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Open Data : comment les collectivités s'y mettent

Open Data : comment les collectivités s'y mettent
L’Open Data, il faut y aller mais comment ? En France, depuis deux ans, une vingtaine de collectivités pionnières ont ouvert leur portail. Les Hauts-de-Seine, la communauté d’Agglo Versailles Grand Parc, viennent tout juste de franchir le pas. Reste une immense majorité de collectivités qui, les mains dans le cambouis, se frottent aux multiples interrogations que la démarche suscite : internet ou sur demande, quelle licence, quel portail, quelles données, etc… Pour savoir où en sont les acteurs publics, une vaste étude (227 pages) de Serdalab, laboratoire de veille et d’études, qui s’appuie sur deux enquêtes réalisées entre juin et septembre 2012 auprès d’un échantillon de 60 acteurs publics et collectivités locales vient d’être publiée (1). Pas facile d’identifier les jeux de données à libérer - Premier enseignement : rétrospectivement, la plus grande difficulté, c’est l’identification des jeux de données à libérer.

Les petits secrets de la RATP révélés au public En 2011, 23 voyageurs sont décédés dans le métro parisien, et 7738 se sont blessés. La même année, 71 personnes ont tenté de se suicider dans une station du réseau et les services de sécurité ont recensé 494 atteintes physiques contre les agents de la RATP, 88 (soit 18%) de plus que l’année précédente. Les bus de voyageurs circulant à Paris et en Ile-de-France ont été impliqués dans 13760 accidents de la circulation, au cours desquels 585 voyageurs ont été blessés. La 4 la plus lente. Des centaines de chiffres. Pour Data Publica, cette opération constitue clairement un "coup" destiné à montrer l’intérêt, pour le grand public, de disposer de données complètes et détaillées, notamment dans le secteur des transports. Changement de cap. Une mine. Pour en savoir plus sur l'open data, voir le blog J'ai du bon data, animé par le journaliste du Monde.fr Alexandre Léchenet. Signaler ce contenu comme inapproprié

Open data: un premier bilan positif Au lendemain de la Journée internationale des données ouvertes, le président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Laurent Blanchard, dresse un bilan positif de la première année d’ouverture de données (open data) par la métropole. M. Blanchard a souligné que Montréal a été la première ville du Québec à partager sa banque d’information municipale sur son portail web, en octobre 2011. «Nous avons plus que doublé nos ensembles de données et les applications qu’elles génèrent sont de plus en plus nombreuses, variées et utilisées», a fait savoir M. Blanchard dimanche, par voie de communiqué. Le comité exécutif recommandera l’adoption d’une Politique de l’ouverture des données de la Ville aux prochaines séances du conseil municipal. «Montréal doit rejoindre le mouvement international en faveur de l’accessibilité de ses données afin de rattraper son retard par rapport aux autres métropoles, a affirmé la chef de Vision Montréal, Louise Harel, samedi. Aussi dans Montréal: Partager:

Microsoft rejoint l'Open Data Center Alliance Microsoft rejoint l’ODCA, l’Open Data Center Alliance, une organisation qui vise à promouvoir un datacenter ouvert et interopérable. Une démarche qui pourrait surprendre de prime abord… Ce serait cependant oublier que c’est Intel qui est à l’origine de ce projet, lequel réunit de nombreux acteurs du marché autour d’entreprises qui opèrent des datacenters. Plus de 300 entreprises sont membres de l’ODCA. Parmi elles, des ‘clients’ comme BMW, Capgemini, Deutsche Bank, Disney Technologies, Lockheed Martin, Marriott ou UBS, qui sont membres du comité exécutif. Ou encore Dell, Hewlett-Packard, EMC ou Red Hat. Intel fait office de conseiller technique. Open Data Center Alliance L’ODCA publie des modèles d’usage du datacenter considérés comme autant de guides pour un datacenter ouvert. L’adhésion de Microsoft à l’ODCA C’est dans cet environnement que Microsoft a annoncé son adhésion à l’ODCA. Voir aussi

Big Data Means More Than Big Profits - Jim Fruchterman by Jim Fruchterman | 8:00 AM March 19, 2013 Big Data is all the rage in Silicon Valley. From Facebook to Netflix, companies are tracking and analyzing our searches, our purchases, and just about every other online activity that will give them more insight into who we are and what we want. And though they use the massive sets of data they collect to help create a better experience for their consumers (such as customized ads or tailored movie recommendations), their primary goal is to use what they learn to maximize profits. But can Big Data also create positive social change? Many activities in the social sphere also generate lots of information. Now, as a pragmatic idealist I’ve always believed that technology could be an immense force for good in the world, but I’ve also recognized that great technology wouldn’t get developed — no matter how beneficial — if it was missing one important factor: big profits. Social entrepreneurs should focus on Big Data for the social good.

How Can Big Data Have a Social Impact? Find us on Google+ facebook twitter linked-in Email Subscribe Login Up for Debate: How Can Big Data Have a Social Impact? Debates & Series Up for Debate: How Can Big Data Have a Social Impact? 9 responses Big Data has the potential to transform development and accelerate social progress around the world, but there are issues surrounding understanding, ownership, privacy, capacity, measurement and more that need further dialogue and discussion. Big Data Means Smarter Cities Jen Crozier Vice President, Global Citizenship Initiatives, IBM Fueling and Igniting the Big Data Engine for Social Good Jason Payne Philanthropy Engineering Lead, Palantir Technologies You Can't Just Hack Your Way to Social Change Jake Porway Founder and Executive Director, DataKind Big Data as Society's Watchdog Tom Lee Director, Sunlight Labs Moving from Big Data to Big Wisdom Darin McKeever Deputy Director, Charitable Sector Support, Global Policy and Advocacy, Gates Foundation, Bill and Melinda Robert Kirkpatrick Jacob Harold

La région Ile-de-France libère ses données publiques lors d'un hackathon Dans le cadre des projets d’aménagement du territoire francilien et d’ouverture des données publiques de la région, le conseil général d’Ile-de-France organise un hackathon les 22, 23 et 24 mars prochains. Nommé Hack Data Week-end « Ile-de-France 2030″, ce hackathon s’adresse aux développeurs, urbanistes, cartographes et designers qui, en ayant accès aux données publiques de la région, auront 48h pour créer des applications et contenus interactifs liés à l’aménagement du territoire francilien à l’horizon 2030. Avec le soutien de la Fonderie, l’agence numérique d’Ile-de-France et de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme régional, qui prête ses locaux pour l’occasion, le Hack Data Week-end réunira une cinquantaine de participants répartis au sein de dix équipes. Le déroulement du week-end est détaillé dans cette infographie :

Open Data : voyage dans une démocratie créative L'administration publique possède, dans son activité quotidienne, « un gisement de données à la fois fiables et utiles » constate Pierre Paul Penillard. Les informations structurées constituent l'Open Data : une dynamique « de mise à disposition » des données publiques numériques. Quels sont les enjeux et les objectifs de l'Open Data71 ? Paul Penillard, au micro Le projet d'Open Data crée, il y a presque deux ans (en septembre 2011), par le Département de la Saône-et-Loire devrait inciter, dans les années à venir, d'autres collectivités à se lancer dans le partage de leurs fichiers numériques. L'ouverture des données doit faciliter la circulation des informations sans contraintes techniques. « Il y a un mouvement sociétal » qui profite de cette dynamique, précise Pierre Paul Penillard. Tous les acteurs sont concernés : aussi bien l'État, les administrations, les collectivités territoriales que les citoyens, eux-mêmes. « Mais que vient faire une bibliothèque dans l'Open Data ?

Les données culturelles, absentes de la feuille de route du gouvernement sur l’Open Data En marge de son séminaire numérique, le gouvernement a publié jeudi une feuille de route en matière d’ouverture et de partage des données publiques. Ce texte comporte plusieurs éléments intéressants, qui viennent concrétiser la mesure n°15 annoncée lors du séminaire gouvernemental sur le numérique : "Faire de l’ouverture des données publiques le levier de la modernisation de l’activité publique". Le gouvernement a fixé le cap en matière d’Open Data, mais les données culturelles ne sont même pas sur la carte… (Boussole. Par Claude Robillard. Pourtant, même si l’on peut se réjouir que le nouveau gouvernement poursuive l’effort d’ouverture des données, il reste un sujet désespérément absent du radar : celui des données culturelles. Nul doute que ces domaines sont importants, mais qui peut nier que le champ de la culture revêt un caractère stratégique, surtout dans un pays comme la France ? Dans ces conditions, faut-il désespérer ou se résigner ? Like this: J'aime chargement…

Phil Simon: Better Car Insurance Through Data The following is excerpted from "Too Big to Ignore: The Business Case for Big Data." John Wiley & Sons will be publishing this in early March of 2013. Much like the baseball revolution pioneered by Billy Beane, car insurance today is undergoing a fundamental transformation. Which drivers routinely exceed the speed limit and run red lights? Thanks to these new and improved technologies and the data they generate, insurers are effectively retiring their decades-old, five-variable underwriting models. How often you make hard brakes, how many miles you drive each day, and how often you drive between midnight and 4 a.m. can all impact your potential savings. Is Progressive the only, well, progressive insurance company? So what does this mean to the average driver? Steve, a 21-one-year-old New Jersey resident who drives a 2012, tricked-out, cherry red CorvetteBetty, a 49-year-old grandmother in Lincoln, Neb., who drives a used Volvo station wagon To order the book on Amazon, click here.

The Square Kilometre Array: The World’s Ultimate Big Data Challenge John Kelly, Senior Vice President and Director, IBM Research By John Kelly A few weeks ago, I shared a dinner table in Johannesburg with Adrian Tiplady, one of the managers of Square Kilometre Array South Africa, which is managing the country’s involvement in the Square Kilometre Array astronomy project. It’s gratifying when scientists from other domains come together to push computing and computer science forward. The SKA’s more than 500,000 antennas scattered across southern Africa and Australia will produce a torrent of data that’s equivalent to 10 times the daily global Internet traffic. IBM has placed multiple bets on the SKA. Bradley Frank, Prof. Far beyond the SKA, I believe that advances we and our partners make will be useful in a wide range of computing applications—everything from core scientific research to analysis of business data across a range of industries, including health care, banking and telecommunications.

L'Open Data ou comment consacrer un droit d'accès aux données publiques Comment accorder à toute personne intéressée un droit d’accès aux données publiques, qu’elles proviennent de l’État ou des collectivités locales ?Par Roseline Letteron. L‘Open Data fait partie de ces concepts apparemment nouveaux qui ne font l’objet d’aucune traduction française, tant il convient de respecter la lumineuse pensée américaine, sans la dénaturer par une traduction qui ne pourrait que l’appauvrir. En réalité, l’Open Data désigne fort simplement l’ouverture des données publiques, y compris pour leur réutilisation. Cette notion a été récemment utilisée dans le programme dévoilé le 28 février par Jean-Marc Ayrault. Les dangers du Soft Law À l’exception des textes juridiques déjà accessibles depuis le décret du 9 août 2002, l’accès aux données publiques relève donc, du moins pour le moment, du Soft Law, autre notion américaine qui désigne toute règle reposant sur la bonne volonté des intéressés et non pas sur la contrainte juridique. La consultation de la CNIL Pouvoir réglementaire

OpenStreetMap, les trois applications coup de coeur sur Android OSMTracker Un bloc note, un crayon, arf... c'est un peu old school tout ça non? De plus, combien de fois vous est-il arrivé de ne plus vous souvenir de l'exacte configuration d'un carrefour ou des éléments présents? Que diriez-vous alors, si je vous annonçais qu'il existe une application spécifiquement dédiée à la collecte de données. Que celle-ci permet notamment d'enregistrer des messages, des notes ou de prendre des photos géoréférencées. External Links icon . Vespucci Malgré toutes les qualités de OSM Tracker , je dois avouer que je l'ai remplacée depuis quelque temps par Vespucci . remplit parfaitement ce rôle. Contrairement à OSM Tracker qui est spécialisé dans la collecte de données, Vespucci permet d’éditer directement la base OSM. Par contre, n'oubliez pas que vous êtes sur un environnement aux capacités (mémoire, processeur, etc.) plus limitées. Site du projet External Links iconWIKI OSM du projetExternal Links iconGoogle StoreExternal Links icon indispensables touche à sa fin.

La Gazette des communes publie les résultats d’une intéressante enquête sur les difficultés qu’éprouvent les collectivités à passer à l’Open Data. L’enquête montre que les collectivités peinent à identifier les jeux de données publiables, puis viennent les interrogations techniques. En général, le projet est impulsé par la direction générale et par un élu. Les motivations sont liés à la mission de service public et à l’amélioration du service. Enfin, l’offre et la demande semblent relativement corrélées, mais la question de savoir si les applications sont créées en fonction des données où si l’offre correspond aux attentes des réutilisateurs ne semble pas encore bien tranchée. by frv100frv100 Mar 1

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