The Rise of the Sharing Economy Collaborative consumption, peer-to-peer marketplaces, the sharing economy — it's been called a few names by now, but no one is denying that the idea of accessing rather than owning is controversial — and it's taking the Internet by storm. Peer-to-peer marketplaces, of which Airbnb is the beloved poster child, have been popping up for the past few years, but 2011 was an explosive year for the sector. Whether you wanted to borrow or rent someone's apartment, bike, car, parking spot or random household good, you could find a marketplace to do it. This is only the beginning, though; 2012 looks to be a promising year for those involved with the sharing economy. Collaborative consumption services are getting a lot of attention, yes, but I couldn't help but notice that only a small percentage of my contacts — even my super techie friends — have tried any of them. It's All About Value Knodes and SnapGoods founder Ron J. Renting vs. While it's called the "sharing economy," not everything is free.
CROWDFUNDING – Les 2 millions de dollars du nouveau film de Zach Braff financés en cinq jours Depuis quelques années, le crowdfunding – soit le financement d'un projet par des dons du public qui, en contrepartie, peut y participer et obtenir quelques retombées une fois qu'il est réalisé – rencontre un succès grandissant. Selon Crowdsourcing.org, près de 1,12 milliard d'euros ont été levés en 2011 sur les quelque 450 plateformes qui existent à travers le monde – comme celle de Kiss Kiss Bank Bank en France –, avec une hausse de 72 % des fonds amassés, dans des domaines aussi divers que la santé, l'environnement, le journalisme, la science et, surtout, la culture. >> Lire l'enquête du Monde : La création à l'heure du "crowdfunding" (édition abonnés) Le cinéma, également en quête de financement indépendant, se tourne de plus en plus vers ce modèle. Aux Etats-Unis, où la culture du mécénat est bien plus développée, la plateforme KickStarter mène la danse dans ce domaine. Signaler ce contenu comme inapproprié Cette entrée a été publiée dans Actualité.
Bobos, aventuriers, écolos : qui sont ces Français adeptes de la consommation collaborative ? L’ADEME a publié, jeudi 25 avril, une enquête sur les Français et la consommation collaborative. Objectif : mieux cerner les valeurs, les modes de vie, de consommation et les critères socio-démographiques des français qui adoptent ces nouveaux modes de consommation. Résultats : les motivations sont très diverses, ces consommateurs sont plutôt jeunes, actifs, et les critères socio-démographiques ne sont pas discriminants. Voyons cela de plus près. Des caractéristiques communes L’enquête a été effectuée à partir de l’échantillon de l’observatoire des modes de vie et consommation d’IPSOS : « Les 4500 ». La consommation collaborative from adesias. on Vimeo. Première observation, ces consommateurs partagent quatre caractéristiques communes : Seconde observation, ces consommateurs sont partagés entre la recherche de bons plans de consommation et des motivations collectives liées à des préoccupations collectives, écologiques, etc. Six profils différents Et vous, quel est votre profil ?
Transportation innovation: How Lyft and SideCar are changing commuting This feature originally ran on July 15, 2012. Update: We reported in July on the rise of two San Francisco ridesharing startups, Lyft and SideCar. Both companies have since expanded their reach in the Bay Area, and have yet to run into any thorny legal issues so far. These ride-sharing companies claim that they are not taxi companies, even though they act very similar to taxi companies. The pair is serving a much smaller area than Uber, a smartphone-powered black-car service focusing on the upper tier of the market. Uber, which also operates in San Francisco, has been facing increasing legal scrutiny in cities around the country. SAN FRANCISCO—As I drove over the Bay Bridge and passed into the city on a recent Friday afternoon, I faced a crisis of will. I pulled onto Harrison Street, into a section of the SoMa (South of Market, San Francisco’s startup hub) district that's full of new high-rise residential buildings. I invited Matt to sit up front and adjust the music as he liked.
A vot' bon cœur, m'sieurs-dames, pour finir ma thèse Olga Turcan espère pouvoir boucler ses recherches grâce à la générosité du public (Doc remis) Olga Turcan est chercheuse en sciences du langage à l’Université de Strasbourg. Après avoir cumulé des petits boulots et des bourses, elle doit aujourd’hui faire appel à la générosité publique pour boucler sa thèse. Qui sait que le français est la première langue enseignée en Moldavie ? Et pourtant, dans ce petit pays coincé entre la Roumanie et l’Ukraine, on parle plus français qu’au Vietnam. D’où vient cet intérêt pour notre langue ? Elle travaille sur sa thèse depuis bientôt six ans mais, dans sa matière, les bourses disponibles n’assurent que trois années de recherche. « A la fin d’une thèse, quand on s’attelle à la rédaction, on ne peut plus être interrompu sans arrêt pour se consacrer à d’autres tâches… C’est un travail qui nécessite beaucoup de concentration, sur au moins huit mois dans mon cas. « Pour l’amour du français » La construction de la thèse d’Olga Turcan.
Wall Street Journal Cold Shoulders Co-ops The Wall Street Journal has the widest circulation of any paper in the United States, particularly famous for its coverage of business. And while it may not be surprising, new research by Gar Alperovitz and Keane Bhatt shows the dissapointing fact that the paper barely pays attention to workers cooperatives. In an article entitled “Revealed: Wall Street Journal More Interested in Caviar and Foie Gras Than Employee-owned Firms”, Alperovitz and Bhatt demonstrate the ways that the Wall Street Journal systematically covers the concerns of the rich while ignoring the flourishing solidarity economy. The UN designated 2012 the international year of the cooperative, and, as Alperovitz and Bhatt write, “more than 120 million Americans are members of co-operatives and cooperative credit unions”. While references to foie gras and golf proliferate, the real changes that are transforming the American economy are being ignored. Why are these major shifts in American working life sidelined?
La location peer-to-peer : la Consommation Collaborative et le Droit - Le blog DMI - Assas Quand les entreprises de transport deviennent des entreprises de technologie de l’information. Jusqu’à présent, la révolution de l’information a d’abord touché les industries et les services qui sont ou peuvent être numériques : à savoir les nombres, le texte, le son, les images et les vidéos. Induisant ainsi une transformation des secteurs connexes, tels que la banque, l’édition, la musique, la photo et le cinéma. Désormais, les réseaux mobiles sont en pleine expansion et permettent d’étendre cette révolution aux biens physiques mobiliers et immobiliers, que ce soit des lieux, des voitures, des équipements, des biens de consommation courante ou des outils. Pour illustrer ce phénomène, nous allons prendre l’exemple des nouveaux acteurs du secteur de l’automobile. (En notant que cela pourrait aussi bien s’appliquer au secteur de l’hôtellerie depuis l’arrivée de Airbnb qui permet la location de chambres, appartements, habitations entre particuliers). En quoi cela impacte-t-il ce secteur ?
Share Everything: Why the Way We Consume Has Changed Forever - Emily Badger The “equipment library” at Union Kitchen in Northeast Washington, D.C., contains some of the more mundane artifacts of the modern “sharing economy”: an oversized whisk, a set of spatulas, ladles, chopping knives, sheet pans and tongs. “Collaborative consumption,” as it’s also known, is more often associated with the big-ticket items that have given the concept such bemusing cachet. Suddenly, it seems, people are casually lending and borrowing cars, bikes, even brownstones. But this basic kitchenware, hanging in a 7,300 square-foot warehouse, reveals the reaches to which all this sharing could ultimately expand, as well as the reasons why it will have to. Union Kitchen moved into the space in late November of 2012, taking over what had been the commissary for a chain of local kabob houses. As Singer’s kitchen illustrates, collective ownership in all its evolving forms constitutes less a fleeting fad and more an essential piece of how we’ll live in an increasingly dense, urbanized world.