11 réseaux sociaux en fiches pratiques pour une utilisation pédagogique Dans le cadre de l’enseignement des MITIC (Médias, Images et Technologies de l’Information et de la Communication) à l’école, le centre Fri-Tic (centre de compétences responsable de tous les aspects en lien avec les MITIC) dans le domaine de l’enseignement du canton de Fribourg (Suisse) met à jour régulièrement des fiches signalétiques sur les principaux réseaux sociaux grand public et leur possible utilisation dans un cadre pédagogique. Ces fiches réseaux sociaux (liste complète ci-dessous) diffusées sous licence Creative Commons décrivent avec précision les infos nécessaires et principales fonctions, pratiques numériques avec ces plateformes tout en portant un regard critique et des possibilités pédagogiques avec ces services. Les fiches utilisent une grille commune d’analyse (voir en fin d’article). 11 services de réseaux sociaux analysés Fiche d’analyse Facebook (pdf) Fiche d’analyse Twitter (pdf) Fiche d’analyse Spotify (pdf) Fiche d’analyse Snapchat (pdf) Fiche d’analyse Skype (pdf) Bilan
Liberté d’expression et ses limites | Internet responsable Page mise à jour le 04 octobre 2016 En France, la liberté d’expression est consacrée par l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. En revanche, la liberté d’expression n’est pas un droit absolu et elle se trouve affectée de nombreuses limites que les internautes ne doivent pas ignorer. Présentation La liberté d’expression est un droit fondamental. Il n’est donc pas ici question de brider la liberté d’expression de quiconque, enseignant, personnel non enseignant, chef d’établissement, élève ou parent, mais d’effectuer un rappel des limites fixées par la loi. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 énonce : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme, tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. » Le principe est ainsi posé mais encore faut-il connaître les limites. Illustration En savoir plus...
La liberté d’expression sur Internet, envers et contre la haine Depuis le début de « l’affaire des tweets antisémites », il y a plus d’un an, la question est de nouveau posée de savoir s’il faut adapter la législation française pour renforcer la répression sur Internet, en particulier contre les discours racistes, sexistes, homophobes. À l’heure où des initiatives gouvernementales convergent en ce sens et après plusieurs mois de dialogue avec les associations de lutte contre les discriminations, les membres de La Quadrature du Net ont voulu rappeler les raisons qui nous poussent à une défense résolue de la liberté d’expression sur Internet face aux remises en cause dont elle fait l’objet. Dire aussi que, dans un contexte caractérisé par la banalisation des discours d’intolérance dans les sphères politiques et médiatiques et en plein débat sur les injures racistes qui visent la ministre de la Justice, Internet ne doit pas être vu comme une menace mais bien davantage comme un des outils par lequel la peur de l’autre doit être combattue.
LA PROTECTION DU LOGICIEL PAR LE DROIT D’AUTEUR Le logiciel occupe aujourd’hui une place importante de l’économie numérique, en effet, celui-ci est embarqué dans de nombreuses machines, il est devenu indispensable. C’est pourquoi il est apparu nécessaire de savoir quelle protection était accordée au logiciel, or la réponse à cette question n’était pas évidente, puisque l'on pouvait hésiter entre une protection accordée via le droit des brevets, le droit d’auteur, ou encore crée un régime propre au logiciel. C’est finalement la protection par le droit d’auteur qui a été choisie. Il convient d’abord de définir ce qu’est un logiciel. Si le Code de la propriété intellectuelle n’apporte pas de définition arrêtée en la matière, la Commission de terminologie française a apporté des précisions quand au terme de logiciel, dans des travaux publiés au journal officiel du 17 janvier 1982. Le logiciel est protégé en France par le droit d’auteur. Toutefois le choix de la protection par le droit d’auteur n’a pas toujours été évident.
#Charlie : la liberté d’expression défendue dans la rue, menacée sur le Net Par Erwann Gaucher, adjoint à la direction de France Télévisions Editions Numériques « Plusieurs millions de personnes ont défilé le 11 janvier pour défendre la liberté d’expression, et la première chose que les politiques font après cette marche c’est d’affirmer qu’il faut réguler internet. Mais quel est le rapport ? Ce paradoxe, que souligne le journaliste Jean-Marc Manach, est l’une des nombreuses questions auxquelles les participants au séminaire « Journalisme et bien commun à l’heure des algorithmes » ont tenté de répondre cette semaine à Paris au Collège des Bernardins. Le numérique peut-il garantir la liberté d’expression en la répandant plus vite que ce ne fut jamais le cas, ou la pervertir en mettant à disposition de tous des outils de censure ou de radicalisation ? Comme très souvent lorsqu’on interroge le numérique, il faut d’abord interroger les usages. « Le public est totalement partie prenante de l’information désormais. L'anonymat n'existe pas sur Internet @egaucher
Liberté d’expression sur l'Internet L’UNESCO reconnaît l’énorme contribution que l’Internet peut apporter au développement. L’Internet fournit un volume de ressources sans précédent au service de l’information et du savoir et offre de nouvelles opportunités d’expression et de participation. L’UNESCO assume sa responsabilité consistant à promouvoir la liberté d’expression sur l’Internet, qu’elle a intégré à son Programme ordinaire. Le principe de la liberté d’expression doit s’appliquer non seulement aux médias traditionnels, mais aussi à l’Internet et à tous les types de plates-formes médiatiques émergentes qui contribueront assurément au développement, à la démocratie et au dialogue. Du fait de l’accès croissant à l’information dans le cyberespace, les limites de cet accès et de cette information reculent dans le cyberespace, ce qui tient à l’existence de multiples acteurs aux valeurs et aux buts divers.
DAJ : Logiciels : L'exploitation des logiciels : les licences L'exploitation des logiciels : les licences Le choix de la licence Le titulaire des droits patrimoniaux d'un logiciel a la possibilité d'en concéder l'exercice à un tiers. Dans cette hypothèse il va définir par le biais d'un document contractuel dénommé "licence", l'étendue des droits qu'il concède au licencié. Cette licence peut ainsi aller de la simple concession du droit d'usage du logiciel sur un seul ordinateur et pour une durée limitée à des fins d'évaluation, à une licence très large permettant à celui qui en bénéficie de reproduire le logiciel et de le distribuer librement dans le commerce. Toutes les restrictions sont possibles sous réserve des dispositions de l'article L.122-6 -1 du CPI et notamment du droit pour le licencié de réaliser une copie de sauvegarde du logiciel. Une catégorie particulière : la licence de logiciel libre Le logiciel libre (différent du logiciel propriétaire) ne doit donc pas être confondu avec : Pour en savoir plus
CONTRAT DE LICENCE D'UN LOGICIEL La licence concédée sur un logiciel fait aujourd’hui partie des contrats les plus utilisés. Pourtant il s’agit d’un contrat dont la nature juridique est pleine d’ambiguïté. Beaucoup y voit un contrat à la fois proche de la vente et proche de la location . Pourtant la nature juridique d’un contrat a pour conséquence d’en déterminer une partie du régime applicable du fait des règles d’ordre public qui y sont attachées. Il y a donc un enjeu pratique à essayer de déterminer quelle est la nature juridique du contrat de licence de logiciel. Pour rappel, les logiciels et programmes d’ordinateur ont commencé à se développer à partir des années 60. De fait, le contrat de licence d’un logiciel est un contrat qui, par définition, permet au titulaire du droit d’auteur sur le logiciel de définir avec le cocontractant les conditions dans lesquelles ledit programme pourra être exploité ou non. Attention, la nature des contrats de licences de logiciels peut varier. I) Le logiciel standard
Objets connectés : opportunités et limites | Dossier Dans son étude universitaire intitulé Objets connectés : opportunités et limites, Jean-Baptiste Bard, étudiant à l’université Dauphine de Paris dresse le tableau des objets connectés et de leur enjeux. Ayant effectué son stage de fin d’études au sein d’une agence de communication digitale spécialisée dans le domaine de la e-santé, Jean-Baptiste Bard a pris conscience de l’engouement de ce phénomène à l’heure actuelle et de son potentiel pour demain. Définition, opportunités et limites sont les principaux axes de sa réflexion. Demain, les objets connectés auront envahi le quotidien de chacun d’entre nous. L’objet d’étude de cette synthèse est le marché des objets connectés avec ses opportunités ainsi que les limites qu’il rencontre. Tout d’abord, une définition précise des objets connectés me semble un bon point de départ/essentielle. Le Marché des Objets connectés Le marché français des objets connectés Santé & Bien-être Les balances connectées Les montres connectées Domotique Renaud