La gestion des ressources énergétiques naturelles et l'aménagement des territoires en zone insulaire tropicale Sections La centrale géothermique de Bouillante (Guadeloupe) Aller au contenu. | Aller à la navigation Vous êtes ici : Accueil Présentation Caractéristiques La gestion des ressources énergétiques naturelles et l’aménagement des territoires en zone insulaire tropicale : Etude de cas de la centrale géothermique de Bouillante (Guadeloupe) Ce module de formation traite de la gestion des ressources énergétiques naturelles et de l’aménagement des territoires en zone insulaire tropicale. Il s’appuie sur une étude de cas de la centrale géothermique de Bouillante en Guadeloupe. Les modalités d’organisation pratique de ce module de formation sont détaillées dans le Guide d'usage (télécharger ce document) . Ce projet est issu d'un partenariat entre l'Université Nice Sophia-Antipolis (UNS) et l'Université Virtuelle Environnement et Développement Durable (UVED), soutenu par Michel Corsini Haut de la page Finalités Il peut être utilisé partiellement ou entièrement comme support de cours. Contenu
Glossaire du développement durable en LSF Ce module présente les principales notions du développement durable en langue des signes française. Les langues des signes n'ayant pas de forme écrite, le support vidéo est utilisé pour restituer les énoncés. Le développement durable est présenté sous deux formes : une présentation de 25 minutes, réalisée à partir d'une conférence de l'Université de Tous les Savoirs au Lycée, par François Moisan, de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME). Ce travail a été réalisé en 2010-2011 par une équipe pluridisciplinaire réunissant des experts sourds, Jean-François Piquet (ASP IRIS), Juliette Dalle (IRIT) et Radouane Sahsah (Visuel), des spécialistes de la traduction LSF-français, Alain Bacci (Interpretis) et Patrick Gache (CETIM- Toulouse 2), des spécialistes du développement durable et de la formation par les NTIC, Yves Ardourel et Jean-Yves Lena (IUFM Toulouse) et des chercheurs en informatique, Roman Miletitch et Patrice Dalle (IRIT, Toulouse 3).
Le water cooling à nouveau à la mode Par Frédéric Bordage - 20/08/2012 Bannie des centres informatiques, l’eau y fait actuellement un retour en force. Dans un article daté du mois de juin, 01 Informatique cite plusieurs retours d’expérience – CEA et Eolas en France, IBM, Google et le Pacific Northwest National Laboratory aux Etats-Unis et ailleurs dans le monde - qui démontrent l’intérêt de l’eau glacée. La concentration de la puissance informatique par m2 ces 10 dernières années - 300 Watts par m2 il y a 10 ans contre 2 500 Watts aujourd’hui se traduit par une forte dissipation thermique. Une baie très dense de calcul parallèle (HPC) peut représenter jusqu’à 40 000 Watts concentrés sur quelques m2 ! Face à une telle puissance, l’air n’est plus suffisant tandis que l’eau transporte 4 000 fois mieux les calories. En France, le CEA a réduit ses besoins de refroidissement de 25 % en utilisant des portes froides dans lesquelles circule de l’eau glacée. Qu’on se le dise, l’eau est de retour ! Source : 01 Informatique
L'intégration des énergies renouvelables, défi d'aujourd'hui et du SI De l'utilité du SI dans les enjeux énergétiques contemporains. D'une actualité toujours plus brûlante, les énergies renouvelables (ENR) sont au cœur de la politique énergétique de pays aux quatre coins du globe. 5 champs d'éoliennes attribués en avril 2012, une conférence environnementale les 14 et 15 septembre derniers, l'Hexagone s'engage vraiment de front dans la course aux énergies vertes. Une détermination qui se traduit par des signaux forts, comme l'attention portée par François Hollande lors de son discours à la conférence environnementale. ENR, contradictions et contraintes Paradoxalement, l'attrition du budget alloué aux ENR est marquée ; 14% de baisse en 2012 par rapport à 2011, à 8,2 milliards d'euros. Les chantiers en découlant ne manqueront pas de faire la lumière sur les opportunités de développement des ENR. Les défis des ENR Le dénominateur commun à la plupart des pays est que la production d'ENR est éloignée des bassins de consommation, industriels notamment.
Dix ans d’avance sur la réglementation pour un bâtiment ultra-basse consommation Situé au Luxembourg, un bâtiment avant-gardiste dont tous les systèmes de gestion d'énergie sont entièrement contrôlés par une supervision munie d’un module d´accès distant à Internet, est conforme au standard européen Passivhaus relatif aux maisons passives qui devrait inspirer la règlementation technique de la RT2020. Spécialiste de la conception de bâtiments en bois, Steffen Holzbau a, avec Sanichaufer (Luxembourg), et l'entrepreneur GIGA-Automation (Allemagne), planifié et construit un bâtimentavant-gardiste constitué d'une clinique de physiothérapie et de musculation médicale, et des bureaux du constructeur. Le bâtiment est conforme à la norme Passivhaus, le standard européen de maison passive, pour l'efficacité énergétique, avec un impact écologique minimum. La ventilation est équipée de systèmes efficaces de recyclage de chaleur et de climatisation adiabatique.
Eco-innover | Quitte à innover, autant éco-concevoir Quitte à éco-concevoir, autant innover OpenGreen®, une méthode d'éco-conception orientée innovation OpenGreen® est une méthode innovante d'éco-conception, fondée sur plusieurs années d'expérience terrain et des compétences complémentaires en évaluation environnementale et en innovation. Pragmatique, efficace et outillée, elle permet à un entreprise de commencer à éco-concevoir sans remettre en cause son process de développement. OpenGreen® accompagne ensuite l'entreprise jusqu'à un stade où toutes les décisions prennent en compte l'environnement. Vous trouverez des informations complémentaires sur les principes, les outils et la mise en œuvre de la méthode OpenGreen® à l'adresse suivante : www.opengreen.info OpenGreen®, co développée avec Auki, s'appuie sur des outils d'innovation TRIZ et analyse de la valeur.
L’éco-conception RPF Marketing durable et écoconception Introduction Aucun produit ne parcourt son cycle de vie sans consommer ou polluer, dans la recherche de matériaux comme la consommation de ressources minérales, végétales ou animales, énergétiques, les consommations d’eau et d’espaces naturels liés aux cultures ou à l’élevage. Tout produit est aussi à l’origine de rejets dans l’eau, l’air ou les sols. Ces consommations et ces rejets sont sources d’impacts sur l’environnement comme l’épuisement des ressources naturelles, la pollution de l’eau, de l’air, la production de déchets… Le développement durable est porteur d’espérance. Pour 72% des français, le développement durable est une « idée nouvelle qui va changer la manière de produire et de consommer pour le bien de tous ». Le business vert est souvent pris comme une opportunité de « coups marketing ». Selon Jean-Jacques LEHU [1], le marketing durable correspond à une déclinaison inspirée du concept du développement durable et proposée par le sociologue Gérard MERMET [2] en 2002. I. II.