Nous serons comme des dieux : Les petites amoureuses du roi des dieux – L’amant déguisé en nuage Classement : ReportageThématique : Mythologies(s) - Religion(s)Media : France CultureEmission : InconnueUnivers : Monde grec Nous serons comme des dieux : Les petites amoureuses du roi des dieux – L’amant déguisé en nuage – 06-08-2014 (6′) Comme on l’a vu, Zeus se permet toutes les privautés. Le voilà qui tombe amoureux d’une prêtresse de son épouse Héra ! Mais ce n’est pas sa faute, pour une fois, enfin, pas tout à fait. On lui avait, dit-il, versé un philtre d’amour. La jeune fille s’appelle Io. Pour des amours tranquilles, Zeus se change en nuage. Vite, Zeus change la jeune Io en génisse blanche. Quand elle a le dos tourné, Zeus retrouve sa belle sous la forme d’un taureau et bien entendu, se fait prendre. Pour qu’elle soit bien gardée, Héra confie Io la vache blanche à son parent Argos, un drôle de type à cent yeux et qui n’en ferme jamais que cinquante. Elle court, la malheureuse génisse, elle court en meuglant pour échapper au taon qu’Héra a expédié pour la piquer sans relâche.
Héra Le char de Junon par TIEPOLO (détail) Fille des titans Cronos et de Rhéa, Héra (Ηρα) était la reine du ciel et de l'Olympe. Elle avait été avalée dès sa naissance par son père mais son frère Zeus avait su la rendre à la vie. Epouse et sœur aînée (selon Homère) de Zeus, elle partageait avec lui la souveraineté sur le ciel et la terre. Héra était primitivement la souveraine du ciel, la vierge céleste (d'où son surnom de Parthénia), tout à fait indépendante de Zeus. Son mariage avec celui-ci fut imaginé plus tard, pour expliquer la fusion de deux cultes d'abord distincts. Elle fut identifiée de bonne heure à Junon par les Romains. Héra perdit rapidement son caractère cosmique pour ne garder que des attributs moraux. Le paon d'Héra Son type plastique est peu caractérisé; debout ou trônant, elle portait avec beaucoup de majesté les attributs royaux traditionnels : le diadème et le sceptre surmonté d'un coucou (par allusion aux circonstances de son mariage). Héra Mariage
Légendes, croyances, superstitions : culte des pierres en Bretagne. Histoire, magazine et patrimoine On a pu croire que le culte des pierres n’existait plus au XIXe siècle qu’en Basse-Bretagne ; mais cela tenait seulement à son caractère clandestin. Ainsi qu’on pourra le constater par ce qui suit, il en subsistait des vestiges notables, même en pays gallot. A Roche-Marie, près de Saint-Aubin-du-Cormier, est une allée couverte où jadis les filles qui étaient amoureuses allaient se frotter ; elles avaient ensuite plus de chance pour se marier avec leurs amoureux. En Plouër, non loin du Pont-Hay, et près de la route de Plouër à Pleslin, se trouve la Roche de Lesmon ; elle est sur un tertre où se voient parmi les ronces d’autres rochers bruts en quartz blanc. Les filles ont été de tout temps « s’érusser (se laisser glisser à cu nu » sur la plus haute pierre, qui est un énorme bloc de quartz blanc en forme de pyramide arrondie, d’où l’on a une vue superbe sur toute la vallée de la Rance. En pays gallot existe la coutume de faire marcher les enfants sur la tombe de personnages bienheureux.
EURYDICE et ORPHEE - Société psychanalytique du champ freudien Eurydice ET Orphée AS COHEN Raconter des histoires reste une occupation délicieuse dont les êtres humains raffolent. Elles traversent plusieurs disciplines : Les médias, la littérature, le théâtre, la danse, l’histoire etc… Les psychanalystes, avec et après FREUD, n’ont cessé de relater quelques histoires de cas. Certains cas sont devenus célèbres et ont reçu comme patronymes le signifiant de leur symptôme : « l’homme aux rats », l’homme aux loups… le cas Dora… joyce le Sinthôme. Raconter l’histoire d’un cas en psychanalyse et les problèmes que ça pose, est une façon pour l’analyste de poser son savoir de psychanalyste : C’est une illustration littéraire de l’espace psychanalytique, c’est à dire du transfert : Comment se passe la rencontre ? C’est là, comme dit Jacques LACAN, que l’interprétation doit être preste pour permettre l’entre-prêt, c’est à dire l’entre-prise psychanalytique. Voilà une belle histoire d’amour qui a fait couler beaucoup d’encre, et même des opéras. La solution ?
Pygmalion Il existe deux personnages répondant au nom de Pygmalion Roi (et / ou Sculpteur) légendaire de Chypre. Pygmalion © Boris Vallejo Pygmalion, misogyne ou selon une autre version, indigné par la prostitution sacrée qui régnait sur la ville d'Amathonte, se voua à un célibat absolu ce qui lui permettait en même temps de se consacrer tout entièrement à la sculpture. Parmi toutes ses œuvres, la statue à laquelle il consacrait tout son génie représentait une femme. Le malheureux sculpteur passait ses journées et ses nuits à contempler sa statue. Ainsi, Pygmalion put épouser sa statue et Aphrodite honora leur mariage de sa présence. cliquez pour voir Selon d'autres auteurs ils eurent aussi une fille du nom de Métharmè qui devint l'épouse de Cirynas, roi de Chypre. L'histoire de ce sculpteur a bien entendu tenté des sculpteurs mais aussi des peintres et en particuliers Edward Burne-Jones qui en a fait une série complète. (Virgile, Enéide: I, 299; I, 343)
Chiron (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Chiron. Le nom de Chiron est issu du grec ancien Χείρων / Kheírôn), dérivé du mot grec Kheir qui signifie main[1], il peut être mis en relation avec les Dactyles, (doigts), anciens maîtres de l'art de la métallurgie et des guérisons magiques dans la mythologie grecque. Comme la plupart des mythes grec, l'histoire de Chiron est racontée par fragments par plusieurs poètes. — Apollonios de Rhodes, Argonautiques (2. 1231) De là vient le fait que Chiron soit mi-homme, mi-cheval, et ait l'apparence d'un centaure[2]. Il est considéré comme une divinité mineure car il s'était vu offrir l'immortalité[2]. Un vase représentant Chiron et Achille. Grâce à son savoir, Chiron fut le maître d'Asclépios, de Jason et d'Achille à qui il enseigna les arts de la musique et de la guerre, la cynégétique, et même la médecine et la chirurgie[6], de nombreux autres héros furent aussi ses disciples.
Synthèse « Le mythe de Pygmalion Quand on parle de Pygmalion de nos jours, on pense tout de suite au rapport qu’entretient un " mentor " avec une personne qu’elle a aidé à faire connaître. On emploierait maintenant plus le mot " coach" bien que le terme Pygmalion trouve encore dans nos civilisations un écho certain. En effet, Pygmalion fait partie des mythes fondateurs, ces grands mythes ayant servi à l’humanité à se construire. Pygmalion, profondément misogyne, refuse de se marier car les seules femmes passablement épousables sont des prostituées. Il se réfugie dans la création d’une statue parfaite à ses yeux, représentant de manière très claire son idéal féminin. Ce mythe curieux, issu des métamorphoses d’Ovide (d’ailleurs il est l’un des seuls qui se terminent bien), pose plusieurs questions dont nous essayerons de répondre avec la plus grande objectivité puisqu’il ne s’agit pas de faire ici une thèse universitaire mais une synthèse de ce que nous avons collecté sur ce mythe. Like this: J'aime chargement…
Artemis Artémis (Gr. 'Aρτεμις; Lat. Artemis) était une des grandes divinités du panthéon grec, qui sera identifiée plus tard à Diane des Romains. Fille de Zeus et de Léto, elle était la sœur jumelle d'Apollon et souvent associé à ses exploits. Elle fait partie des douze Olympiens. En réalité, il y eut sous ce nom plusieurs divinités très différentes: l'Artémis hellénique, déesse lunaire, est bien différente de l'Artémis sanguinaire de Tauride Diane de Versailles ©Musée du Louvre Belle et grande jeune femme aux boucles d'or (Hippolyte, Euripide, 73 sqq.) qui dépassait d'une tête toutes ses suivantes, Artémis se plaisait dans les champs, dans les bois et près des sources ; elle aimait la chasse, et poursuivait les bêtes fauves. C'est la déesse des femmes, surtout des jeunes filles vierges. Ses attributs sont l'arc d'or, les flèches, le carquois ou encore la torche (statues du Vatican) et le croissant de lune qui ornait son front. Diane VOUET en 1637 © Hampton Court
Pygmalion et Galatée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mythe[modifier | modifier le code] Ayant nié la divinité d'Aphrodite, les Propétides sont punies par la déesse qui allume dans leur cœur le feu de l'impudicité. Ayant fini par perdre toute honte, elles sont insensiblement changées en ivoire. Les noms de Πυγμαλίων καὶ Γαλατεία Pugmalíôn kaì Galateía évoquent respectivement le poing/coude/bras Πύγμα du sculpteur travaillant au maillet et ciseau, et le lait Γάλα, couleur de la statue mais aussi des Propétides transformées en ivoire. Origines et interprétations[modifier | modifier le code] La critique tombe généralement d’accord pour voir dans Philostéphanos de Cyrène (vers 222-206 av. Ce mythe, relié à celui des Propétides, condamne en fait l’indépendance de mœurs des femmes, déjà à l’époque associée à la prostitution ou la sorcellerie, par contraste avec la fidélité de la statue, création de l’homme qui l’a modelée, seule digne d’amour et récompensée en prenant vie[5]. Littérature Peinture Sculpture
Prométhée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Généalogie[modifier | modifier le code] Mythe de Prométhée[modifier | modifier le code] D'après le pseudo-Apollodore, Prométhée aurait créé les hommes à partir d'eau et de terre[5]. Pausanias place la scène à Panopée en Phocide[6]. (Athéna, née en jaillissant de la tête de Zeus, introduit le souffle de la vie dans ces corps d'argile). Ayant découvert sa ruse, Zeus le punit pour avoir volé les Dieux. Il est puni, non pas pour avoir donné le Savoir aux Hommes mais pour avoir volé les Dieux: En effet, la tâche confiée à Prométhée était de donner un souffle de vie à chaque créature, celle de son frère de les armer (griffes, défenses, crocs…) afin qu'elles se défendent face aux autres créatures. Épiméthée ayant failli, le don du "Feu" corrige son erreur. Dans la version d'Hésiode, c'est à la suite du choix imposé par Prose et les os et dans l'autre, plus petite et moins bien agencée, les meilleurs morceaux. Interprétations[modifier | modifier le code]
Hermès Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Hermès (Ἑρμῆς / Hermễs en grec, Ἑρμᾶς / Hermãs en dorien) est une des divinités de l'Olympe. Il est le messager des dieux, donneur de la chance, l'inventeur des poids et des mesures, le gardien des routes et des carrefours, des voyageurs et du commerce. Il guide les héros et conduit leurs âmes aux Enfers. Il est également le maître des voleurs. Hermès dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Mythe antique[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Poursuivant son premier dessein, il gagne le soir même la Piérie où paissent les troupeaux divins[9]. Quand Apollon découvre son voleur, Hermès commence par prétendre être un nouveau-né sans malice, proposant même de jurer de son innocence sur la tête de Zeus[14]. Amours et descendance[modifier | modifier le code] Parmi ses autres enfants, on compte notamment : Fonctions[modifier | modifier le code] Les trois Hermès[modifier | modifier le code]
Pandore Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Pandore (en grec ancien Πανδώρα / Pandṓra, « le présent de tous ») est la première femme. Elle est associée à la légende de la « boîte de Pandore » (en fait, une jarre). Elle est parfois appelée Anésidora, « celle qui fait sortir les présents des profondeurs », en fait « la Déesse de la terre qui préside à la fécondité ». Mythe[modifier | modifier le code] — Hésiode, Les Travaux et les Jours « Après avoir achevé cette attrayante et pernicieuse merveille, Jupiter ordonna à l'illustre meurtrier d'Argus, au rapide messager des dieux, de la conduire vers Épiméthée. Une fois installée comme épouse, Pandore céda à la curiosité qu'Hermès lui avait donnée et ouvrit la boîte, libérant ainsi les maux qui y étaient contenus. Interprétation[modifier | modifier le code] — Hésiode, La Théogonie Dans Les Travaux et les Jours, Hésiode décrit Pandore comme un « si beau mal » (καλὸν κακὸν / kalòn kakòn)[2].