La brochure de l’UNESCO Pourquoi enseigner l’Holocauste ? La brochure de l’UNESCO Pourquoi enseigner l’Holocauste ? permet aux responsables politiques, éducateurs et élèves intéressés d’explorer le potentiel pédagogique inhérent à l’apprentissage de l’une des pages les plus sombres de notre histoire commune. Elle met en relief les questions universelles posées par l’histoire de l’Holocauste, présente aux éducateurs quelques-uns des principaux défis et possibilités associés à l’enseignement du génocide et donne un aperçu de la variété des ressources disponibles dans le domaine. Élaborée par le Secteur de l’éducation de l’UNESCO, la brochure est disponible dans les six langues officielles des Nations Unies : anglais, arabe, français, chinois espagnol et russe <- retour vers Toutes les actualités
Bienvenue à « Auschwitzland » | Auschwitz, notre devoir de mémoire Auschwitz, notre devoir de mémoire Comment éviter que le camp de concentration d'Auschwitz ne soit qu'une étape, parmi d'autres, d'un circuit touristique? Toute visite à Auschwitz laisse sa marque. Un texte de Raymond Saint-Pierre Je m'y étais rendu il y a 20 ans, avec le réalisateur Georges Amar pour le 50e anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz. Vingt ans plus tard, bien des gens se demandent si on n'est pas en train de dénaturer ce lieu de mémoire. Le journaliste Konstanty Gebert, que j'ai interviewé lors de mon passage en Pologne, en a long à dire sur le sujet. « Tu entres sur les lieux au péril de ton âme. Écoutez les témoignages du journaliste Konstanty Gebert et du père Patrick Desbois Plusieurs, dans ce qui reste de la communauté juive polonaise, débattent de ce qu'il faut faire pour préserver ce lieu, dont les constructions en bois sont usées par le temps. Cliquez ici pour voir le montage de notre caméraman Alexey Sergeyev sur Auschwitz.
Auschwitz, mémoire d'un miraculé | Auschwitz, notre devoir de mémoire Le reportage de Jean-François Bélanger Au moment où l'Europe marque le 70e anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz, Raphaël Esrail, un des rares rescapés encore vivants, témoigne de son voyage au bout de l'horreur et de son incroyable survie. Il parle aussi du devoir de mémoire. Un texte de Jean-François Bélanger Le visage de Raphaël Esrail s'illumine quand on lui demande de raconter son histoire : le récit extraordinaire d'un survivant, d'un Juif revenu vivant, envers et contre tout, de l'enfer des camps de la mort d'Auschwitz et de Birkenau. « J'ai été plusieurs fois miraculé. » — Raphaël Esrail Le témoignage de Raphaël Esrail Cette histoire, il a bien dû la raconter des milliers de fois aux journalistes qui se pressent à sa porte tous les cinq ans à l'anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz. « Préserver la mémoire, c'est une de mes occupations et de mes préoccupations depuis un peu plus de 20 ans. » — Raphaël Esrail
La libération du camp d'Auschwitz-Birkenau Résumé Le camp d'Auschwitz-Birkenau est libéré par l'offensive de l'Armée rouge le 27 janvier 1945. Un million de juifs sont morts dans les chambres à gaz. Catholiques, résistants, opposants, tziganes, homosexuels ont aussi été enfermés. Il reste quelques centaines de survivants. Si vous rencontrez des problèmes pour visionner la vidéo, cliquez ici Cursus - 1re générale / Histoire - 3e / Histoire
Commémoration de l'Holocauste2015 19h30 Jusqu’au dernier, la destruction des Juifs d’Europe, une série documentaire de William Karel et Blanche Finger En partenatiat avec France 2 Une série produite par Pawel Rozenberg, Céline Nusse, coproduite par Zadig Productions et Looks Film Textes lus par Yvan Attal, Lambert Wilson et Rut El Yuvi. « Jusqu'au dernier, la destruction des Juifs d'Europe » revient, soixante-dix ans après la libération du camp d’Auschwitz Birkenau par l'armée rouge, sur les étapes de la Shoah entre 1933 et 1945. Projection de deux épisodes, 2 x 52’, version française. 19heures - Concert de l’Orchestre symphonique de Jérusalem Sous la direction de Frédéric Chaslin Ode à la Paix, de Frédéric ChaslinSymphonie no 13 en si bémol mineur (op. 113, Babi Yar), de Dmitri Chostakovitch, sur la base de poèmes de Evgueni Evtouchenkouite yiddish, de Norbert Glanzberg 14h 45 - « Vie, liberté et héritage des rescapés de la Shoah » Table ronde - « Culture, mémoire et transmission » Avec la participation de : 19h30-21 heures
Eric Schwab, photographing the unspeakable By Yves Gacon A prisoner dying of dysentery at Buchenwald concentation camp, as it was liberated in April 1945 (AFP Photo / Eric Schwab) PARIS, February 13, 2015 - It comes down to a few dozen pictures by Eric Schwab, preserved in the Agence France-Presse archives. An insignificant number in a photographic fund of more than 30 million digital documents and seven million analog files. But whose value in historical terms is inestimable. One of the first photographers to work for the modern-day AFP, founded in 1944 as France was freed from Nazi occupation, Eric Schwab was among the very first witnesses to the boundless horror that Allied forces uncovered as they advanced into Germany, liberating the death camps one after the other. Schwab formed a partnership with the American writer and journalist Meyer Levin, travelling together into the darkness on board their jeep “Spirit of Alpena”. “We had known. Inmates of Block 61 at Buchenwald death camp (AFP Photo / Eric Schwab)
70 ans plus tard, Auschwitz porte encore les traces de l'horreur Le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz constitue un passage difficile, mais un chemin obligé pour qui ne veut pas oublier l'abomination de l'Holocauste. Visite d'Auschwitz I et de Birkenau, deux des principales sections du camp de la mort. Un photoreportage de Melanie Julien Bien que l'on soit tous au courant de ces horreurs, ce n'est que sur place qu'on peut en mesurer l'ampleur. Marcher dans ce camp nous atteint en plein coeur. Une douleur invisible nous traverse. Melanie Julien « Le travail rend libre », peut-on lire sur cette enseigne à l'entrée du camp, par où arrivaient les déportés. Melanie Julien La baraque de la mort abritait les prisonnières sélectionnées par les SS.
Auschwitz Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Auschwitz-Birkenau ou plus simplement Auschwitz (en allemand : Konzentrationslager Auschwitz Ce camp de concentration, dirigé par les SS, est créé le par Heinrich Himmler[1]et libéré par l'Armée rouge le . En cinq années, plus de 1,1 million d'hommes, de femmes et d'enfants meurent à Auschwitz, dont 900 000 immédiatement à la sortie des trains qui les y transportaient. 90 % de ces personnes étaient juives. Ces victimes de ce que les nazis appelèrent la « solution finale » furent tuées dans les chambres à gaz ou parfois par arme à feu, mais elles moururent aussi de maladies, de malnutrition, de mauvais traitements ou d'expériences médicales. En raison de sa taille, Auschwitz est considéré comme le symbole des meurtres de masse commis par les nazis et plus particulièrement comme celui de la Shoah, au cours duquel près de six millions de juifs furent assassinés. Un vaste complexe[modifier | modifier le code] Auschwitz est un camp de travail.
Marc Levy, à l'ombre du père LE MONDE DES LIVRES | • Mis à jour le | Par Josyane Savigneau C'est en 2000, année symbolique, que Marc Levy a publié son premier livre, Et si c'était vrai..., presque à son corps défendant, parce que sa soeur l'a harcelé jusqu'à ce qu'il envoie son manuscrit à un éditeur. Il a souvent raconté cette histoire, pour la plus grande irritation de ceux qui sont jaloux de son succès. Ce récit, écrit au départ pour son fils, est en effet devenu un best-seller immédiat, et les cinq suivants ont eu le même destin, totalisant plusieurs millions d'exemplaires vendus. Après six ans passés à la Croix-Rouge, une création d'entreprise aux Etats-Unis - et son échec, qui l'avait laissé "sans le sou" -, puis un travail réussi, à Paris, avec des amis, dans un cabinet d'architecture, cet homme qui avait alors 39 ans ne s'attendait pas à devenir célèbre en écrivant. Après six livres, Marc Levy pouvait penser qu'il maîtrisait sa partition et qu'il était inutile de prendre des risques.
Judéité Thierry Lévy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article ou cette section traite d’une personne morte récemment(30 janvier 2017). Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. N’hésitez pas à participer, en veillant à citer vos sources. Les biographies étant habituellement écrites au présent de narration, merci de ne pas mettre au passé les verbes qui sont actuellement au présent. Par ailleurs, dans une rédaction encyclopédique, il vaut mieux parler de la « mort » de quelqu'un que de son « décès ». Pour les articles homonymes, voir Lévy. Biographie[modifier | modifier le code] Son père meurt alors que Thierry Lévy, collégien à Janson-de-Sailly, a 14 ans. Carrière[modifier | modifier le code] Admis au barreau de Paris en , Thierry Lévy est, en , commis d'office, avec l'avocat Rémy Crauste, pour défendre Claude Buffet pour l'assassinat de deux otages à la maison centrale de Clairvaux avec Roger Bontems. Publications[modifier | modifier le code]
Thierry Lévy, maître de sa rage Quand sa colère déborde, l'avocat publie un livre. Dans le dernier, il refuse d'être figé dans une identité juive. Une manière de poursuivre son combat contre la victimisation qui envahit les prétoires. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pascale Robert-Diard Mais comment ça tient, autant de violence dans un corps de moineau affamé ? Quand il entre dans un prétoire, le froid se fait aussitôt. Thierry Lévy a vu tomber une tête. Les murs sont ses ennemis particuliers. Quand sa colère déborde, Thierry Lévy écrit un livre. Et c'est parti pour une poignée de pages dérangeantes. De ces années naîtront les trois enfants du couple, qui, de retour dans la capitale, seront tous baptisés par l'évêque de Paris. Ainsi grandit Thierry Lévy, qui se sent "chez (lui)dans les églises", qui a "tellement peu souffert de l'antisémitisme qu'à 20 ans (il pouvait) proclamer qu'en France il avait disparu" et qui pourtant, au fil des ans, va se découvrir "juif aux yeux des autres, les juifs et les non-juifs".