Les ravages du sexting chez les ados américains C'était une jolie jeune-fille aux yeux bleus, aux longs cheveux blonds qui semble déborder de vie sur les photos. L'un de ces clichés, envoyé à son petit ami, l'a conduite au suicide. Elle était nue, il l'a envoyé à d'autres et la diffusion virale a commencé. Une triste histoire qui s'est passée dans l'État de l'Ohio aux Etats-Unis il y a quatre ans mais qui pourrait bien se multiplier si l'on n'y prend garde, sous des formes moins visibles mais tout aussi destructrices. La pornographie interdite aux mineurs Une pratique qui a déjà conduit des jeunes enfants devant les tribunaux aux États-Unis. Quid du sexting entre adolescents? Des conséquences à long terme Le fait qu'une part non négligeable de jeunes aient déjà été forcés au sexting est une autre raison de ne pas banaliser cette pratique. Aujourd'hui, la circulation des photos intimes semble représenter un véritable marché noir chez les adolescents. » L'éducation sexuelle » La première fois » Les maladies sexuellement transmissibles
GraphSearch de Facebook : un service intéressant, mais inquiétant 01net le 25/01/13 à 14h18 Annoncé en grande pompe la semaine dernière, GraphSearch, le moteur de recherche interne de Facebook, doit constituer le « troisième pilier » du réseau social, à côté du fil d’actualités et du journal, explique Mark Zuckerberg. Contrairement à Google et ses concurrents, Graph Search ne recherche pas sur le web. 01net a testé pour vous la version beta (en anglais) afin de juger sur pièces le potentiel de cette nouvelle fonctionnalité. Une fois Graph Search activé, la première modification est graphique: la barre de navigation située en haut de la page adopte un look plus moderne. Des questions sur la protection de la vie privée Intéressant dans le concept et plutôt bien conçu (malgré quelques bugs de jeunesse), GraphSearch doit cependant faire ses preuves. Des internautes ont aussi testé GraphSearch et ont créé un Tumblr pour partager leurs recherches.
How to Stop the Next Viral Facebook Post Outbreak Citizens of Internetland: we are at war, and the enemy is a virus. Not the kind we're used to hearing about, one that spreads via suspicious emails and turns our machines into mindless zombies for massive denial of service attacks, but one that is passed by human contact — specifically, posts on Facebook — and turns us into mindless zombies. Monday's outbreak of a fake privacy notice, one that urged users to claim back the copyright on their Facebook posts by making a declaration, was the last straw. Not only because it should have been blindingly obvious that this pseudo-legal babble was nonsense, but because the fake notice had done the rounds once already this year, back in July. Luckily this one wasn't a dangerous scam, like the Facebook post that claimed to offer free flights on Southwest but actually spammed your entire friend list, or the offer of a free iPad mini that got you to install a dubious app, or the "you're tagged in a photo" honey trap. Still, this has to stop. 1. 2.
Avec Graph Search, Facebook tente de socialiser la recherche En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Accueil Ni smartphone, ni streaming ! Le réseau social a finalement annoncé une fonction de recherche sociale proposant de répondre à des questions posées par ses utilisateurs. Un moteur de recherche social, voila donc la nouveauté annoncée mardi par Facebook dans ses bureaux de Menlo Park. Contrairement à Google et ses concurrents, Graph Search ne recherche pas sur le web. Pas d'information sur la version finale Graph Search répond à d’autres questions. « Trouver la réponse à ses questions nécessite aujourd’hui de se rendre sur différentes pages, indique Tom Stocky, l’un des responsables du développement. Tweeter Partager Ailleurs sur le web
Programmer ou être programmé La lecture de la semaine, il s’agit du résumé d’une intervention orale (vidéo) donnée par Douglas Rushkoff (blog) lors d’une conférence qui avait lieu le 14 octobre dernier. Douglas Rushkoff est un essayiste américain, écrivain, conférencier, il est connu pour la dizaine de livres qu’il a écrits, notamment sur la question des nouveaux médias, ses idées le rapprochant des mouvements cyberpunk et de l’open source. Le titre de cette intervention « Programmer ou être programmé » est également le titre de son dernier livre (Amazon). « Quand je regarde le monde, commence Rushkoff, quand je regarde l’économie, la religion, la politique ou les entreprises, j’ai le sentiment que nous tentons de faire fonctionner notre société sur des codes obsolètes, sur des logiciels – et je ne parle pas seulement des logiciels qui sont dans nos ordinateurs, mais aussi des logiciels sociaux – sur des logiciels que nous avons hérité de systèmes dont nous n’avons plus aucun souvenir. Xavier de la Porte
Facebook débranche Microsoft Bing de son réseau social 01net le 13/12/14 à 12h37 Graph Search, le nouveau moteur de recherche de Facebook, a créé un petit dégât collatéral… chez Microsoft. Depuis quelque jours, le réseau social a mis à jour cet outil - disponible pour l'instant que sur la version américaine - avec l’objectif d’aider les utilisateurs à retrouver plus facilement les messages publiés par leurs amis. Mais ce changement en a créé un autre: ils n’ont plus accès aux liens fournis par Bing, comme vient de le révéler Reuters. En effet, à la suite d'un accord entre Facebook et Microsoft, le moteur de recherche Bing fournissait jusqu’alors une partie des résultats de recherche sur Facebook Search, et notamment des liens vers des sites extérieures. Facebook considère la recherche comme une importante zone de croissance. Lire aussi: Source:
Il les traite de «salopes» sur Instagram, elles manifestent devant son lycée En Suède, on ne rigole pas avec la réputation des adolescentes. Plus d’une centaine de personnes ont manifesté ce mardi matin à Göteborg devant un établissement scolaire et dans un centre commercial. Elles n’ont pas hésité à affronter violemment la police. En cause, un compte Instagram tenu par un anonyme qui a publié les photos et les noms d’adolescentes de la ville, les traitant de «putes et de salopes». Face aux problèmes récurrents de sextings dévoilés ou de manière générale aux attaques diffamatoires sur les réseaux sociaux, c’est peut-être la première fois qu’on voit une telle réponse collective. Facebook : le bouton "j'aime pas" c'est non pour Zuckerberg ! À l’arrivée de Facebook, deux fonctionnalités nouvelles faisaient leur apparition. Le fameux « poke », dont on n’a jamais vraiment trouvé l’utilité jusqu’à maintenant, et le bouton « j’aime » devenu LA marque de fabrique du réseau social de Mark Zuckerberg ! Mais certains grognons pestent contre le fait qu’il faille à tout prix aimer ce que nos contacts publient sur le mur, et qu’à part un commentaire acerbe, il n’y ai pas de possibilité de « ne pas aimer » ce que l’on voit défiler sur notre fil d’actualité Facebook. C’est sans doute pour cela que tous les 6 mois, la rumeur de l’apparition d’un bouton « j’aime pas » ressort. Mark Zuckerberg n’aime pas le bouton « j’aime pas » ! Dans une séance de questions/réponses auprès d’utilisateurs de Facebook et diffusée sur le net, le créateur du réseau social a tenu à clarifier les choses concernant l’éventualité de l’apparition d’un bouton « j’aime pas » sur les publications. Réagir à cet article Vous souhaitez réagir ? Connexion
Arnaques, webcams et films pornographiques Julien Pain n'habite pas en Côte-d'Ivoire. Il est journaliste à France 24, à Paris. Il a découvert que des personnes, à Abidjan, avaient usurpé son identité pour faire chanter des internautes. Sur le blog les Observateurs, Julien Pain raconte l’histoire en détail. «J'ai reçu, vendredi dernier [le 30 novembre, ndlr], l’appel d’un homme qui m’a dit tout de go : "C’est vous qui m’envoyez des menaces par e-mail ?" puis a poursuivi en précisant : "C’est à propos de la vidéo de moi tout nu."» Le pauvre homme qui se plaint n’a pas eu de chance. Il a été de fait victime d’un «brouteur» ivoirien - du mouton qui broute l’herbe autour de lui sans faire d’efforts - des spécialistes de l’arnaque par Internet. Le français est approximatif et les fautes sont nombreuses, mais «Robert» tombe dans le panneau et, paniqué, décide d’appeler le journaliste. «- Vous êtes Julien Pain, vous êtes journaliste à France24 ? «- Oui, c’est bien cela. «- Pourquoi est-ce un journaliste de France24 qui m’appelle ?
Les 5 raisons pour lesquelles WhatsApp vaut bien 19 milliards de dollars 01net le 20/02/14 à 12h58 Facebook va payer 19 milliards de dollars pour une startup de 50 personnes fondée en 2009, dont on ne sait même pas si elle est rentable. 1. WhatsApp compte 450 millions d’utilisateurs actifs et en gagne chaque jour un million de plus. Par ailleurs, les abonnés de WhatsApp sont particulièrement actifs : 70 % d’entre eux utilisent l’application tous les jours. « A notre connaissance, WhatsApp est la seule application mobile dont le pourcentage d’utilisateurs quotidiens est supérieur à celui de Facebook (62 %, ndlr) », précise Mark Zuckerberg. 2. En rachetant WhatsApp, Facebook met également la main sur un annuaire géant. 3. L’avenir de Facebook est dans l’univers mobile. 4. Facebook Messenger est beaucoup utilisé aux Etats-Unis, mais pas vraiment ailleurs. Dans ces pays, Facebook Messenger ne dépasse pas les 34 % de taux d’usage mensuel. 5. La messagerie mobile est l’une des « killer app » du smartphone. Lire aussi:
Je me suis fait (volontairement) pigeonner devant ma webcam - Technologie © Thinkstock - Image d'illustration A Marseille, le 7 janvier 2011, Cédric, 17 ans, s’est pendu dans sa chambre quatre mois après s’être fait piéger sur un site de chat. A Brest, le 10 octobre dernier, Gauthier, 18 ans, qui s’était dénudé devant sa webcam après une discussion sur Facebook, s’est pendu dans l’abri de jardin familial quelques minutes après. Au Canada, Amanda, 15 ans, s’est suicidée après la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo où elle apparaissait nue. Nous avons donc testé le chantage à la webcam, pour mieux mettre en garde. Lundi matin, huit heures. Très vite, après cinq minutes, la belle me tutoie et me couvre de mots doux. Nous y voilà. Tiens, sa soi-disant amie est justement malade. «Je vais balancer ta vidéo et te créer de sérieux problèmes» Lorsque je la retrouve à la nuit tombée, Estelle change radicalement la donne. Par JACQUES BESNARD *En cas d’arnaque, il faut réagir très vite en moins de 24 heures pour signaler la vidéo. Qui sont ces arnaqueurs ?
Les adolescents US n'aiment plus Facebook ? Entre Ello l'anti-Facebook et les nouveautés en matière de réseaux sociaux, l'abandon de la plateforme de Mark Zuckerberg par ses utilisateurs est un sujet qui revient plutôt régulièrement. Une enquête de Piper Jaffray montre ici que l'engouement pour le Social Network n'est plus le même du côté des adolescents américains. Ces derniers bouderaient apparemment Facebook pour se tourner vers Instagram ou Twitter. Des sites qui s'avèrent être les deux réseaux les plus populaires chez les étudiants US. Sur 7200 étudiants sondés outre-Atlantique, 45% d'entre-eux restent fidèles à Facebook, 76% utilisent Instagram et 59% tweets. Au fil des derniers mois, le nombre d'utilisateurs Facebook chez les ados a significativement baissé. 72% au printemps et 45% en automne 2014, l'écart est flagrant ! Nate Elliott de Forrester publiait sur son blog cet été une étude évaluant à au moins 75% le taux d'utilisation de Facebook chez les jeunes. À ce titre, une explication est possible.
Côte d'Ivoire - Deux «brouteurs» pris à leur propre piège de chantage sexuel à la webcam Deux arnaqueurs ivoiriens sur Internet, communément appelés des «brouteurs», ont été arrêtés le 25 novembre à Abidjan, a indiqué l’agence de presse chinoise Xinhua reprise par le site Afriscoop. Une collaboration entre la police suisse et la police scientifique ivoirienne a permis de mettre la main sur les deux jeunes hommes responsables selon Xinhua d’avoir fait «miroiter de bonnes affaires ou le grand amour à leurs pigeons». Au départ de l’enquête, une vingtaine de plaintes avaient été enregistrées à la suite d'«une série d'arnaques sur Internet et de cas de chantage "à la webcam" visant des citoyens vaudois» (du canton de Vaud, dans l’ouest de la Suisse) selon l’agence Sipa. Le chantage à caractère sexuel était devenu la spécialité des frères Bakayoko, Yaya et Zoumana, âgés respectivement de 24 et 22 ans. 15 millions d’abonnés téléphoniques ont ainsi déjà été identifiés selon le site Afriscoop, ainsi que plus de 90% des utilisateurs Internet. Lu sur Afriscoop, Romandie A lire aussi