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neuigkeiten : ester vonplon Pédologie (géotechnique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pédologue observant les strates, inclusions et structures du sol, dans une fosse pédologique Échantillons de sol Exemple de profil de sol C'est une discipline qui s'appuie sur l'étude des réactions réciproques entre les différentes phases (liquide, gazeuse, solide) composant le sol. Elle devint un sujet d'étude important au XIXe siècle, en particulier avec les travaux du géographe russe Vassili Dokoutchaïev. La diversité des noms associés à cette discipline est liée aux divers corps de métiers concernés. Longtemps les utilisateurs (agronomes, architectes, aménageurs) se sont peu préoccupés de la dynamique à long terme du sol. Les processus fongique, microbiens et notamment bactériens liés à la faune et à la flore et microflore du sol, souvent symbiotiques, sont importants à considérer. La cartographie des sols se développe, avec notamment les cartes de pédo-paysages (exemple). C'est la science de l'évolution des sols.

Peut-on fonder une éthique sur le plaisir ? Peut-on fonder une éthique sur le plaisir ? Cette question recouvre ce qui a eu lieu dans l’histoire de la pensée. Je vais me centrer sur trois penseurs ; Épicure, qui répondrait : "Oui, on peut fonder une éthique sur la plaisir, mais sur lui seul, pas sur la souffrance" ; Saint François d’Assise, qui répondrait : "Non, on ne peut pas fonder une éthique sur le plaisir, on ne doit pas jouir de ce dont on use, il faut disjoindre l’usage de la jouissance" ; et Spinoza, qui reprendrait la problématique épicurienne, mais à la lumière d’une critique de ce qu’il appelle la "superstition de l’abstinence". Or, nous avons l’habitude de considérer que les mots éthique et morale sont synonymiques. C’est à la fois vrai et faux. L’éthique, une discipline normative qui a pour but de prendre soin de la façon d’être. Et se rappeler que "Le désir est l'essence même de l'homme, c'est à dire l'effort par lequel l'homme s'efforce de persévérer dans son être." Un entretien enregistré en 2012.

Sophie Ristelhueber Sophie Ristelhueber est une artiste contemporaine dont le travail me tient à cœur. Ses photographies me parlent et touchent des territoires intimes de ma conscience. Je suppose qu’il en est de même pour beaucoup de personnes qui aiment porter un regard sur l’indicible… Territoires est bien le mot qu’il faut employer avec cette artiste qui aime à promener son objectif aux quatre coins de la planète, avec une préférence marquée pour certaines zones de conflit du Proche et Moyen Orient. Sophie Ristelhueber, Beyrouth, Photographies, 1984 Vous avez aussi peut-être été frappé par la violence « esthétique » de la série Every One, soit une série de 14 clichés en noir et blanc réalisés dans un hôpital parisien. Sophie Ristelhueber, Every One #14, 1994 Et puis vous avez été frappé par cette série de photographies réalisées en plein désert Koweitien : Fait. Sophie Ristelhueber, Fait #46, 1992 Pour autant, à ces démonstrations spectaculaires, je choisis le territoire de l’intime.

We Find Wildness Take The Arches. by CYPRIEN GAILLARD. The Lake Arches. 2007 Dvd. 1:43 min. Edition de 5 The Lake Arches is a portrait with ruins – a film that narrates a violent collision with a shallow promise. It is also an ambiguous clip of teenage folly, an incisive architectural purview, and an allegory for the painful and perhaps pathetic failure of postmodernism’s liberating force. Two young men stand the banks of a man-made lake, preparing to dive. “My work starts where and when the archaeologists left off.” French artist CYPRIEN GAILLARD examines the buildings and landscapes ( with a preference for structures and places that others would rather ignore, and sites where contemporary claims to history have given rise to surprising visual manifestations) as well as the people who inhabit them. I really like how his haunting films and photographs confront the viewers to the many contradictions of our built environments.

projet | Gallery_Categories | Laurent Massaloux L’Écouteur (The Listener) is a collective listening installation designed for the diffusion of music and audio material. A project by curator Jean-Yves Leloup and designer Laurent Massaloux commissioned by the Cnap (Centre national des arts plastiques), L’Écouteur was created as a response to the increasingly important role of sound in contemporary arts and exhibition. It is primarily intended for use by institutions, museums, arts centers, and festivals, as well as by curators and exhibition commissioners working across the fields of contemporary art and sound art. It aims to promote the development and exhibition of sound-based artworks and audio archives. L’Écouteur se présente comme un dispositif d’écoute collective, destiné à la diffusion de programmes sonores ou musicaux.

JEAN NOVIEL // Paysages fabriqués Pour mon travail au cinéma je suis régulièrement amené à concevoir de grands tirages qu'on vient placer à l'arrière des décors. Leur rôle consiste à donner l'illusion du réel et de sa profondeur dans le studio de prise de vues. Cette série justement pose la question du statut de l'image et de la représentation comme pure fabrication, qu'elle soit d'origine picturale, cinématographique ou littéraire. Images troublantes d'un monde relevant du rêve ou de l'imaginaire qui viennent instiller une forme de fiction dans notre lecture du réel... " Vous refusez de croire à tout cela, qui est pourtant devant vos yeux, parce que vous voulez que ce ne soit pas vrai. Série présentée en 2013 à l'occasion des Rencontres d'Arles et pour La nuit de l'année ainsi qu'àLille 3000, prix Sfr Jeunes Talents. Tirages jet d'encre ultrachrome 50x75 cm et 120x80 cm.

c à Paris ; la triangulation et les mesures de distance Pour mesurer la vitesse de la lumière par la méthode de Fizeau, il faut connaître avec précision la distance entre la roue dentée et le miroir de renvoi de la lumière. Les mesures de distance se faisaient par triangulation jusqu'aux années 1980. On mesurait d'abord une base AB avec des règles mises bout à bout ou des fils d'acier invar, puis on considérait le triangle ABC, C étant un point de repère visible de A et de B (par exemple le sommet d'un clocher). La mesure des angles a et b suffisait à définir le triangle et à calculer la longueur BC. Des mesures analogues, menées de 1818 à 1850, ont abouti à la triangulation de la France, d'où est issue la Carte de l'État-Major au 1/80 000.

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