Plan Vigipirate
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le plan Vigipirate est un des outils du dispositif français de lutte contre le terrorisme. Il se situe dans le champ de la vigilance, de la prévention et de la protection. Il peut être prolongé par d’autres plans gouvernementaux dans le champ de l’intervention[1]. Il s’agit d’un dispositif permanent qui s’applique en France et à l’étranger, et à tous les grands domaines d’activité de la société (les transports, la santé, l’alimentation, les réseaux d’énergie, la sécurité des systèmes d’information…). Il vise à associer tous les acteurs de la Nation susceptibles de contribuer à la vigilance et à la protection contre la menace terroriste : l’Etat, les collectivités territoriales, les opérateurs, les citoyens. Principes généraux[modifier | modifier le code] Le plan Vigipirate a pour objectifs : Les principes sur lesquels il repose sont les suivants : Il se compose de deux parties : Le plan Vigipirate repose entièrement sur le droit existant.
MENE1428315C
Préambule Dans l'enseignement primaire, un directeur veille à la bonne marche de chaque école maternelle ou élémentaire. Il prend toute disposition pour que l'école assure sa fonction de service public. La redéfinition des missions du service public d'éducation par la loi d'orientation et de programmation pour la refondation de l'École de la République du 8 juillet 2013, la priorité donnée à l'enseignement primaire dans la refondation, notamment par la nouvelle organisation du temps scolaire des écoles, ainsi que la réorganisation de la formation des enseignants dans le cadre des écoles supérieures du professorat et de l'éducation (Espe), conduisent à préciser les attributions du directeur d'école dans les trois domaines de responsabilité que lui confère la réglementation en vigueur, notamment les articles 2 à 4 du décret n° 89-122 du 24 février 1989 : le pilotage pédagogique, le bon fonctionnement de l'école et les relations avec les partenaires. I - Responsabilités pédagogiques Annexe I
Rentrée 2016 : « L’angoisse des adultes est ce qui inquiète le plus les enfants »
LE MONDE | • Mis à jour le | Propos recueillis par Claire Ané Marie Rose Moro, pédopsychiatre et psychanalyste, dirige la Maison de Solenn-Maison des adolescents de l’hôpital Cochin. Elle publie Osons être parents, le 14 septembre, aux éditions Bayard Culture. Comment parler aux enfants du risque terroriste ? Marie Rose Moro : Oui, bien sûr, il faut dire aux enfants pourquoi les soldats sont devant l’école. Ma fille de 9 ans a été très affectée par l’exercice de sécurité dans l’école, où ils devaient se cacher sous les tables au cas où un méchant vienne. Pour les enfants de classe élémentaire, parfois on pense qu’ils comprennent les choses comme les grands, mais en fait ils ont aussi des scénarios dans la tête, parfois plus effrayants encore que la réalité. Mais comment ne pas transmettre à nos enfants notre propre angoisse concernant les risques d’attentat dans les écoles ? L’angoisse des adultes est ce qui inquiète le plus les enfants de cet âge-là.
Victoire judiciaire de l’Uruguay sur le cigarettier Philip Morris
Le géant helvético-américain demandait 25 millions de dollars à Montevideo en compensation des pertes causées par la réglementation antitabac locale. Le Monde.fr avec AFP et AP | • Mis à jour le L’Uruguay a remporté son long conflit contre le cigarettier Philip Morris, qui lui réclamait 25 millions de dollars (près de 22,5 millions d’euros) en compensation des pertes occasionnées par la stricte réglementation antitabac locale. Le géant helvético-américain poursuivait depuis 2010 ce petit pays sud-américain (3,3 millions d’habitants) pour avoir notamment augmenté la taille des avertissements sanitaires sur les paquets de cigarette. « L’Etat uruguayen est sorti victorieux et les réclamations de la compagnie de tabac ont été rejetées », a déclaré, vendredi 8 juillet, le chef de l’Etat Tabaré Vázquez à la télévision, après le jugement favorable émis par le tribunal arbitral de la Banque mondiale (Ciadi). Revers similaire en mai