Migrant Mother, 1936 Migrant Mother, 1936 The image of a worn, weather-beaten woman, a look of desperation on her face, two children leaning on her shoulders, an infant in her lap; has become a photographic icon of the Great Depression in America. The photo was taken in March 1936 at a camp for seasonal agricultural workers 175 miles north of Los Angeles by Dorothea Lange. Lange was working for the Farm Security Administration as part of a team of photographers documenting the impact of federal programs in improving rural conditions. Lange had just completed a month-long photographic assignment and was driving back home in a wind-driven rain when she came upon a sign for the camp. After returning home, Lange alerted the editor of a San Francisco newspaper to the plight of the workers at the camp, presenting him with two of her photos. In 1960, Lange described her experience in an interview with the magazine Popular Photography. Dorothea, how about that camp back there? Are you going back?
Farm Security Administration/Office of War Information Black-and-White Negatives - About this Collection - Prints & Photographs Online Catalog Most images are digitized | All jpegs/tiffs display outside Library of Congress | View All The photographs in the Farm Security Administration/Office of War Information Photograph Collection form an extensive pictorial record of American life between 1935 and 1944. This U.S. government photography project was headed for most of its existence by Roy E. In total, the black-and-white portion of the collection consists of about 175,000 black-and-white film negatives, encompassing both negatives that were printed for FSA-OWI use and those that were not printed at the time. For a video overview of the collection, see "Documenting America, 1935-1943: The Farm Security Administration/Office of War Information Photo Collection." Research Tips Unprinted negatives: You can search for "Untitled" to see images that did not come with a caption card bearing a title and are presumed not to have been printed.
Migrant Mother -- excerpted from No Caption Needed: Iconic Photographs, Public Culture, and Liberal Democracy by Robert Hariman and John Louis Lucaites An excerpt from Iconic Photographs, Public Culture, and Liberal Democracy Migrant Mother Dorothea Lange’s “Migrant Mother” was photographed in February 1936 in a pea pickers’ camp in Nipomo, California, while on assignment as a photographer for the Resettlement Administration (RA), which soon would become the better-known Farm Security Administration (FSA). As Lange told the story years later, the decision to stop at the pea picker’s camp was fortuitous. She was driving home after a month in the field when she happened upon a sign identifying the camp. As was the custom among RA/FSA photographers who were trying to adhere to scientific method, her notes record no names but they do feature socioeconomic categories such as “destitute pea pickers” and “mother of seven children.” Taken within the context of the Great Depression, it is not difficult to see how the photograph captures simultaneously a sense of individual worth and class victimage.
Dorothea Lange - California Museum Dorothea Lange’s photographs have etched the faces of the poor and forgotten into the American memory. Her compassionate images of disadvantaged Native Americans, displaced families of the Great Depression, and interned Japanese Americans during World War II helped develop documentary photography as we know it today. Born in Hoboken, New Jersey, in 1895, she contracted polio at age seven and was left with a lifelong limp. After studying photography as a young woman in New York City, in 1918 she moved to California and opened her own portrait studio in San Francisco. In 1933, Lange and her husband, Paul Taylor, documented the grim exodus of farm families escaping the dust bowl, and her powerful images persuaded many of the need for government programs to aid the dispossessed. Lange died in 1965 but her passion for people and the art of photography left us with era-defining images of 20th century America.
History in Photos: Dorothea Lange - Japanese Internment A farm mother awaits evacuation bus. Centerville, California, 1942 A farm youngster pictured two days before evacuation of persons of Japanese ancestry from this Santa Clara County farming community. 1942 A mother and daughter, Issei and Nisei, who have been living in this Assembly Center for one month, are seen at the door of their home in the barracks. San Bruno, California, 1942 A young member of an evacuee family awaiting evacuation bus. Hayward, California, 1942 An elementary school with voluntary attendance has been established with volunteer evacuee teachers, most of whom are college graduates. Arranging flowers for altar on last day of services at Japanese Independent Congregational Church, prior to evacuation. Awaiting evacuation bus. Baseball is the most popular recreation at this War Relocation Authority center with 80 teams having been formed throughout the Center. College students of Japanese ancestry who have been evacuated from Sacramento to the Assembly Center. 1942
La "Mère migrante" de la Grande Dépression : une vie de battante - 15 août 2016 Pour la deuxième année consécutive, "l'Obs" revient cet été sur les photos qui ont marqué l'histoire. À la une des journaux, dans les pages de nos livres d'école ou arborées fièrement sur nos t-shirts, elles ont fait le tour du monde. Mais connaissez-vous l'histoire secrète de ces clichés mythiques ? Le symbole de la crise économique La dignité. Prise en 1936 au bord d'une route californienne, la photographie montre cette femme de 32 ans entourée de chérubins – ses enfants –, tout près d'un camp accueillant quelque 2.500 travailleurs des champs plongés dans la misère. Dorothea Lange, via Libary of Congress Paradoxe : pendant plus de 30 ans, le public n'a presque rien su de Florence Owen Thompson. "Nipomo, Californie, 1936. Pour la talentueuse photographe, au moment de presser le déclencheur, Florence Owens Thompson ne représente probablement qu'une infortunée de plus, une goutte d'eau dans l'océan des indigents jetés sur les routes par le chômage. Dorothea Lange poursuit : Cyril Bonnet
Le blog de Joconde - Portail des collections des musées de France - Actualité de Joconde, portail des collections des musées de France. Catalogue de 500.000 notices d'objets, valorisées par des visites guidées (partenariat entre le bureau de la diffusion espace professionnel - pilotage de l'informatisation - glossaire des techniques de l'information accès : le fait d'engager la consultation d'un document sur un serveur. Note : Le nombre d'accès est une mesure de l'audience d'un site ou de la fréquence de consultation d'un document. accessibilité numérique : Cela consiste en la mise à la disposition de tous les individus, quel que soit leur matériel ou logiciel, leur infrastructure réseau, leur langue maternelle, leur culture, leur localisation géographique, ou leurs aptitudes physiques ou mentales, des ressources numériques (et notamment celles mises en ligne sur le web). L'Europe reconnaît l'accessibilité numérique comme une obligation citoyenne. administrateur de la base de données : personne responsable de la gestion, du bon fonctionnement et de la sécurité de la base de données. adresse électronique : adresse utilisée sur le réseau Internet pour envoyer et recevoir du courrier électronique. alignement : mise en correspondance de référentiels (vocabulaires contrôlés sous la forme de thésaurus, listes d’autorité…).
S01 - Le Projet Scientifique et Culturel a-t-il de l’avenir ? 1La démarche de Projet Scientifique et Culturel (dit « PSC » dans le jargon professionnel) a été initiée par la Direction des Musées de France (DMF) pour encadrer le formidable mouvement d’expansion des musées qui a caractérisé les années 1980-1990 : créations de musées, constructions et rénovations de bâtiments, professionnalisation des personnels et des pratiques, augmentation spectaculaire des publics, grandes expositions toujours plus coûteuses et plus fréquentées, démarche marketing… Au musée d’Histoire de Nantes, le château des ducs de Bretagne est le premier objet de la collection. © Musée d’Histoire de Nantes 2Les musées changent beaucoup depuis deux ou trois ans et le contexte évolue encore plus vite. 3Un musée ne peut plus se contenter de gérer l’existant. 6Le PSC s’appuie sur une analyse de la vocation et de l’environnement du musée, ainsi que sur l’identification des attentes et demandes des destinataires du musée (tutelles, publics, partenaires) pour y répondre au mieux.
Les Raisins de la colère Les Raisins de la colère (titre original en anglais : The Grapes of Wrath) est un roman de John Steinbeck publié en 1939. L'auteur reçoit pour cette œuvre le prix Pulitzer en 1940. L'intrigue se déroule pendant la Grande Dépression (la Grande Dépression est une période qui débute lors du krach de 1929 et qui se termine par le début de la Seconde Guerre mondiale, en 1939) et le lecteur suit les aventures d'une famille pauvre de métayers, les Joad, qui est contrainte de quitter l'Oklahoma à cause de la sécheresse, des difficultés économiques et des bouleversements dans le monde agricole. Ce roman met fin à la période la plus sociale de l'œuvre de l'écrivain américain et clôt, avec En un combat douteux (1936) et Des souris et des hommes (1937), ce que les critiques appellent parfois la « trilogie du travail » (labor trilogy) ou la « trilogie du Dust Bowl » (Dust Bowl trilogy)[1]. Résumé[modifier | modifier le code] L'histoire commence au moment où Tom Joad sort de prison. Soit en français :
New Deal Photography / La Photographie du New Deal - USA 1935-1943 Au début, on se dit : "Encore une nouveauté qui ressemble à une vieillerie...". Pour un mardi de rentrée, voyons ce qui se fait de nouveau, de moderne... De fait, le sujet n'est pas nouveau, mais ce livre se révèle passionnant. Taschen publie en une somme de 608 pages, dans sa petite collection Bibliotheca Universalis que nous aimons tant, ce qu'il a appelé New Deal Photography : "La Photographie du New Deal" (le titre n'est pas traduit en couverture, mais le texte l'est). L'éditeur allemand y a sélectionné, sur un critère exclusivement esthétique et clairement assumé, des extraits de la fameuse collection de photographies noir et blanc et couleur commandée de 1935 à 1943 par la Farm Security Administration, ou FSA. New Deal-FSA, deux notions qui nous ramènent à la dureté des années 1930, dans ce pays qui n'a pas encore la grandeur qu'on lui connaît maintenant : les États-Unis d'Amérique. Le 24 octobre 1929, un certain Jeudi noir, la Bourse de New York plonge. Edwin Rosskam.
1930s-40s in Color | Flickr Woody Guthrie Woody Guthrie [ˈwʊdi ˈɡʌθɹi][1] (né le 14 juillet 1912 à Okemah, Oklahoma — mort le 3 octobre 1967) est un chanteur et guitariste folk américain. Figure emblématique des hobos (« vagabond » produits par la Grande Dépression), il devient un important porte-parole musical des sentiments ouvriers et populaires. Ses chansons militantes inspirent le renouveau du folk américain des années 1960, à la tête desquelles on trouve des interprètes tels que Bob Dylan, Joan Baez et Phil Ochs[3],[4]. Biographie[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code] Woody Guthrie est le troisième d'une famille de cinq enfants. Son père, Charley Edwards Guthrie, quitte le sud du Texas et s'installe dans le Territoire indien, aujourd'hui l'Oklahoma en 1897. Sa mère, Nora Sherman Guthrie, s'installe dans la même région avec ses parents autour de 1900[6]. Figure de proue du mouvement folk des années 1960, Woody Guthrie est avant tout un musicien de country. New York[modifier | modifier le code]