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Bulb in Town

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KissKissBankBank Flattr - Social microdonations Le SILK, laboratoire d'innovation sociale du Comté du Kent (Service Design Conference, 1/5) Billet publié par Stéphane Vincent dans la catégorie Tag : social Cet article fait partie d’une série de cas identifiés par Christophe Tallec, www.christophe-tallec.tumblr.com, envoyé spécial de la 27e Région au Service Design Conference d’Amsterdam, du 24 au 26 novembre 2008. Seashells Centre for childhood and families : Impliquer davantage les pères de famille dans le centre de la famille et de l’enfance (SILK/ Engine) Le centre de la famille et de l’enfance « sheashell » est une maison des services intégrée au laboratoire d’innovation sociale du Kent. Engine étudiait cette fois-ci pour le « sheashells » des moyens d’impliquer davantage les pères dans ce projet d’accompagnement de l’enfance, de la famille et de la santé pour les parents. Liens : Présentation du cas par Engine : Le SILK :

Seliweb MonArtiste Le Blog untitled RERS Réseaus d'échanges réciproques de savoirs 27e région Billet publié par Léonie Ferry dans la catégorie Tag : RERS Il y a une semaine se tenaient à Paris les journées de l’innovation de l’Education Nationale. Consacrées à exposer des projets innovants réalisés dans les écoles, collèges ou lycées, j’y ai découvert les RERS, réseaux d’échanges réciproques de savoirs. L’atelier que j’ai suivi était animé par Claire Heber-Suffrin, docteur en psychosociologie des groupes en éducation. un RERS, Qu’est-ce que c’est ? Les Réseaux d’Echanges Réciproques de Savoirs sont nés il y a 40 ans environ, sous l’impulsion de Claire Heber-Suffrin. Les premiers RERS se sont constitués au sein de villages ou de villes. Quels bénéfices ? Les réseaux d’échanges de savoirs sont utiles car ils permettent de rompre avec des sentiments profondément ancrés d’incapacité et de peur devant des savoirs en se mettant d’une part en situation de demander un accompagnement et d’autre part de transmettre ce que l’on sait à d’autres. Un RERS dans une collectivité territoriale ?

Monnaies en débat People for cinema crowdfunding eco - finance green - ecology - energy - transition Ulule financement de projets en réseau Une banque française autorisée à utiliser Bitcoin Grâce à un partenariat entre le prestataire de paiment Aqoba et startup Paymium, la monnaie virtuelle Bitcoin va pouvoir transiter légalement au sein du système bancaire. Une première mondiale. « Avec Bitcoin, payer et vendre sans les banques » titrait en novembre dernier Le Monde, dans un article décrivant le fonctionnement de cette monnaie virtuelle cryptée et anonyme, dont le fonctionnement repose sur un logiciel open-source et en peer-to-peer. Victoire made in France C’est en effet un véritable coup de force que la startup française Paymium a annoncé le 6 décembre dernier sur l’un des forums de la communauté de bitcoin : Après tant de travail patient et de lobbying, nous sommes finalement heureux et fiers de vous annoncer que Bitcoin-Central.net devient aujourd’hui la première plateforme d’échange de bitcoin opérant au sein du cadre légal européen. Flou juridique Illustration Le Monde Central banker is watching you? Le retour de Bitcoin ? Cours du bitcoin Crédit photo : zcopley

Sociable A Stockholm les citoyens comparent les services publics Depuis le lancement de la plateforme « Jamfor » en décembre 2008, les habitants de Stockholm peuvent comparer les services publics et privés en fonction de critères bien précis. La transparence totale est le maître mot de cette initiative, qui offre une vision particulièrement originale de l’ouverture des données à la suédoise. Les citoyens font leur marché de services En suédois, comparer se dit « jamfor ». Un nom qui s’est rapidement imposé pour une plateforme qui en est déjà à sa troisième mouture. « Notre challenge était d’étendre au maximum la liberté de choix de nos concitoyens. L’objectif ? L’école : comparaison numéro unLa catégorie la plus populaire ? Succès et améliorations à venir Les Suédois, eux, ne semblent pas rougir de ce débordement de transparence et profitent de cette avalanche de données mises à leur disposition. Pour en savoir plus, contactez-nous à l’adresse contact@innovcity.com

Le + : un crowdfunding de proximité où les internautes contributeurs sont aussi vos voisins. by smfnunes Oct 20

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