pour les données qu’ils aiment manipuler et décortiquer. Ces ventriloques de la data font parler chiffres et statistiques dans leurs articles, leurs applications ou leurs visualisations. Cinq mêmes questions leur ont été posées pour en savoir un peu plus sur le datajournalisme, ce buzzword qui résonne dans toutes les rédactions. 1. Marie Coussin - Askmédia Le data journalisme est avant tout du journalisme : la base de travail est de chercher des informations, les vérifier et les mettre en forme. Nicolas Kayser Bril – J++ Le datajournalisme, c’est tout d’abord l’adaptation du journalisme à l’ère du numérique. Nicolas Patte – Owni Le journalisme qui Excel /-) Alexandre Léchenet – Lemonde.fr Collecter, traiter et transmettre l’information en utilisant les moyens informatiques et ceux ouverts par l’expansion d’Internet. 2. 3.
Le Pariteur Il est interdit de partager sur Internet le «I Have a Dream» de Martin Luther King Temps de lecture: 2 min Ce lundi 21 janvier, c’est le Martin Luther King, Jr. Day, le jour où les Etats-Unis célèbrent la mémoire du combattant des droits civiques. Un événement qui va prendre un relief particulier cette année puisque Barack Obama va, sur les marches du Capitole, prêter serment pour un second mandat sur la Bible de King. Mais il est un hommage que ses admirateurs ne pourront pas lui rendre, c’est celui de réutiliser librement son célèbre discours «I Have a Dream», prononcé le 28 août 1963 sur les marches du Lincoln Memorial de Washington: celui-ci est en effet sous copyright, les droits appartenant aux héritiers de King, qui en ont confié l’administration à la société britannique EMI Publishing, aujourd'hui propriété de Sony. Comme l’explique le site Digital Trends, le groupe, qui incitait les utilisateurs à partager la vidéo dans un «petit acte de désobéissance civile», a ensuite été informé qu'elle violait les conditions d’utilisation et qu’elle avait été retirée. Dr.
En quoi les pratiques data-journalistiques diffèrent elles du journalisme traditionnel ? De nos jours, une grande partie des articles que l’on trouve dans la presse en ligne s’inscrivent dans une course à la rapidité de la publication de l’information dans le but d’attirer la plus forte audience. Les infos non vérifiées et le mimétisme sont monnaie courante, et l’on voit très peu de réelle investigation, car trop coûteuse. Au point qu’il n’est pas rare de de voir des lecteurs corriger les journalistes par l’intermédiaire des commentaires ou des réseaux sociaux. Le datajournalisme est l’opposé de ce schéma journalistique : la rentabilité y est sacrifiée sur l’autel de l’investigation, de la narration, et de la qualité de l’information proposée. Lorsqu’une équipe de datajournalistes veut produire une dataviz, elle doit agir avec précaution. L’entièreté de ce processus engendre une série d’implications conséquentes pour les rédactions qui adoptent le datajournalisme. Un exemple de datavisualisation portant sur la cause des décès aux frontières en Europe
Les Chiffres des données générées chaque Minute sur les réseaux sociaux Internet est devenu, surtout avec l'avènement des réseaux sociaux, un monde qui ne dort plus jamais. Pour preuve, tous ces chiffres qui attestent d'incroyables données produites chaque minute sur les réseaux sociaux. Entre les ordinateurs et surtout les mobiles qui facilitent dorénavant l'engagement sur les réseaux sociaux, nous produisons d'incroyables quantités de données sur chaque réseau social que nous visitons. C'est ainsi que nous obtenons toutes les 60 secondes : Partagez cet article : La Lex Google ne sauvera pas les journaux allemands, avertit le Spiegel Même ennuyée par la question, la patronne du principal site de presse allemand n'a pas hésité : le projet de loi en préparation en Allemagne pour aider les journaux face à Google ne les sauvera pas. "Nous y dépensons beaucoup d'énergie, de temps, et d'intelligence. Mais cela ne nous sauvera pas. Nous ne déboucherons ni sur un nouveau modèle d'affaires, ni sur un modèle de licence", a déclaré cet après-midi à Münich, Katharina Borchert, PDG du Spiegel Online lors de la conférence DLD. Katharina Borchert a aussi émis des craintes sérieuses sur la séparation de plus en plus menacée entre la rédaction et le business en raison de la nouvelle tentation des annonceurs de devenir eux mêmes des médias et leur capacité à insérer des contenus de haute qualité, y compris en vidéo.
com Les règles de base et de bon sens du guide demeurent inchangées : respecter les règles déontologiques de l’AFP et ses valeurs d’indépendance, d’équilibre et d’impartialité, ne pas tweeter d’alertes ou d’informations exclusives sur un sujet d’actualité chaude afin de réserver la primeur des informations aux clients de l’AFP. Dans la nouvelle version, deux points importants ont notamment été ajoutés : - Les journalistes sont invités à être très attentifs, lorsque l’actualité prend un tour dramatique, à ne pas légitimer des rumeurs qui n’ont pas lieu d’être. Ils peuvent en revanche rectifier certaines informations véhiculées par des internautes si elles sont fausses et en contradiction avec des faits sourcés déjà présents dans la production de l’AFP. Par ailleurs, si un tweet ou un statut se révèle erroné, il est demandé au journaliste de publier une correction, comme il le ferait avec une dépêche. A propos de l’AFP
Révélations sur les scandales des paradis fiscaux Des documents jettent une lumière crue sur un système d'évasion fiscale mondialisé. Plongée au cœur des "juridictions à palmiers". LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anne Michel Dans l'avion de Paris à Madrid, ce 28 janvier 2013, difficile de me concentrer sur les dernières pages de mon roman. L'Affaire Harry Québert attendra pour livrer sa vérité. Elle est parvenue au Monde voilà quelques semaines, par l'intermédiaire de mon confrère Serge Michel, sur une messagerie chiffrée. La liste française n'a laissé filtrer que peu de noms de personnalités connues. Jamais les Etats et les administrations fiscales n'accèdent à de telles données. Je vérifie l'adresse griffonnée sur mon carnet : une petite place du bario del Pilar, au nord-est de la ville, un rendez-vous entouré de ce qu'il faut de mystère. Les listings d'ICIJ sont détonants par leur ampleur : ils représentent une masse de données informatiques brutes de 260 gigabits. Devant nous, deux écrans allumés en permanence.
Newspapers Are So Poor, They're Leasing Out Laid Off Reporters' Desks - Business - The Atlantic Wire Things aren't as bad as they used to be in the newspapers business, but they're not good either. Perpetually faced with declining ad revenue, several papers have become landlords recently to make ends meet. On Sunday night, The New York Times reported on the new trend of newspapers running tiny real estate business by leasing out abandoned areas of their offices. Well yes, it appears that it does. Other papers are pulling the same trick. What's next?